Synopsis : un groupe de 10 jeunes personnes part rencontrer les terres encore vierges et les populations autochtones/marginales de son globe. À travers plusieurs destinations, ils s'en vont confronter ce qu'on leur a toujours appris, face à la nature. Leur odyssée se veut authentique, interculturelle, altermondialiste et interhumaine. Armés d'une caméra, et de sacs de randonnée, les vagabonds vivront de leur partage, aussi bien avec les personnes qu'ils croiseront qu'entre eux, sous les ciels australs, sur les roches alpines, au cœur des forêts du sud, des plaines d'Asie, des déserts, lacs, océans.

Deux idées fondent ce projet. La première souhaite stimuler une perception de l'art bien plus exhaustive, à travers, entre autres, l'expérience de la nature et du cinéma. La deuxième est philosophique, sociétale. Elle exposera une réflexion autour de la société dite "occidentale" de notre époque, et introduira les travaux de Jacque Fresco, et beaucoup d'autres personnes ayant œuvré d'une manière ou d'une autre pour l'épanouissement de l'homme et de sa planète. Un blog d'inspiration a été ouvert il y a maintenant quelques mois, http://therebirth.tumblr.com, contenant photos, musique, articles et vidéos représentant d'une manière ou d'une autre le fond du film.

Le film durera approximativement 4 heures, à prix très faible lors de sa diffusion en salle (si tout se passe comme prévu). Il représentera sa propre réalisation : les acteurs sont les réalisateurs du projet dans son ensemble (des voyages au montage) et se veut donc être un témoignage de ce que l'équipe aura vécu tout le long. Ainsi, les aides significatives, de toute nature, figureront elles aussi dans le scénario (cf. Contreparties).

Influences : L'approche cinématographique de Rebirth est influencée par de nombreux cinéastes, notamment Terrence Malick, Stanley Kubrick, Alistair Banks Griffin et Antonio Campos. Ainsi, la technique comme le fond seront fortement marqués par des films comme La Ligne Rouge, 2001 : L'Odyssée de l'Espace, Two Gates of Sleep, Into the Wild, Baraka... Premier extrait :