SOUTENEZ LA SORTIE DU PULSO DE RENTRÉE !

<p> <strong>Le Pulsomatic de rentrée n'est pas un numéro anniversaire, ni un numéro spécial, mais un numéro crucial pour le journal, sans lequel il disparaîtra.</strong></p> <p> <img alt="10984079_1597950203793200_5714336807107775525_n-1435675283" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/214772/10984079_1597950203793200_5714336807107775525_n-1435675283.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>QUI EST <em>PULSOMATIC</em> ?</strong></p> <p> Édité par l'association Pulse depuis 1998, <em>Pulsomatic</em> vous informe tous les mois de l'actualité culturelle nantaise et régionale. Si vous habitez Nantes ou alentours, vous l'avez très certainement déjà eu dans les mains, dans la poche, voire vos toilettes.</p> <p> Vous savez donc que c'est aussi un précieux outil pour découvrir ce qui se fait de gros et de petit en matière de spectacles, concerts, expositions, disques, livres ...</p> <p> Outre des articles consacrés à l'actualité culturelle locale sous toutes ses formes, <em>Pulsomatic</em> contient un agenda mensuel très complet où l'on trouve en moyenne 1 000 dates : les concerts des Ateliers de Bitche  comme ceux de Stereolux, les<em> live</em> du café du Cinéma comme ceux de la Scène Michelet, les spectacles du Théâtre de Poche comme ceux du Grand T, les expositions du LIFE comme celles de L'Atelier.</p> <p> Côté équipe, <em>Pulsomatic</em>, c'est Ellen, rédactrice en chef intransigeante, Pierre-François, rédacteur placide, Émile rédacteur batteur, Jérôme administrateur noise, Julien commercial métal et Thomas, graphiste infatigable. Soit l'équivalent de cinq salariés à temps plein.</p> <p> Avec ses treize chroniqueurs bénévoles, l'association produit en moyenne 80 pages mensuelles diffusées à 30 000 exemplaires dans un réseau de distribution de 650 points à l'échelle du territoire.</p> <p>  </p> <p> <strong>COMMENT VIT PULSOMATIC</strong> <strong>?</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="10303447_1447586032162952_5281678607616675513_n-1435675828" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/214780/10303447_1447586032162952_5281678607616675513_n-1435675828.jpg"></p> <p>  </p> <p> <em>Pulsomatic</em> est gratuit ! C'est un choix de départ : la gratuité rend l'information accessible au plus grand nombre.</p> <p> <em>Pulsomatic</em> vit donc essentiellement de la publicité. Nous percevons également des aides publiques associatives, sous la forme d'une prise en charge du loyer de nos bureaux par la Ville de Nantes et de deux emplois aidés.  </p> <p>  </p> <p> <a href="http://www.latribune.fr/technos-medias/medias/20141128tribaab7b86e9/les-medias-francais-ont-reduit-la-baisse-de-leurs-recettes-publicitaires.html" target="_blank">Nos recettes publicitaires baissent régulièrement depuis six ans.</a> Elles viennent principalement du tissu culturel local (nous y incluons bien sûr les bars). Ce qui est logique, puisque c'est essentiellement de cela que nous parlons. Or l'argent s'est fait plus rare dans la culture, les pleines pages de publicité tendent à devenir des demi-pages et les demi-pages... rien du tout.</p> <p> L'économie de <em>Pulsomatic</em> a toujours été fragile, elle est devenue intenable.</p>