La Surprise de l'Amour
<p>Nous nous tournons aujourd'hui vers vous afin de concrétiser nos envies de communication et de diffusion pour notre spectacle dans une capitale telle que Paris. Nous sommes aujourd'hui dans l'impossibilité de répondre à certaines propositions de moyens de communication et les fonds permettront d'accéder à ces offres. La visibilité du spectacle est essentielle tant pour le public que pour les professionnels du spectacle et nous souhaitons élargir le champ de nos possibilités.</p> <p> </p> <p>La Surprise de l’Amour est, comme son nom l’indique, une pièce qui parle d’amour ; je réalise chaque jour un peu plus à quel point l’être humain nécessite cette parole qui provoque, déroule, amène, l’Amour. Nous vivons depuis la nuit des temps avec cette question perpétuelle : « c’est quoi l’amour » ? et nous sommes entourés au quotidien de violence et de peur. J’assume aujourd’hui ce choix de vouloir propager un sentiment positif.</p> <p> </p> <p>Ce qui intéresse Marivaux - et qui me fait l’aimer tout particulièrement -, c’est la phase initiale de l’Amour, lorsqu’il émerge à la conscience de l’homme et de la femme. C’est un moment bouleversant, apaisant, excitant. Cela implique d’obtenir de la part des interprètes - et c’est ce que nous avons tenté d’approcher dans notre travail - : simplicité, naturel, improvisation, sans oublier ni la perfection du geste ni le langage qui est la substance même de l’action.</p> <p> </p> <p>Pourquoi parler d’amour en 2010 avec une pièce de 1722 ? Je crois que si nous continuons d’être touchés par Marivaux aujourd’hui, c’est qu’il traduit parfaitement, avec sa finesse et son humour, le sentiment amoureux. L’Amour pour ce qu’il est, et surtout, l’Amour lorsqu’il se manifeste à l’être humain et que ce dernier le nie. On rencontre justement dans La Surprise de l’Amour des personnages qui ont souffert, que l’amitié a su réconforter et pour qui l’optique de se mettre en état de vivre le sentiment amoureux présente un réel défi.</p> <p> </p> <p>Le spectacle se divise en trois actes. Les personnages, sous une apparente légèreté, souffrent et se perdent. Plus l’histoire avance, plus cette légèreté s’efface et laisse apparaître la vraie complexité des rapports humains. L’humour de Marivaux, fin et subtil, met d’autant plus en avant les aspérités et les jouissances des relations hommes/femmes.</p> <p> </p> <p>Le fil rouge de notre spectacle c’est la musique jazz. En effet, les évènements se déroulent dans un cadre bien particulier : la fantaisie de ce genre musical, ces notes changeantes sont comme des variantes de l’amour. Chaque comédien vibre de cette dynamique amoureuse comme une note de musique et se laisse embarquer dans la folie du jazz. Cette démarche musicale me paraît légitime par rapport à la volonté principale de la compagnie : faire vivre des textes et les rendre accessible à tous, en gardant l’exigence de l’écriture dramatique.</p> <p>Le terme « jazz » pourrait être assimilé au mot français « jaser » qui veut dire babiller, commettre des indiscrétions, révéler ce que l’on aurait dû taire. N’est-ce pas là le propre de la langue marivaudienne ?</p> <p> </p> <p>Le théâtre – et par conséquent le patrimoine de la langue française que nous laisse l’œuvre de Marivaux - est le témoin d’un espoir : celui de partager la plus belle chose dont l’être humain est capable : aimer.</p> <p> </p><h2>Qui suis-je ?</h2><p> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 21.8px Cambria; color: #661664;"><strong>L’auteur<span style="white-space: pre;"> </span></strong></p> <p> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est né à Paris le 4 février 1688.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Marivaux peut être considéré comme le peintre français du cœur humain. Ces comédies sont de sentiments, pas sentimentales. Elles cherchent à percer le secret de la réalité du sentiment humain, tant dans sa complexité que dans sa beauté. Nous naissons à l’existence lorsque l’on naît à l’amour. C’est ce que Marivaux tente d’illustrer dans cette pièce.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Marivaux s’est d’abord essayé à la tragédie, au roman, mais c’est essentiellement pour ses œuvres comiques autour de l’amour et des relations maîtres - valets qu’il fut le plus reconnu.</p> <p> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 21.8px Cambria; color: #661664;"><strong>La </strong><strong>compagnie<span style="white-space: pre;"> </span></strong></p> <p> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Le Fil a Tissé est une compagnie qui regroupe des comédiens issus de l’école Claude Mathieu (Paris 18) et de l’école Périmony (Paris 18), toutes deux dédiées à la formation de l’Art et des techniques de l’acteur.