"Mon rêve, ma grand-mère, notre aventure"

L'édition de ce livre nous permettra d'améliorer les conditions de vie d'une famille dans le désert mauritanien.

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07/02/2014
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GLAMOUR

"Mon rêve, ma grand-mère, notre aventure"

<p> C’est encouragée par toutes les personnes qui suivaient mon journal de bord Facebook que j’ai complété mon récit pour en faire un livre.</p> <p>  </p> <p> Ce livre raconte comment, à 34 ans, j’ai changé de monde pendant 2 semaines.</p> <p>  </p> <p> Je suis partie, avec mes parents, mon frère et mes 2 enfants, dans un périple qui devait m’emmener auprès de ma grand-mère paternelle à Boully, un petit village du désert mauritanien.</p> <p>  </p> <p> 50h de route pour y arriver et autant d’embuches, cette aventure a changé ma vie.</p> <p>  </p> <p> A mon tour, je décide de changer la leur, je souhaite faire éditer ce livre, le vendre afin de pouvoir financer quelques projets, le premier étant l'installation de l'électricité et pourquoi pas entamer la construction d'une maison "en dur" afin d'en finir avec les effondrements de constructions quand les pluies sont trop fortes.</p> <p>  </p> <p> Tout dépendra de vous</p> <p>  </p> <p> Merci à tous &lt;3</p> <p>  </p> <p> Gladys</p> <p>  </p> <p> <strong>En voici quelques extraits...</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Vous en trouverez d'autres sur la fameuse </strong><a href="https://www.facebook.com/pages/Mon-r%C3%AAve-ma-grand-m%C3%A8re-notre-aventure/103553563101825" target="_blank">page Facebook "Mon rêve, ma grand-mère, notre aventure"</a></p> <p>  </p> <p> <strong>1er extrait :</strong></p> <p>  </p> <p> <em>"Je suis métisse, un mélange de couleurs...</em></p> <p> <em>Maman blanche, papa noir, j'ai souvent entendu dire ça de moi quand j'étais petite, drôle d'expression mais ça résume bien la situation! Dans les années 70 ce n’était pas si courant...</em></p> <p> <em>28/01/78 me voilà, je suis née! Mon papa est mauritanien et ma mère française.</em></p> <p> <em>A peine née, je suis déjà mourante, j’ai une grave malformation cardiaque et mes chances de survie son quasiment nulles, je passe mes premiers mois à l’hôpital, tenter une greffe est la seule chance éventuelle mais la technique de la greffe du cœur n’a que 10 ans donc très peu de recul pour la pratiquer sur un bébé…</em></p> <p> <em>Je suis donc en attente de greffe lorsqu’un jour on annonce à mes parents que contre toute attente je suis guérie, sans aucune intervention, je survivrais, je reste encore aujourd’hui un mystère pour la médecine, déjà une première main tendue de mon ange gardien ? On ne survit pas à cette malformation…</em></p> <p>  </p> <p> <em>Je suis née dans le 9.3, je serai enfant unique jusqu’à 9 ans et je passe le plus clair de mon temps chez mes grands-parents maternels. On a tellement eu peur de me perdre quelques années plus tôt que je suis un peu pourrie gâtée, mes grands-parents, je leur fait faire ce que je veux, ma grand-mère réputée pour sa rigidité est avec moi un vrai chamallow, et ce sera ainsi jusqu’à ce qu’elle nous quitte en 2006.</em></p> <p> <em>Mon grand-père maternel avait lui annoncé en apprenant la grossesse de ma mère, que jamais il ne marcherait avec un petit nègre à coté de lui… De ma naissance, jusqu’à son décès quand j’avais 13 ans, j’étais son ombre, il m’a trainé partout avec lui, même les endroits les plus improbables pour un enfant mais il achetait mon silence avec des kilos de billes et de rochers au chocolat, il m’adorait et c’était réciproque.</em></p> <p>  </p> <p> <em>L’argent ne coule pas à flots mais je ne manque de rien,  ah si... il me manque une partie de ma famille, ma famille mauritanienne!</em></p> <p> <em>Ma santé de petite fille cardiaque et les finances de mes parents ne permettront pas de visiter mon 2ème pays, cette famille je ne la connais pas.</em></p> <p> <em>Papa m'en parle souvent, mais c'est bien loin tout ça, totalement abstrait, ça me fascine comme un livre d’histoire pour enfant mais je n’arrive pas à me projeter, c’est trop loin pour moi puis mon père est arrivé en France les poches et les sacs vident, il n’a qu’une seule photo de ce lointain clan auquel j'appartiens et qui m'aime telle une princesse parait-il!</em></p> <p> <em>Ma grand-mère et 2 de ses fils accroupis devant la case familiale.</em></p> <p> <em>A force de voir cette photo j'ai fini par croire qu'elle vivait accroupie la grand-mère, je ne l'imaginais pas autrement!!