Première édition vinyle de China Man vs Chinagirl de Benjamin Schoos
<p><strong>Réédition vinyle ‘’China Man vs Chinagirl’ de Benjamin Schoos. </strong></p>
<p>7 ans après sa sortie en CD, le premier album solo de Benjamin Schoos, paru en 2012, ressortira en juin au format vinyle sur le label Freaksville. </p>
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Aux ambitieux rock-critics qui souhaiteraient dresser le portrait de cet homme à la fois auteur, compositeur, patron de label, producteur, on aimerait répondre que Benjamin Schoos (alias Miam Monster Miam dans une autre vie) est avant tout une icône belge. Et qu'à l'image de son pays, la discographie foutraque de ce one-superman band se lit comme un tableau warholien, au carrefour des influences contemporaines, du rococo des soundtracks françaises 70's à l'indie-pop anglaise en passant par le kraut allemand. Alors, résumer la musique de Benjamin Schoos ? Impossible. Mieux vaut encore l'écouter. Et justement, son nouvel album « <em>China Man Vs China Girl </em>» n'est pas, comme on s'en doute, un hommage à David Bowie. </p>
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Enregistré et composé au piano puis joué en solitaire des nuits durant au studio Freaksville, ce premier album solo fait la part belle aux sonorités made in Los Angeles, à la pop mille-feuilles digne de Todd Rundgren mais aussi aux enluminures pop écrites par des artisans comme Jean-Claude Vannier ou François de Roubaix. </p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/578458/schoos1-1552578343.jpg" width="100%" /></p>
<p>D'humeur mélancolique et sentimentale, Benjamin analyse en quarante minutes la dimension pugilistique de la vie, de l'art et de l'amour, en comparant le poids des uppercuts aux larmes de la rupture. L'amour et la violence, comme aurait dit l'enfant terrible de la chanson française Sébastien Tellier, avec des clins d'oeil au poète surréaliste Arthur Cravan et à Jack Johnson, grand boxeur américain ayant connu son heure de gloire musicale grâce au disque de Miles Davis. Et alors que le chanteur belge boxe la mélodie des seventies, on remarque sur le bord du ring des invités prestigieux tels que Laetitia Sadier de Stereolab, Mark Gardener du groupe Ride ou encore Chrissie Hynde en duo avec l'icône Marie France. Un match gagné d'avance, comme on s'en doute. </p>
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<p>Véritable troubadour pop, Benjamin Schoos a déjà produit, composé et arrangé moult chansons pour différents artistes, de Paris à Bruxelles. À son palmarès, des symboles de la synth-pop française comme Lio, des icônes unisexes comme Marie France, des dandys (Alain Chamfort) et des déviants (Michel Moers et Marc Moulin du groupe belge Telex). </p>
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<p>Inspiré par ces rencontres mais également par le savoir-faire de génies de l'orchestration comme Jean-Claude Vannier (le père de « Melody Nelson ») ou Kramer du label Shimmy Disc (Galaxy 500, Low), Benjamin Schoos réconcilie sur ce disque l'ancien et le moderne, la tradition et l'avant-garde. Mélange de soft pop, de violons vintage et d'envolées vocales à la Scott Walker, « China Man Vs China Girl » est avant tout une ode è la transpiration, un disque en dix rounds qui permet à l'artiste de marquer des points. </p>
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<p>"<em>Mélancolique et panoramique, la pop qu’il dirige en dandy détaché évoque un faux monde de luxe et de volupté, un vaste trompe-l’oeil pour balayer larmes et crasse</em>" <br />
<strong>Les Inrocks </strong><br />
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<em>"You will find a long-player that takes the chanson to new and interesting places while tipping its chapeau to the gallic great. 8/10</em>" <br />
<strong>NME </strong><br />
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<em>"Ambitious debut from francophone producer and multi-instrumentalist"</em> <br />
<strong>Q Magazine</strong> <br />
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<em>"A record with sumptuous strings that has something of the old chanson de variété' ... a mort l'amour one of the highlights on a fine album" </em><br />
<strong>The Stool Pigeon </strong><br />
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<em>"It's Sadier that lends her gorgeous vocals to the galloping, heart-burstingly lovely Je Ne Vois Que Vous. Inspired by orchestrator and Serge Gainsbourg collaborator Jean Claude Vannier, whom he met in 2006, it's a song that makes you want to run around the streets of Paris with a Super 8 camera and a coy but knowing smile on your face." </em><br />
<strong><a href="http://guardian.co.uk/music">guardian.co.uk/music</a> </strong><br />
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<em>"A multi-faceted record which slips between soaring, 70's inspired pop tracks and deep, ponderous song with an almost disturbing ease" </em><br />
<strong>Narco </strong><br />
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<em>"La Chinoise underlines Schoos as a genetically engineered musical magpie, as he borrows the brilliant chord progression and melodic thrust of Tortoise’s ‘Blackjack’" </em><br />
<a href="http://drownedinsound.com/">Drownedinsound.com</a> <br />
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<em>"Certes, cette pépite pop où se côtoient de manière invraisemblable (mais cohérente) Laetitia Sadier et le fantôme de Gainsbourg, mélodies indolentes et talk-over hanté… cette pépite pop, disais-je, est avant tout une histoire d’amour et de mort affreusement triste – donc totalement burlesque" </em><br />
<strong>Interlignage </strong><br />
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"<em>High-Flying Melancholia, it sets the tone for the rest of the album perfectly. Swooping background synths overlaid with a drawling saxophone almost drown out the unmistakable thump of a heartbeat and it feels a bit like a loss when it's over. The sound is one you could listen to indefinitely on a loop; a little bit droning and hypnotic, but with a tinge of excitement"</em> <br />
<a href="http://musicohm.com/">Musicohm.com</a> <br />
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<em>"L'amour selon Freaksville : un combat de catch pour Benjamin Schoos en plein trip romantico rococo" </em><br />
<strong>Focus-Vif </strong><br />
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<em>"Réalisé en solo et écrit par Jacques Duvall, cet album nous plonge dans un combat sentimental entre un catcheur de porcelaine et une femme dragon envoûtante. Le tout sur fond d’orchestrations dignes de L'histoire de Melody Nelson. Bluffant" </em><br />
<strong>Accroches </strong><br />
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<em>"Benjamin s’entoure de sa famille (Mark Gardener, Marie France en duo avec sa copine Chrissie Hynde) pour un album revisitant la (bonne) chanson arrangée façon Vannier, un peu à la Biolay (Profession catcheur), livrant un superbe duo avec Laetitia Sadier" </em><br />
<strong>Le Soir </strong><br />
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<em>"Swing mélodique, production tirée à quatre épingles, synthés, cordes et saxo, bonnes paroles et chant emballant, hommages à Bowie ou Arthur Cravan. Voilà un franc-tireur classieux à ranger auprès d’Alister et de Bertrand Burgalat" </em><br />
<strong>Technikart </strong><br />
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<em>"Benjamin livre ce trésor mélodique pop et racé ou apparaissent des invités de marque. Quel plaisir !" </em><br />
<strong>Longueur d'ondes </strong><br />
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<em>"The new gainsbourg ? Not quite ..." </em><br />
<strong>Uncut Magazine </strong></p>