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Elle est née en 2009, sous l’impulsion de Aude Macé et de Jules Garreau.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Elle a pour vocation de créer des spectacles dans un esprit collectif où chacun trouve sa place, soit dans l’interprétation, la mise en scène, la scénographie, ou la lumière.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">La compagnie cherche à accueillir des artistes de tout ordre et de tout horizon afin de poursuivre sa démarche collective, visant à diffuser son travail au plus large public. Le Fil a Tissé veut poursuivre la tradition du théâtre de troupe : se déplacer, trouver les spectateurs, échanger, vivre ensemble un moment fort.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Le Fil a Tissé travaille dans un souci permanent de respect du patrimoine de la langue française. Notre désir s’appuie sur la volonté de faire vivre des textes et de les rendre accessible à tous.</p> <p> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 21.8px Cambria; color: #661664;"><strong>L’équipe</strong></p> <p> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">AURÉLIE NOBLESSE<span style="white-space: pre;"> </span> / La Comtesse<span style="white-space: pre;"> </span></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Aurélie commence le théâtre à l’école Florent où elle travaille avec Céline Devalan, David Garel et Estelle Bouvier. Elle poursuit sa formation à l’école Claude Mathieu avec Laurence Blasco, Daniel Romand, Brigitte Boucher, Georges Werler et Claude Mathieu lui-même. Entre Racine, Claudel, Hugo, Novarina mais aussi Beckett ou Tchekhov, Aurélie complète sa recherche du jeu grâce à l’improvisation, le clown, et les classes de lecture. Elle a joué dans <em>Grand-Peur et Misère du IIIème Reich </em>de Brecht ; <em>Casimir et Caroline </em>de Horvath mis en scène par Alexandre Zloto et <em>Athalie </em>de Racine.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">MATHIEU HÉRIBEL / Lélio<span style="white-space: pre;"> </span></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Mathieu s’est formé auprès de Delphine Herrmann, puis avec Jean Périmony. Il a joué au théâtre Déjazet <em>La ligne de vie </em>de Delphine Herrmann, au festival d’Avignon <em>L’Amant </em>de Harold Pinter, mis en scène par Roland Marchisio, puis à la Comédie des 3 bornes <em>Glamour du risque</em>, enfin au théâtre de l’Essaïon <em>L’Ours </em>de Tchekhov, mis en scène par Bruno Boulzaguet. Au cinéma, il a travaillé avec Nicolas Boukhrief, Pierre Morel et Guillaume Canet. En 2009, il s’est attelé à sa première mise en scène : <em>Le journal d’une femme de chambre </em>d’Octave Mirbeau.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"><span style="font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">MATHIEU </span><span style="font-family: Cambria; font-size: 18px; color: #578fd1;">GRAHAM </span><span style="font-family: Cambria; font-size: 18px; color: #578fd1;">PIMBLETT</span><span style="font-family: Cambria; font-size: 18px; color: #578fd1;"> /<span style="white-space: pre;"> </span></span><span style="font-family: Cambria; font-size: 18px; color: #578fd1;">Pierre</span></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Mathieu est originaire de Nice. Il a suivi sa formation pendant trois ans chez Claude Mathieu. Dernièrement, il a tourné un moyen métrage : <em>BMF project </em>de Jean Rolland et Edwin Ward. Il avait déjà tourné <em>Two Americans in Paris </em>de Jean-Baptiste Massuet. Il s’est tout d’abord formé à Monaco où il à joué : <em>L’Entourloupe, </em>de Alain- Reynaud Fourton - mise en scène Sébastien Wagner ; <em>L’homme ni bus, </em>d’après des textes de Molière et Jérôme Schoof - mise en scène Jérôme Schoof, T<em>rois versions de la vie, </em>de Yasmina Reza - mise en scène par Jérôme Schoof et <em>Léonie est en avance </em>de Georges Feydeau - mise en scène par Karine Battaglia. Il a également joué dans <em>Casimir et</em></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';"><em>Caroline </em>de Horvath, mis en scène par Alexandre Zloto et dans une création autour du roman populaire : <em>Quelques centimes pour une histoire</em>, mis en scène par Mathilde Bost.