Little Go girls

Aidez à la sortie du film "Little Go Girls"

Project visual Little Go girls
Successful
86
Contributions
29/02/2016
End date
€8.060
Out of €8.000
100 %

Little Go girls

<p> <strong>Nouveauté ! Découvrez la bande annonce du film : </strong></p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F156535039&amp;wmode=opaque&amp;url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F156535039&amp;image=http%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F557577538_1280.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=vimeo" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Ecoutez la réalisatrice, Eliane de Latour, sur les ondes de France Inter dans "L'Humeur Vagabonde", c'était le mercredi 24 février : <a href="http://www.franceinter.fr/emission-lhumeur-vagabonde-eliane-de-latour-directeur-de-recherche-au-cnrs-anthropologue-cineaste" target="_blank">Cliquez ici pour écouter l'émission</a></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>La presse en parle ! Ci-dessous un article paru dans <u>Le Film Français</u> sur la campagne Kiss Kiss Bank Bank de <em>Little Go Girls</em> :</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="Article_ff_kkbb-1455968026" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/279950/Article_FF_KKBB-1455968026.png"> </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Les Go de ghetto occupent les dernières marches de la prostitution d’Abidjan. Très jeunes, elles fuient les violences familiales dans l’espoir d’avoir un peu de liberté quitte à vivre clandestinement dans le déshonneur. On les dit sales, violentes, droguées, hurlantes.   J'ai filmé la lumière de ces parias, leur fragilité et leur silence. Little Go girls va sortir bientôt dans la jungle des 23 films par semaine dont une partie est portée par de très grosses sociétés qui opèrent avec des stratégies commerciales qui unifient l’offre, plus qu’avec des lignes éditoriales diversifiées comme celles des plus petits distributeurs. Si on souhaite un paysage cinématographique varié, au plus grand profit des spectateurs, il faut aider les "jeunes pousses » de cette  jungle.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F152260453&amp;wmode=opaque&amp;url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F152260453&amp;image=http%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F552208410_1280.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=vimeo" width="540"></iframe>   </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>Eliane de Latour : la réalisatrice du film</strong></u></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="P1000922_-_copie-1453299314" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/269373/P1000922_-_copie-1453299314.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Eliane de Latour, anthropologue et cinéaste, s’est mise au documentaire après sa thèse en commençant par l’Afrique de l’Ouest. Elle finit par glisser vers la fiction lorsqu’elle aborde les mondes de l’illégalité —prison, ghetto, clandestinité. Par le cinéma, la photo, l’écrit scientifique ou littéraire, elle porte un regard de l’intérieur sur les mondes fermés de ceux que l’on repousse derrière une frontière physique ou sociale : personnes âgées en Cévennes, harem au Niger, établissement carcéral, ghettos en Côte d’Ivoire, migrants clandestins, très jeunes joueurs de foot, esclaves noirs en Inde du 17e, détenues mineures au Maroc ou jeunes prostituées poussées par la guerre en Côte d’Ivoire.</p> <p>  </p> <p> « <strong><em>Tout est contradictoire. Il ne faut avoir aucun espoir mais essayer de tout changer</em> </strong>». Fitzgerald </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Site internet : http://elianedelatour.com/</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>Un projet au long cour</strong></u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Kkbblgg_1-1452697245-1453299333" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/269374/KKBBLGG_1-1452697245-1453299333.