</em></p> <p> <em>3 personnes sur cette photo alors que mon père me parlait de dizaines de membres de ma famille, impossible à imaginer, l’image est figée et je ne vois pas plus loin que ça mais ma grand-mère, à travers cette image jaunie me touche particulièrement, l’impression de la connaitre, l’impression qu’elle me parle…</em></p> <p> <em>Pas de photo de mon grand-père paternel, il s'en est allé pour son plus grand voyage en 1976 mais je le connais par cœur cet homme là, il m'accompagne tous les jours, c'est mon guide, mon ange gardien, il m'aide à aider les autres, ce n’est qu’en 2004, la première fois où je voyais mon oncle Yamadou, le petit frère de mon père, que j’ai compris de part la ressemblance physique, que l’homme qui veillait sur moi était mon grand-père.</em></p> <p> <em>Certains de mes proches le savent, d'autres l'apprendront à travers ce livre, certains y croient d'autre n'y croient pas... je suis médium clairvoyante et partiellement clairaudiente, ça veut dire que je communique avec l’au-delà,  essentiellement avec mon grand-père et une nuit de 2011, j'ai fait un rêve...</em></p> <p>  </p> <p> <em>Je dois aller voir ma grand-mère, comme un besoin vital, une évidence.</em></p> <p> <em>Ce voyage va changer ma vie à jamais et va apporter à ma grand-mère la paix et la sérénité avant son dernier envol. Cette femme je ne la connais pas "physiquement" et pourtant je communique avec elle depuis mon plus jeune âge, elle est aussi medium, on est... connectées l'une à l'autre et dans ce rêve elle me fait comprendre qu’elle ne pourra pas reposer en paix si elle ne m’a pas vu au moins une fois dans sa vie.</em></p> <p> <em>C'est difficilement explicable et pourtant...</em></p> <p> <em>J’ai donc embarqué mon père, ma mère, mon frère, mon fils et ma fille dans le voyage le plus important de ma vie.</em></p> <p> <em>Le départ c'était le 20 février 2012, direction Boully, petit village au sud de la Mauritanie, région du Guidimakha. Région isolée et très pauvre, située à 7km de la frontière du Mali et une centaine de kilomètres du Sénégal.</em></p> <p> <em>Un village d'Afrique, comme on en voit à la télé, des cases, du sable, des enfants par centaine, des boubous plein de couleurs, des femmes qui portent d'énormes charges sur leurs têtes et leurs bébés dans le dos... l'Afrique profonde, MON Afrique..."</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>2ème extrait :</strong></p> <p>  </p> <p> <em>"Bienvenue en Afrique, les blancs ont la montre, les noirs ont le temps! Je ne sais pas combien de temps durent les vérifications mais on en à tous marre d’être enfermés là. Il fait chaud, l’organisation est inexistante, on a des formulaires d’entrée à remplir, ils sont éparpillés un peu partout sur les comptoirs mais à vu d’œil il n’yen a pas assez pour tous les passagers, je réussi à en trouver 6, on commence à les remplir, Jimmy se trompe dans la date de naissance de Marlon, l’agent de contrôle ne s’en aperçoit même pas, contrôle inutile en somme.</em></p> <p> <em>Puis on se dit que récupérer les bagages dans l’organisation africaine, ça va être une aventure dans l’aventure.</em></p> <p> <em>Ca tombe bien, c’est l’heure de la prière, quelques passagers  la font dans le hall de l’aéroport, et probablement que les bagagistes aussi… Les bagages se font donc attendre… Une valise a le temps de faire le tour plusieurs fois avant qu’on voit arriver les autres. Mon père stresse et prend toutes les valises pour les nôtres.</em></p> <p> <em>Hop ça y est, on a les bagages, les chariots sont pleins on va enfin pouvoir sortir de l’aéroport et respirer, un dernier contrôle et on passe les portes…</em></p> <p> <em>J’ai l’impression que toute la ville est venue nous accueillir tellement y a de monde et de bruit dehors, il faut trouver 2 cousins dans toute cette foule, c’est un bordel sans nom, tout le monde veut porter nos bagages et nous enfourner dans leur taxi, je ne comprends pas grand-chose à ce qui se passe mais m’en fous moi je veux juste prendre des photos! Impossible, y a trop de monde, ça va trop vite, je ne parle pas Wolof, aucun de nous ne le parle d’ailleurs donc on court vers je ne sais pas trop quoi mais on suit mon père qui lui sait apparemment où il va, l’expérience prouvera qu’il ne faut pas toujours suivre son père mais ça on le verra plus tard.</em></p> <p> <em>On retrouve les 2 cousins, je ne les connais pas mais ils parlent le même dialecte que nous donc on doit être sur la bonne voie pour quitter l’enfer de l’aéroport!</em></p> <p> <em>Nos bagages sont chargés et déchargés plusieurs fois de plusieurs voitures différentes, c’est un foutoir incroyable mais je reste le nez en l’air à découvrir l’effervescence.</em></p> <p> <em>Après d’interminables négociations tarifaires, le sport national sénégalais, Lauryn et moi nous nous voyons propulsées dans un taxi et en route pour… bah on ne sait pas mais on y va en tout cas!