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<p><iframe src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2F7MBLxRo77OA%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&wmode=opaque&url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3D7MBLxRo77OA&image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2F7MBLxRo77OA%2Fhqdefault.jpg&key=cb39d84f05d8439bbe96012f078e02b0&type=text%2Fhtml&schema=youtube" width="540" height="304" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p><strong><em><u>EN RESUME....</u></em></strong></p><p>Des artistes généreux qui offrent une oeuvre sans contrepartie.</p><p>Des personnes généreuses qui font un don à l'UNICEF sur la plateforme : <u>KISSKISSBANKBANK</u></p><p>Chaque DON de 6,80 € (soit 20 euros avant la defiscalisation) vous permet de participer au tirage au sort.</p><p>Un tirage au sort pour offrir aux personnes généreuses la chance de recevoir l'une des oeuvres offertes par l'un des artistes engagés dans le projet.</p><p>----------------------------------------------</p><p>Et en plus !! </p><p>Vous pouvez mulitplier vos chances en multipliant le montant de votre don par tranche de 20 € </p><p>20 € soit 6,80 € après déduction = 1 chance</p><p>40 € soit 13,60€ après dédution = 2 chances</p><p>60 € soit 20,40€ après dédution = 3 chances</p><p>etc...</p><p> </p><p><em><u><strong>POURQUOI UN OBJECTIF DE 1500 € ? </strong></u></em></p><p>Cet objectif est pour garantir une somme minimum et être certain de ne pas perdre les dons de la collecte quelque soit son montant final. </p><p><u>CET OBJECTIF PEUT (ET DOIT !) ÊTRE LARGEMENT DEPASSE PAR VOS DONS. </u></p><p><strong>Certains projets passés ont connu des taux de 1000 % soit 10 fois le montant initial espéré..</strong></p><p>Aidez-nous à connaitre ce succès !! </p><p> </p><p><em><u><strong>LES OEUVRES PROPOSEES PAR LES ARTISTES ? </strong></u></em></p><p>la valeur des oeuvres proposées par les artistes est très largement supérieure à toutes les contreparties proposées, c'est ce qui rend ce projet unique. </p><p>Nous sommes convaincus que c'est le nombre des donateurs qui fera la différence, alors donnez-nous raison !</p><p>L'art peu changer le monde !</p><p> </p><p><u><em><strong>DANS LE DETAIL...</strong></em></u></p><p><u><em><strong>Pour comprendre l'urgence de la situation ?!</strong></em></u></p><p>En Somalie, au Yémen, au Soudan du Sud et au Nigéria plus de 22 millions d’enfants sont menacés par la guerre, les maladies, la sécheresse… Parmi eux, plus d’1,4 million risquent de mourir de malnutrition du fait de la famine qui s’annonce. L’UNICEF agit sur le terrain mais les fonds manquent. Appel à la générosité pour sauver ces enfants pour qui le temps est compté…</p><p>Mourir de faim en 2017. Impensable, et pourtant, c’est ce qui est en train de se produire.</p><p>En 2011, au moins 100 000 enfants sont morts à cause de la famine parce que le monde n’a pas réagi assez vite. Aujourd’hui, la famine est à nouveau aux portes de plusieurs pays du continent africain et de la péninsule arabique – Nigéria, Somalie, et Yémen, et même déjà officiellement déclarée au Soudan du Sud – et menace la vie plus d’1,4 million d’enfants.</p><p> </p><p><u><em><strong>Pourquoi la famine menace aujourd’hui ces pays ?</strong></em></u></p><p>Les principaux facteurs à l’origine de l’insécurité alimentaire et la malnutrition dans ces pays ?Les conflits, les violations des droits humains (notamment les déplacements de population forcés), les sècheresses successives et l’augmentation des prix des denrées alimentaires.