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> J’ai travaillé et photographié dans les ghettos de filles fraîches. </p> <p>  </p> <p> A travers mes portraits, elles ont retrouvé une lumière qu’elles pensaient socialement éteinte.</p> <p>  </p> <p> Ces jeunes filles, qui entrent dans la prostitution à peine pubères, m’ont guidée vers une image dédiée à leur beauté, leur dignité, qui les ré-humanise.</p> <p>  </p> <p> Projet que j’ai commencé par le portrait photographique en 2009 et poursuivi avec le cinéma en 2013.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Kkbb_lgg_2-1452697265-1453299368" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/269376/KKBB_LGG_2-1452697265-1453299368.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> En 2011, j'ai organisé l'<strong>exposition « Go de nuit, les belles oubliées »</strong> à la Maison des Métallos.</p> <p>  </p> <p> En 2013, je suis revenue à Abidjan avec l’argent des photos qui nous a permis de monter le projet de la <strong>Casa des Go</strong>, un lieu de vie qui a permis aux bénéficiaires de prendre un nouveau départ.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FpNZeOJh2OTQ%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&amp;wmode=opaque&amp;url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DpNZeOJh2OTQ&amp;image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FpNZeOJh2OTQ%2Fhqdefault.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>"Little Go Girls"</strong></u></p> <p>  </p> <p> J’ai filmé les Go quand elles allaitent, se maquillent, invoquent Allah, chantent, s’allongent épuisées ...</p> <p>  </p> <p> Elles m’ont offert le silence de leur intimité, un bien précieux, une rupture avec les préjugés qui les circonscrivent à la violence et à la flétrissure.</p> <p>  </p> <p> Pour les avoir photographiées pendant deux années sur des sites de prostitution, je sais rare le silence porteur de douceur et de vie. Signe de confiance, il est l’expression narrative et intérieure de l’être qui souffre et résiste.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Lgg-1453047350-1453299384" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/269377/LGG-1453047350-1453299384.jpg"></p> <p>  </p> <p> « <em>Une approche esthétique radicale. Des filles saisissantes de beauté. Leurs gestes s’apparentent à un ballet chorégraphique. </em>» <strong>Le Monde</strong> | 20.08.2015 Clarisse Fabre</p> <p>  </p> <p> «  <em>Eliane de Latour prend le temps de vivre avec elles, à leur rythme, sans les juger. </em>» <strong>RCF</strong> | 14.08.2015  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>Retour d'Abidjan janvier 2016</strong></u></p> <p>  </p> <p> J’ai montré le film à Bijou, Blancho, Mahi, Chata le 3 janvier 2016.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Bijou  :   <em>« En une heure de temps, on voit un grand changement ! C’est bien que les Français voient ce film ; c’est ce pays qui m’a sauvée non ? Alors ! »</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Chata  :  <em>« J’ai aimé film là, on nous voit naturelles. Sur mes photos dans ghetto de Bel Air, je suis comme animal de brousse. Après, à la Casa, on voit mon teint a changé, c’est devenu clair. »</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Mahi  :  <em>« Moi j’ai aimé film, tout le monde peut voir que nous pouvons changer. Mais la partie où on voit que je fume, c’est pas bon. Ici, les gens jettent leur bouche dedans. Ils sont méchants. Mais le film est bien aussi parce c’est la vérité.  »</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Blancho  :  <em>«  J’ai aimé le film, on voit qu’on a changé, c’est ça qui est intéressant. Avant et aujourd’hui, ce n’est pas même chose. J’ai aimé aussi la partie où je discute fort avec Chata, on voit que je tiens tête. Et puis quand je couds avec la musique, c’est bien joli.»  </em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F152262657&amp;wmode=opaque&amp;url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F152262657&amp;image=http%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F552211209_1280.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=vimeo" width="540"></iframe></p> <p>  </p>

