Madame à Marrakech
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Né il y a <strong>6 ans</strong> grâce à des fonds personnels, <strong>Madame à Marrakech</strong> était un peu une folie douce… Des magazines, avant celui-ci, j’en ai créés quelques uns… pour d’autres.</p>
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Pour reprendre l’expression d’un ami, il était temps que j’arrête « de faire du baby sitting ». A 32 ans, dont 10 de Maroc, je me lançais dans cette belle aventure. </p>
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Très vite, Madame à Marrakech s’est imposé comme le <strong>support chic et pratique de la ville</strong>. Mais ce n’est pas qu’un simple magazine « de filles ». Ses <strong>éditos engagés et incisifs</strong> lui confèrent une place à part… et lui valent un capital sympathie sans commune mesure. </p>
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Aujourd’hui, Madame à Marrakech est un <strong>bimestriel,</strong> imprimé à 10 000 exemplaires, distribué gratuitement dans toutes les plus belles adresses de la ville (chambres d'hôtels, boutiques, galeries d'art, cafés, restaurants...) et disponible également en kiosques. Son rubriquage est accès culture avec un agenda très fourni (Madame Sort).</p>
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On y trouve également une sélection de nouvelles adresses (Madame Découvre et Madame Visite), des coups de coeur (Madame Aime, Madame Crée et Madame Agit), des pages mode (Le Style Madame), des adresses beauté (Madame en Beauté) et des pages dédiées aux enfants (Les Enfants de Madame).</p>
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<img alt="10344768_10154029811923750_8874598407391132157_n-1457640368" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/288959/10344768_10154029811923750_8874598407391132157_n-1457640368.jpg"><img alt="12801654_10154029731333750_8286285245654658916_n-1457640610" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/288960/12801654_10154029731333750_8286285245654658916_n-1457640610.jpg"></p>
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Madame à Marrakech, c’est également un merveilleux <strong>espace d’expression</strong>. L’équipe est connue pour son franc parler et ses shopping mode décalés. Elle est à l’<strong>image d’un pays en pleine ouverture</strong>.</p>
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En novembre dernier, Paris a été meurtri par des<strong> attentats</strong>…</p>
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Marrakech en subit les <strong>dommages collatéraux</strong> : les touristes, première source de revenus de la ville, se font rares. <strong>Les budgets se rétrécissen</strong>t… Madame à Marrakech, qui ne vit que de la publicité, a vu ses rentrées d’argent se réduire comme une peau de chagrin. </p>
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Dans 15 jours, le prochain numéro doit partir chez l’imprimeur. Nous n’avons pas les moyens de le payer. Et pourtant… <strong>nous avons encore tellement de choses à raconter</strong>.</p>
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Il y a la <strong>Biennale de Marrakech</strong> qui réunit des artistes d’Europe et du monde arabe, le festival des arts de la rue : Alwan’art, de jolies petites adresses qui ouvrent, des créateurs passionnés que nous voulons vous faire découvrir…</p>
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<strong>Derrière Madame à Marrakech, il y a tous ceux dont on parle, dont on soutient le travail et les passions</strong>. Eux aussi ont besoin de nous, de vous !</p>
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<strong>Avec 5 000 euros nous pouvons payer l’impression du prochain numéro.</strong></p>
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<strong>Avec plus de 10 000 euros, la collecte va permettre :</strong></p>
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- la création d’un site web pour être suivi dans le monde entier</p>
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- l’embauche d’un ou deux journalistes </p>
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<em>"S'il y a une morale, ici, ce n'est pas celle de la pitié, de la compassion, moins que jamais une morale individuelle. C'est celle de la solidarité. Une solidarité de la résistance, bien sûr : une morale de résistance collective." </em></p>
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<em>Jorge Semprun</em></p>
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<em>MERCI À TOUS !</em></p>
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