</p><p>La logique est implacable : les violences obligent les familles à fuir et abandonner leurs moyens de subsistance (ce qui les rend plus vulnérables à l’insécurité alimentaire et, faute d’accès à l’eau potable et aux soins, plus vulnérables également aux maladies), obligent les fermiers à laisser leurs cultures et leur bétail (ce qui entraine une baisse des aliments disponibles sur les marchés), et fragilisent encore davantage les systèmes de santé qui peinaient déjà à prendre en charge les enfants souffrant du paludisme, de pneumonie, de diarrhées graves, ou encore d’infections respiratoires.</p><p>Enfin, les stratégies militaires utilisées par les parties aux conflits exacerbent la menace de famine qui pèse sur les enfants. Comment ? En bloquant l’accès à l’aide humanitaire, en bombardant des infrastructures indispensables pour les denrées alimentaires et la santé, en détruisant volontairement les cultures dans les champs…</p><p> </p><p><u><em><strong>De quelle manière les enfants sont-ils impactés ? </strong></em></u></p><p>Au Soudan du Sud, l’état de famine a été déclaré par le gouvernement le 20 février 2017 dans certaines zones du pays. On estime que 42% de la population est impactée par une situation d’insécurité alimentaire grave, et que plus d’1 million d’enfants souffrent de malnutrition aiguë, dont 280 000 dans sa forme la plus sévère.</p><p> </p><p>Au Nigéria, quelque 450 000 enfants souffrent de malnutrition aiguë sévère dans les états affectés par le conflit. Il est probable que la famine y soit déjà une réalité, et qu’elle menace grandement les zones de l’état de Borno qui sont inaccessibles à l’aide humanitaire.</p><p> </p><p>C’est au Yémen, pays ravagé par un conflit depuis deux ans, que l’on dénombre le plus d’enfants souffrant de malnutrition aiguë : 2,2 millions, dont 462 000 dans sa forme la plus sévère.</p><p> </p><p>En Somalie, plus de la moitié de la population doit faire face à une situation d’insécurité alimentaire grave. Environ 185 000 enfants sont sévèrement malnutris – un chiffre qui pourrait monter au-dessus de 270 000 si la famine n’est pas évitée.</p><p> </p><p>Mais le risque de famine ne se limite malheureusement pas à ces quatre pays. Les crises se propagent à toutes les sous-régions : en effet, les familles qui fuient les violences et le manque de nourriture vont se réfugier dans les pays frontaliers qui, déjà vulnérables, puisent de manière inquiétante dans leurs ressources… La Grande Corne de l’Afrique (notamment Ethiopie et Kenya) et le bassin du Lac Tchad montrent ainsi des niveaux alarmants d’insécurité alimentaire – ainsi que l’Ouganda qui accueille de nombreux réfugiés du Soudan du Sud.</p><p> </p><p>L’enjeu est donc de taille : juguler la menace de la famine pour éviter que la situation ne se détériore encore davantage dans toute la région.</p><p><u><em><strong>Quels sont les artistes qui participent au projet (ordre alphabétique) :</strong></em></u></p><p>Myriam Baudin (France), Eveline Boulva (Canada), Corine Borgnet (france), Luc Barrovecchio (France), Samuel Breton (Canada), Hervé Bourdin (France), Adrien Belgrand (France), Romain Bernini (France), Anne Commet (France), Cedrix Crespel (France), Francois Chaillou (France), Fleur Helluin (Allemagne), Jon Helip (France), Frederic Khodja (France), Francesca Loprieno (Italie), Jérémy Liron (Frrance), Thibault Laget-ro (france), Olivier Masmonteil (France), Victoria Niki (Moldavie), Barbara Portailler (France), Olivier Poizac ( France), Axel Pahlavi (Iran), Miguel Ramos (France), Julie Susset (France), Benjamin Sabatier (France), Momar Seck (Senegal), Peggy Viallat-Langlois (France), Tof Vanmarque (France), Thomas Valere Gosset (France), Florian Viel (France), Samuel Yal (France).</p><p> </p><p> </p>