L'affamée d'après Violette Leduc

<p>  </p> <p> Chers tous,</p> <p>  </p> <p> Nous avons besoin de vous pour présenter au Festival OFF d'Avignon, L'affamée de Violette Leduc.</p> <p>  </p> <p> <strong><u>Résumé: </u></strong></p> <p> Seule chez elle, une femme se met en scène, devant un mannequin, image figée de son amour. Elle rejoue ses attentes de rendez-vous, son désespoir de n’être pas aimée en retour et ses désirs de passion. Elle se met à nu devant « elle », son idole. Elle ose lui dire avec pudeur et poésie tout ce qu’elle ne lui dira jamais, ce qu’elle aimerait lui dire, ce qu’elle s’accuse de ne pas lui dire…</p> <p>  </p> <p> Ce journal intime autofictionnel en prose, nous plonge dans une écriture du corps. Et c’est précisément avec le corps que Catherine Decastel choisit d’adapter ce texte. Ainsi, le théâtre dansé côtoie la poésie pour rendre le sublime du sentiment amoureux et l’angoisse de la solitude.</p> <p> Le spectacle s’attache à mettre en évidence les blessures aussi belles et complexes qu’universelles et émouvantes sur l’Amour et la Solitude et révèle une véritable résonance contemporaine du texte.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>« La nuit je fais des exercices d’hallucination. Toucher une peau qui n’est pas la mienne. C’est érotique en plusieurs endroits. Ici, nous osons seulement nous excuser quand nous nous frôlons.»</em></strong></p> <p>  </p> <p> Violette Leduc est une auteure d’après-guerre dont on redécouvre aujourd’hui la puissance poétique. Elle livre ici, par une écriture singulière, la passion solitaire qu’elle portait à Simone de Beauvoir, sa protectrice.</p> <p>  </p> <p> <u><strong>PRESSE</strong></u></p> <p>  </p> <p> « Cet appel, ces cris, ces strophes en prose, cet espoir, ce désespoir sont de toute beauté. Une énergie sauvage et tendre. Ce parti pris est endossé avec audace... le texte nous parvient avec plus de force » <strong>Gilles COSTAZ</strong></p> <p>  </p> <p> « Une mise en scène efficace. Le texte de Violette Leduc est merveilleusement interprété. Une heure de poésie à savourer » <strong>L’ETUDIANT AUTONOME</strong></p> <p>  </p> <p> « Tantôt dans l'onirisme le plus charmant tantôt dans la folie mystique la plus troublante » <strong>FROGGY’S DELIGHT</strong></p> <p>  </p> <p> « La charge corporelle est ici sublimée par des instants dansés. De ces élans venus du dedans, nous devenons les témoins, témoins d’un amour qui s’engage sans retenue aucune, sans la moindre demi-mesure. » <strong>LE SOUFFLEUR</strong></p> <p> <img alt="_dsc2078-1433515795" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/206779/_DSC2078-1433515795.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="10259795_10152783394293297_3505201981324247429_n-1433516168" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/206782/10259795_10152783394293297_3505201981324247429_n-1433516168.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img alt="_dsc2094-1433515843" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/206780/_DSC2094-1433515843.jpg"></p>