</em></p> <p> <em>A l’avant le chauffeur et le cousin, que je ne connais pas, discutent comme si ils se connaissent depuis toujours. Nous à l’arrière on analyse la voiture : Moumoute sur les sièges, guirlandes de noël et une bonne trentaine de sapins « sent-bon », ambiance Bollywood qui nous fait bien rire. On regarde la route, le paysage, la vie, c’est la nuit mais tout est animé, je me sens chez moi, l’impression d’être de retour après un long voyage! Je demande à Lauryn ce qu’elle pense de l’Afrique, elle me répond en mode Facebook :</em></p> <p> <em>-         « J’aime! » </em></p> <p> <em>Ca fait des années que je me dis que j’aimerais vivre au Sénégal, elle le sait et ce soir là elle adhère complètement à l’idée. Je suis contente parce qu’elle, comme son frère, m’avait clairement fait savoir que « des vacances en plein milieu du désert et sans piscine, c’est pas des vacances ! » Sales gosses ! J’me dis aussi que les embarquer dans cette aventure me donnera un argument infaillible si la crise d’adolescence s’aggrave, une fois dans le désert mauritanien, ma fameuse menace : « si tu continues à faire le con, je t’envoie vivre au bled, tu vas voir ce que c’est que la misère ! » va prendre tout son sens et que forcément, ils se tiendront à carreau après ça…</em></p> <p> <em>Je ne sais pas combien de temps on roule et je ne sais toujours pas où on va mais on se sent en sécurité et on rigole bien à l’arrière du taxi donc no stress.</em></p> <p>  </p> <p> <em>Nous voilà à destination, nous sommes les 1ères arrivées, on descend de la voiture et les chèvres dans la rue nous amusent, à moins que… des chèvres avec des testicules, mouai… des boucs quoi… quoi que non, bah euh… j’en sais rien finalement! J’apprendrai plus tard que ce sont des moutons, rien à voir avec tout ceux que j’ai pu croiser jusque là et la nature est bien faite, nous sommes dans un pays chaud, ils n’ont pas de laine!</em></p> <p> <em>Nos bagages sont déchargés puis rechargés aussitôt, on ne comprend rien mais faut remonter dans la voiture. Allez hop, on remonte!</em></p> <p> <em>On fait quelques centaines de mètres et on aperçoit au loin mon père complètement affolé! Il nous avait jeté toutes les 2 dans un taxi et était entrain de se dire que ce n’était pas très malin, 20 minutes que tout le monde se demandait où on était! Nous on allait bien!</em></p> <p> <em>J’apprendrais par la suite que ma mère et mon frère étaient entrain de le sermonner de nous avoir abandonné comme ça dans la nature avec des inconnus. Lui au d épart il était zen puisque persuadé de nous avoir confié au cousin mais les minutes passaient et il commençait à douter de nous avoir poussé dans la bonne voiture.</em></p> <p>  </p> <p> <em>Nous voici donc devant l’hôtel… Hmmmm c’est local hein! Plus de place chez la famille donc l’hôtel pour bien se reposer avant le périple nous paraissait une très bonne option, ce que nous n’avions pas prévu c’est que le périple venait déjà de commencer en choisissant cet hôtel…</em></p> <p> <em>Après avoir compté et recompté nos 12 valises, en avoir récupéré une qui avait été abandonnée de l’autre coté de la rue, nous pouvons enfin rentrer dans l’hôtel, ou nous sommes attendus, ou presque!</em></p> <p> <em>Nous sommes 6 et on nous a réservé 4 lits, mon père commence alors des négociations d’épicier sans queue ni tête! 1 000 Francs CFA correspondent à 1.50€, déjà que pour mon père tout est toujours trop cher, mais là, psychologiquement, le « mille » lui donne le vertige, alors quand le patron de l’hôtel lui annonce qu’il faut rajouter 16 000 Francs pour une chambre supplémentaire, on frise le malaise cardiaque!</em></p> <p> <em>-         « HEIN??? 16 000 ??? Hors de question!</em></p> <p> <em>-         « Euh papa… »</em></p> <p> <em>-         «NON NON NON ON VA AILLEURS! Non mais tu te rends compte? »</em></p> <p> <em>-         « Non mais papa…. »</em></p> <p> <em>-         « NON! »</em></p> <p> <em>Ma mère s’en mêle et là… c’est le drame! Ma mère à cette manie exaspérante, quand t’es en galère et que tu es au summum de l’agacement, au comble de l’énervement, de venir te dire que c’était évident! </em></p> <p> <em>« Aaaaaaahhhh alors ? Ca, c’était à prévoir hein, je le savais, c’était sure ça, si tu m’avais écouté, je te l’avais dit mais tu ne m’écoutes jamais… » Imaginez donc la scène ridicule, le patron de l’hôtel qui garde le sourire avec sa nonchalance africaine, en face mon père qui négocie par centime d’euro et qui est en colère, ma mère qui est a coté et qui prêche sa bonne parole et jette de l’huile sur le feu et moi qui essaye de faire savoir a mon père que 16 000 Francs CFA c’est juste 24€! Mon frère reste dans le couloir en se disant que c’est que le début des emmerdes et mes enfants, adolescents de base se demande juste quand est ce qu’on mange!