Fanou Torracinta - Gispy Guitar From Corsica Vol.l
<p style="text-align:center"><iframe allow="autoplay; fullscreen" allowfullscreen="true" frameborder="0" height="281" scrolling="no" src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FGP71rJuCOGE%3Ffeature%3Doembed&display_name=YouTube&url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DGP71rJuCOGE&image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FGP71rJuCOGE%2Fhqdefault.jpg&key=8b7d8dd6504d41af9a77662672aabc2a&type=text%2Fhtml&schema=youtube" title="YouTube embed" width="500"></iframe><strong>LE PROJET</strong></p>
<p style="text-align:center">Après deux albums sortis avec l'ensemble Corsican Trio/Corsican Quartet, <strong>Fanou Torracinta décide cette fois-ci de se produire en son nom.</strong> Il crée donc un répertoire nouveau, entre compositions originales et standards réarrangés. Il s'entoure de <strong>William Brunard</strong> à la contrebasse ainsi que de <strong>Benji Winterstein</strong> à la guitare rythmique, qui ne sont autre que les meilleurs musiciens actuels dans le style. <strong>Bastien Brison</strong>, pianiste de la scène jazz actuelle au swing redoutable, est invité de ce nouvel album. </p>
<p style="text-align:center"><strong>Dans Gipsy guitar from Corsica Vol.l, Fanou Torracinta présente ses nouvelles compositions et un répertoire mariant les influences corses et manouches</strong>. D’ailleurs, le jeune guitariste - il est à peine âgé de vingt-cinq ans - n’hésite pas à faire un clin d’œil à <strong>Django Reinhardt et à ses Rome sessions 1949/1950</strong>. Mais, si Fanou Torracinta a su trouver dans la musique manouche un art qui a nourri le sien, on perçoit aussi dans Gypsy guitar from Corsica l’effet de l’insularité sur une imagination vagabonde. En Corse, la guitare a toujours été l’instrument de prédilection pour traduire la beauté de l’île. Mais on ressent aussi fortement l’enfermement, qui porte au spleen et aux fuites éperdues. On retrouve ces impressions délicates dans <strong><em>Valsa Corsa</em></strong> et <strong><em>Terranova</em></strong>, hommage subtil aux valses et boléros joués autrefois en Corse. On pense notamment à Antoine Bonelli, Paulo Quilici et à bien d’autres... Mais c’est dans la couleur des paysages crépusculaires de l’hiver et de l’automne que Fanou a puisé l’inspiration de<strong> <em>Inguernu</em></strong>, <strong><em>Vaghjime</em></strong> et <strong><em>Regards</em></strong>. Sa Corse n’est pas celle des étés balnéaires et de la foule de touristes errants, mais celle des arrière-saisons mélancoliques, ensorcelantes, solitaires où des valses oubliées se mettent à vibrer sous les doigts virtuoses des musiciens.</p>
<p style="text-align:center"><strong>Par la grâce de ses créations, Fanou Torracinta nous restitue ce monde rêvé de jadis et nous prolongeons son rêve en l’écoutant avec une nostalgie neuve et émerveillée.</strong></p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://images.app.goo.gl/uuKN2pPmGU32dfBo6" width="100%" /></p>
<p style="text-align:center"><strong>BIOGRAPHIE</strong></p>
<p style="text-align:center">Issu d’une famille de musiciens, dès son plus jeune âge, Fanou Torracinta a la chance de se frotter aux meilleurs. Son origine insulaire influence ses goûts, façonne le socle de sa formation, les rencontres feront le reste : celle avec Tchavolo Smchitt, véritable légende du style manouche, sera déterminante. Au temps de son adolescence, Fanou aime jouer de la guitare autant que chanter en corse. À dix-sept ans, il fonde le Corsican Trio avec Arnaud Giacomoni, un chanteur de la jeune génération corse, et William Brunard, contrebassiste, qui règne sur la scène manouche actuelle. Deux ans plus tard, il poursuit l’expérience avec Quartet. Il produit deux albums dont le dernier s’intitule Un altru mondu (Un autre monde) chez Casa Editions.</p>
<p style="text-align:center">Des festivals prestigieux l’invitent : Jazz in Marciac (2016/2017), Les nuits de la guitare de Patrimonio (2016), Django Liberchies Belgique (2016), DjangoFestivalen Suède (2017), Pennabili Django Festival Italie (2018), Sitges Antic Jazz Espagne (2019), Jazz sur son 31 (2017), Jazzellerault (2016/2017), Jazz à Préfailles (2018), Jazz à Conhillac (2017), Jazz in Aiacciu (2014, 2016, 2019) ...</p>
<p style="text-align:center">Fanou Torracinta évolue désormais dans le milieu jazz et manouche parisien. En 2019, il a formé son nouveau groupe avec, de nouveau, William Brunard et Benji Winterstein, et, en décembre dernier, il a enregistré à Paris Gipsy guitar from Corsica.</p>
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<p style="text-align:center"><strong>LES MUSICIENS: </strong></p>
<p style="text-align:center"><strong>William Brunard: Contrebassiste</strong></p>
<p style="text-align:center">William Brunard est né d’une famille de musiciens. Mais c’est la découverte en live de Tchavolo Schmitt et l’écoute un peu plus tard des classiques de Django Reinhardt qui le pousseront à se consacrer au jazz manouche. Formé par Ninine Garcia, membre de la Chope des Puces et par Frangy Delporte, il se lance dans la pratique de la contrebasse et jouera aux côtés de Bireli Lagrene, Mathias Levy, Nous’che Rosenberg ou encore Hono Winterstein. Il accompagne Fanou Torracinta dans ses divers projets, du trio au quartet, et sera à ses côtés en 2020 pour une nouvelle aventure musicale.</p>
<p style="text-align:center"><strong>Benji Winterstein – guitariste rythmique </strong></p>
<p style="text-align:center">Dans les familles manouches, les talents s'héritent de père en fils et en frères que ce soit pour les instrumentistes solistes ou les instruments rythmiques, guitare et contrebasse. La famille Winterstein en est un exemple. Ils sont les travailleurs acharnés et talentueux de la guitare rythmique, indispensable coeur battant avec la contrebasse d'un orchestre de jazz manouche. Benji Winterstein débute la guitare à 13 ans avec son père « Popots » Winterstein avec qui il assure la solidité de la rythmique sur"Maré Tchavengé ». Il est aujourd’hui une référence dans le style.</p>
<p style="text-align:center"><strong> Bastien Brison – pianiste </strong></p>
<p style="text-align:center">"Né à Roanne en 1991, Bastien Brison intègre le Conservatoire de Chalon/Saône en 2006 et découvre les premières émotions du trio jazz. En 2015, il enregistre un premier album « DEBI » paru chez le prestigieux label Naïve avec le trio du batteur américain Sangoma Everett, et un second avec le quartet UPTAKE (Lauréat Rézzo Jazz à Vienne, La Défense) paru chez Jazz Village, Harmonia Mundi. Lors de voyages initiatiques à New York, il a travaillé ponctuellement avec des musiciens de renommée internationale tel que Johnny O’Neal, Aaron Goldberg, Gerald Clayton, Eric Reed, Kevin Hays, et Barry Harris. Basé à Paris en 2016, il s'est produit aux côtés de musiciens de renoms tel que Felipe Cabrera, Lukmil Perez, Jason Brown, Nicolas Moreaux, China Moses, Veronica Swift, Giacomo Smith,Jason Marsalis… Sa musique a eu l'opportunité de voyager dans des pays tels que la Mongolie, la Slovénie, la Hongrie, la Chine, les Etats Unis, la Suède, la Norvège …</p>
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