Allocation of funds

<p> <strong>Très concrètement...</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Le film étant terminé, la collecte servira exclusivement à sa distribution en salles :</strong></p> <p>  </p> <p> <u>Première étape</u> : la promotion du film, faire exister <strong><em>Little Go Girls</em></strong> par l'intermédiaire de la presse écrite, radio, TV, sur les blogs et les réseaux sociaux. Étape indispensable qui permet de faire savoir au public que le film va sortir et qu'il a de bonnes raisons d'être vu !</p> <p> Ceci comprend essentiellement les relations presse (environ 4.000 €), la conception et fabrication des outils de communication (affiche, dossier de presse, environ 3.500 €) et l'organisation des projections presse (environ 2.500 €). C'est le gros du budget, une enveloppe globale d'environ 10.000 €.</p> <p>  </p> <p> <u>Deuxième étape</u> : Faire en sorte que le film soit dans les salles de cinéma.</p> <p> Convaincre les exploitants de salles de cinéma de programmer <strong><em>Little Go Girls</em></strong>, sachant que le nombre de films sortant chaque semaine est très important, c'est un travail indispensable. C'est le boulot du programmateur qui connait parfaitement les différentes (et nombreuses) salles et leur public (4.500 €).</p> <p> À ceci viennent s'ajouter la fabrication des 10 premières copies d'exploitation (DCP) : 1500 € et le paiement de la taxe de sortie VPF (taxe pour équipement numérique "incontournable") : 4.000 €.</p> <p>  </p> <p> <u>Troisième étape :</u> Organiser une tournée en province de la réalisatrice Eliane de Latour afin qu'elle aille à la rencontre du public, ou plutôt des publics de la France entière, que le film ne reste pas cloisonné dans un cadre uniquement parisien. </p> <p> Ceci suppose des frais de voyages (billets de train, d'avion), d'hébergement (hôtel, maison d'hôtes) et de   repas (environ 2000 €).</p> <p> Au plus nous aurons les moyens d'assumer ces déplacements au plus le film existera en région et les spectateurs provinciaux pourront avoir le loisir de découvrir le film ainsi que la réalisatrice à travers des discussions débats à l'issue des projections.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pour récapituler :</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>• </strong>Relations presse (attachée de presse, projections presse, etc.) : <strong>6.500 €</strong></p> <p> <strong>• </strong>Conception et impression des outils de communication (affiches, dossiers de presse) : <strong>3.500 €</strong></p> <p> <strong>• </strong>Salaire du programmateur : <strong>4.500 €</strong></p> <p> <strong>• </strong>Copie du film (DCP) et taxe sur le numérique (VPF) : <strong>5.500 €</strong></p> <p> <strong>• </strong>Tournée de la réalisatrice en province : <strong>2000 € </strong></p> <p>  </p> <p> • <strong>TOTAL</strong> : <strong>22 000 €</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Nous espérons collecter grâce à votre soutien sur KissKissBankBank 8000 € car le plan de financement de la distribution du film comprend également l'<em>Aide à la distribution</em> du CNC. Mais cette aide est sélective... Donc non acquise</strong></p> <p> <strong>Chaque euro au dessus de l'objectif nous permettra de communiquer d'autant plus et donc d'assurer au film une meilleure visibilité, et éventuellement de consolider la sortie si le CNC n'aidait pas financièrement la distribution du film.</strong></p> <p>  </p> <p> Evidemment tous ces tarifs sont optimisés, particulièrement négociés... donc chaque euro compte !</p> <p> Nous avons besoin de vous pour soutenir <strong><em>Little Go Girls</em></strong> et permettre à ce beau film d'exister et d'avoir la visibilité qu'il mérite !.</p> <p>  </p> <p> Par avance et du fond du coeur, MERCI.</p> <p>  </p> <p> JHR Films </p>

Rewards

€5

  • 6 contributions
UN GRAND MERCI de Jane et moi et votre nom au générique du film

Estimated delivery: March 2016

€15

  • 12 contributions
Votre nom au générique du film et 1 petite affiche dédicacée

Estimated delivery: March 2016

€25

  • 17 contributions
Votre nom au générique du film 2 places pour aller voir le film en salle

Estimated delivery: March 2016

€35

  • 7 contributions
Votre nom au générique du film, une affiche dédicacée (grande ou petite selon la préférence et stock) et 2 places pour aller voir le film en salle

Estimated delivery: March 2016

€50

  • 12 contributions
Votre nom au générique du film, 1 grande affiche dédicacée, et 1 place pour l'avant-première du film.

Estimated delivery: March 2016

€70

  • 3 contributions
Votre nom au générique du film et le livre dédicacé "Go de nuit, les jeunes invisibles", publié à l'occasion de mon exposition à la Maison des Métallos

Estimated delivery: March 2016

€100

  • 11 contributions
Votre nom au générique du film et un coffret HORS qui réunit trois films documentaires que j'ai réalisé : "Si bleu si calme", "Le reflet de la vie" et "Comptes et comptes de la Cour"

Estimated delivery: March 2016

€200

  • 3 contributions
Votre nom au générique du film, 1 place pour l'avant-première privée au Silencio le 8 mars, et un coffret HORS qui réunit trois films documentaires que j'ai réalisé : "Si bleu si calme", "Le reflet de la vie" et "Comptes et comptes de la Cour"

Estimated delivery: March 2016

€500

    Votre nom au générique du film et un dîner offert dans un restaurant ivoirien en présence de Jane Roger et moi-même pour discuter du film

    Estimated delivery: March 2016

    €700

      Votre nom au générique du film et un tirage petit format de l'une de mes photographies exposées à la Maison des Métallos

      Estimated delivery: March 2016

      €1.000

        Votre nom au générique du film et un tirage grand format de l'une de mes photographies exposées à la Maison des Métallos

        Estimated delivery: March 2016

        Make a donation

        Give what I want