</em></p> <p> <em>Bon, à un moment, va falloir couper court là</em></p> <p> <em>-         « Maman c’est bon, tais-toi,  on a compris, Papa laisse moi parler! »</em></p> <p> <em>Le patron de l’hôtel continue donc avec ses négociations, mais moi je sais où j’en suis, donc son hôtel miteux il va pas me le vendre à prix d’or et il le comprend très vite, c’est comme ça qu’il nous propose, pour le même prix, 2 chambres pour 3 dans son 2ème hôtel, tout neuf et beaucoup mieux que celui-ci, il y a d’ailleurs une suite parentale, et, comme je suis gentille, Ca c’est une phrase type chez les blédards pour m’amadouer et me faire fermer ma grande gueule, ça ne marche pas toujours mais ils ont le droit d’essayer!, je peux prendre la suite qui est très grande sans différence de prix.</em></p> <p> <em>Je ne sais pas quelle heure il est, je suis fatiguée et j’ai faim, on accepte l’offre et on part à l’autre hôtel qui n’est qu’à quelques pâtés de maison de là.</em></p> <p> <em>Nous voici donc entrain de recharger nos bagages, avec en fond sonore ma mère qui continue sa sérénade et mon père qui bougonne.</em></p> <p> <em>Dans la voiture, le patron de l’hôtel continue de me vanter son établissement, ça fait bien 10 fois qu’il nous répète qu’il y a la clim et des frigos dans les chambres, il me fatigue!</em></p> <p> <em>-         « Mais tu me parles de tes frigos depuis tout à l’heure mais ils sont pleins ? »</em></p> <p> <em>Discussion close, Gladys 1 – Hôtelier 0 "</em></p> <p>  </p> <p> <strong>3ème extrait : </strong></p> <p>  </p> <p> <em>"On regarde Koundédi broder un grand drap, Koundédi c’est la plus grande des filles après moi, beaucoup plus calme et discrète que moi d’ailleurs…</em></p> <p> <em> Elles font de jolies choses avec du coton à broder. Ce qui est drôle c’est qu’ici personne ne sait lire ni écrire donc ils reproduisent ce qu’ils peuvent voir sur des emballages par exemple, c’est ainsi que vous pouvez avoir une superbe broderie « MAGGI » marque des célèbres cubes de bouillon.</em></p> <p> <em>Bessé ma petite sœur, la maman du petit Samba, m’en a fait un avec son prénom et l’année.</em></p> <p> <em>Maïmouna, la fille de Baye Sédi aussi m’en a fait un très joli.</em></p> <p> <em>Jimmy aussi en a eu quelques uns en cadeaux. Peu de chance qu’on les utilise un jour mais c’est pour moi quelques choses qui a plus de valeur que tout ce que j’ai pu recevoir en cadeau bien cher, directement issu d’usines chinoises. Elles y ont passé des heures et y ont mis tout leur cœur et rien que pour ça, ça n’a pas de prix.</em></p> <p> <em>Les enfants chantent dehors, ils jouent à un jeu qu’on ne comprend pas mais ça donne une idée à Jimmy qui me propose qu’on aille jouer avec eux dehors.</em></p> <p> <em>Vous avez déjà joué à « 1.2.3 soleil » avec 50 enfants ? Bah nous c’est fait ! Et c’est super marrant.</em></p> <p> <em>C’est mon père qui s’y colle en premier pour pouvoir expliquer les règles correctement, donc ça déjà, ça fait halluciner tout le monde. Ba Sadio qui crie « Baane.Filo.Sikko KIYE»</em></p> <p> <em>Les enfants comprennent vite le principe donc on leur apprend aussi la marelle, enfin on essaye parce que personne n’est d’accord sur les règles donc on s’emmêle les pinceaux et c’est Jimmy et moi qui testons la méthode à chaque fois, ça les rend tous hilares. On passe encore un bon moment même si j’avoue que jouer à la marelle dans le désert ça donne soif !</em></p> <p> <em>On a d’ailleurs tenté une expérience avec l’eau pour essayer qu’elle soit un peu fraiche, on a mis des bouteilles pleines dans un tonneau d’eau du puit qui nous paraissait fraiche, mais une question me taraude, comment se fait-il que des bouteilles d’1 litre et demi, flottent ? Je pose la question à Jimmy qui me répond que c’est parce qu’y a de l’air dans la bouteille et beaucoup d’eau dans le tonneau… Mouai… je ne suis pas du tout convaincue par sa réponse, si je jette une bouteille pleine dans une piscine, elle va couler…</em></p> <p> <em>Je demande donc à Marlon, l’intello de la famille, qui me donne une explication tellement scientifique que j’en perds le fil et je laisse tomber.</em></p> <p> <em>Le soir même, Jimmy retrouve Marlon devant le fameux tonneau, bras croisés, sourcil interrogateur…</em></p> <p> <em>-         « Qu’est ce qui t’arrive ? »</em></p> <p> <em>-         « Eh ben ouai, c’est pas normal »</em></p> <p> <em>-         « De quoi tu parles mec ?! »</em></p> <p> <em>-         « Je remplis le broc et il ne coule pas, y a un truc quand même »</em></p> <p> <em>Ah ! Qui avait raison ? C’est bibi ! La seule explication plausible que j’ai trouvé c’est que l’eau du puit devait être salée, j’ai gouté, rien de perceptible au gout mais je ne vois pas d’autre explication. Le mystère reste entier à ce jour."</em></p> <p>  </p> <p>  </p>