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #cbca33; min-height: 21.0px;"><strong><span style="white-space: pre;"> </span></strong><strong> </strong></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">LAURA<span style="white-space: pre;"> </span>CHICHE<span style="white-space: pre;"> </span>/ Colombine<span style="white-space: pre;"> </span></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Laura entre au conservatoire National de Région de Versailles à seize ans où elle obtient le premier prix de jeu moderne et le second prix de jeu classique en art dramatique. A 19 ans, elle entre à l’école Claude Mathieu, elle y travaille le masque et le clown, mais aussi Claudel, Tchekhov et Horovitz sous la direction de Claude Mathieu, Georges Werler et Daniel Romand. En 2008, elle incarne le premier rôle dans une adaptation du roman <em>Le Désert sans détour </em>mis en scène par Ezzedine Sassi. En 2009, elle interprète Cléopatra Maximovna dans <em>Le Suicidé </em>de Nicolaï Erdman mis en scène par Jean Bellorini. En 2010, elle joue <em>La Marchande de Parents </em>: une création collective jeune public de la compagnie du Théâtre en Veux-tu en Voilà ainsi que <em>La Marelle </em>d’Israel Horovitz mis en scène par Barbara Gauvain.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">EDOUARD MICHELON / Le Baron<span style="white-space: pre;"> </span><span style="color: #cbca33;"><strong><span style="white-space: pre;"> </span></strong></span></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Après des études de commerce et un parcours de chef de publicité, Edouard entre à l’école Claude Mathieu. Sorti fin 2009, il joue dans différents projets, dont <em>Les précieuses ridicules </em>de Molière, mis en scène par Pénélope Lucbert, <em>Le mariage forcé </em>de Molière, mis en scène par Jean Barlerin et Yilin Yang et <em>Graine d’escampette</em>, création jeune public écrite et mise en scène par Lucie Leroy.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">JULIE DUQUENOŸ / Jacqueline /<span style="white-space: pre;"> </span>Créatrice lumière</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Julie s’est formée à l’Ecole Claude Mathieu. Après avoir joué dans <em>Les Pas Perdus </em>de Denise Bonal, mis en scène par Amélie Viennot, elle s’est lancée dans sa première mise en scène : <em>La nuit de Valognes </em>de Eric-Emmanuel Schmitt. S’en est suivi de nombreux projets, tous dirigés par elle seule : création <em>En Avant Arthur</em>, <em>Théâtre Sans Animaux </em>de Jean-Michel Ribes, <em>Tardieu à Venise </em>d’après Jean Tardieu, <em>Il était une fois... </em>d’après Sergio Leone. Elle a également joué dans <em>Désert sans Détour </em>mis en scène par Ezzedine Sassi. Elle s’est formée auprès de Jean-Philippe Morin pour la régie et la création lumière. Elle a participé à l’implantation lumière de <em>Peine d’Amour Perdue </em>mis en scène par Hélène Cinque au Théâtre du Soleil, à la régie des concerts de Szuzanna, au spectacle de percussion de Sylvain Lemaître et a fait la tournée de concerts des Frères Zeugma. Elle a créé la lumière des projets : <em>Derniers Remords Avant l’Oubli </em>de Jean-Luc Lagarce, mis en scène par Sabine Zovighian, et sa propre mise en scène <em>Il était une fois... </em>Elle prépare actuellement <em>Fuente Ovejuna </em>de Lope de Vega, mis en scène par Anahita Gohari. Julie est régisseuse au théâtre de l’Essaïon (Paris).</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">CLÉMENT SÉJOURNÉ / Arlequin<span style="white-space: pre;"> </span></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Clément poursuit actuellement sa formation à l’Ecole Claude Mathieu. Il a travaillé avec Cathia Chaumont sur le projet <em>Bonnie & Co</em>, il a joué dans <em>Il était une fois...</em>, création de Julie Duquenoÿ d’après Sergio Leone ; <em>La terre est ronde </em>d’Armand Salacrou ; <em>Tout contes fait</em>, création d’Yves Bleatzeker. Il prépare actuellement l’audition professionnelle de sortie de l’école Claude Mathieu.</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;"> </p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 18.0px Cambria; color: #578fd1;">AUDE MACÉ<span style="white-space: pre;"> </span> / Metteur en scène<span style="white-space: pre;"> </span></p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Après une première formation théâtre au lycée Saint Martin d’Angers, Aude se lance dans une licence de communication qu’elle obtient en 2006. Elle sera formée ensuite à l’Ecole Claude Mathieu jusqu’en 2009. Sur scène, elle joue les auteurs classiques tels que Shakespeare, Molière, Marivaux, Giraudoux, Dubillard ; mais elle participe aussi à différentes créations : <em>Le retour de Merlin</em>, et <em>Dans les pas d’Aliénor</em>, créations mises en scène et écrites par Colette Gladu ; <em>Fernando Pessoa</em>, mis en scène par Diana Ringel ; <em>Citoyen Podsékalnikov</em>, mis en scène par Jean Bellorini, et <em>Quelques centimes pour une histoire, </em>mis en scène par Mathilde Bost et écrit par Isabelle Sarton du Jonchay (création autour des grands romans populaires).</p> <p style="margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; font: 12.0px 'Book Antiqua';">Elle joue actuellement un projet écrit et mis en scène par Antoine Smajda, <em>La formidable histoire de Franck Gellas</em>. <em>La Surprise de l’Amour </em>de Marivaux est sa première mise en scène.</p> <p> </p>