Allocation of funds

<p> Mon projet se décompose en 2 temps :</p> <p>  </p> <p> 1) Financer  l'impression et la distribution du livre</p> <p>  </p> <p> 2) Vendre le livre pour mener à bien d'autre projet d'amélioration de vie au village.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> La collecte sur KissKissBankBank, permet déjà l'impression de 300 livres, leur expédition ainsi que l'installation des premiers panneaux solaires  (achat du matériel, transport et installation sur place)</p> <p>  </p> <p> Si la collecte s'avère plus importante que celle espérée au départ, d'autres projets seront menés et toutes les informations sur le sujet seront disponibles sur la page Facebook </p> <p>  </p> <p> Pour info, je souhaite faire imprimer le livre au format 16x24cm et comprendra donc minimum 234 pages + quelques photos couleurs.</p>

Rewards

€1

Une tonne de bisous :-) Il n'y a pas de petites contributions, je vous remercie déjà tous du fond du coeur!

€20

Je vous envoie le livre dès qu'il est édité :-) (aucun supplément pour les frais de port pour la France métropolitaine)

€25

Je vous dédicace le livre ;-)

€60

Le livre dedicacė + Une rencontre avec nous 6, pour vous raconter quelques autres anecdotes vécues pendant ce périple et tout ça autour d'un buffet ou d'un repas 100% local (En région parisienne)

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