Sur la Route du Patrimoine
"On the Heritage Route" (Sur la Route du Patrimoine) is an expert mission, roaming by bicycle, across the American continent, from north to south, meeting local initiatives for the protection and enhancement of the World heritage, natural and cultural. This project is both charitable, voluntary and responsible. For over a year, we will promote and support on the one hand, the social responsibility as a means for sustainable practices, on the other hand, efforts to preserve the local heritage, including sustainable tourism projects. Beyond the awareness of the general public and companies, we will on-going interact with the primary school students through various media: website, blog, social networks, news, radio, conferences.
Failed
Responsabilité Sans Frontières
Responsabilité Sans Frontières
23
Contributions
17/10/2012
End date
€1.770
Out of €4.840
37 %
La responsabilité sociale correspond à l'impact d'une décision dans la société. Elle se rapporte généralement aux conséquences potentielles résultant des actions ou de l'inaction des individus, groupes ou entreprises.
Une personne, un groupe ou une entreprise peuvent mettre en œuvre des initiatives visant à prévenir ou à corriger des dysfonctionnements, et à mesurer leurs actions en la matière. Le champ de cette responsabilité est celui du développement soutenable, et de l'éthique, incluant donc des aspects sociaux, environnementaux, culturels, mais aussi économiques. L'émergence de cette notion est liée à celle de la notion de risque dans un contexte de mondialisation et de questionnement quant à la surexploitation des ressources naturelles.
La responsabilité sociétale (ou sociale) des entreprises (RSE) est un « concept dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire ». Énoncé plus clairement et simplement, c'est « la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable ».
La RSE est donc la déclinaison pour l'entreprise des concepts de développement durable, qui intègrent les trois piliers environnementaux, sociaux, et économiques. Elle a été à l'ordre du jour du sommet de la Terre de Johannesburg en 2002.
La RSE tend à définir les responsabilités des entreprises vis-à-vis de ses parties prenantes, dans la philosophie « agir local, penser global » (René Dubos). Il s'agit donc d'intégrer le contexte mondial et local dans la réflexion stratégique.
SUR LA ROUTE DU PATRIMOINE va mettre en évidence la réalité et le potentiel de la responsabilité sociale à travers l’analyse d’initiatives portées par des organisations et des entreprises.
Une personne, un groupe ou une entreprise peuvent mettre en œuvre des initiatives visant à prévenir ou à corriger des dysfonctionnements, et à mesurer leurs actions en la matière. Le champ de cette responsabilité est celui du développement soutenable, et de l'éthique, incluant donc des aspects sociaux, environnementaux, culturels, mais aussi économiques. L'émergence de cette notion est liée à celle de la notion de risque dans un contexte de mondialisation et de questionnement quant à la surexploitation des ressources naturelles.
La responsabilité sociétale (ou sociale) des entreprises (RSE) est un « concept dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire ». Énoncé plus clairement et simplement, c'est « la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable ».
La RSE est donc la déclinaison pour l'entreprise des concepts de développement durable, qui intègrent les trois piliers environnementaux, sociaux, et économiques. Elle a été à l'ordre du jour du sommet de la Terre de Johannesburg en 2002.
La RSE tend à définir les responsabilités des entreprises vis-à-vis de ses parties prenantes, dans la philosophie « agir local, penser global » (René Dubos). Il s'agit donc d'intégrer le contexte mondial et local dans la réflexion stratégique.
SUR LA ROUTE DU PATRIMOINE va mettre en évidence la réalité et le potentiel de la responsabilité sociale à travers l’analyse d’initiatives portées par des organisations et des entreprises.
Le tourisme est une activité qui génère des impacts majeurs sur le patrimoine, puisque justement il est fondé sur l'exploitation commerciale des attractions de certains sites (on pourrait dire la richesse patrimoniale) et constitue une grande consommatrice d’espaces et de ressources telles que l'eau, l'énergie, le sol, etc. L'essor grandissant du tourisme en fait l'un des moteurs mondial en termes de développement économique. Tout comme de nombreuses activités économiques, ce secteur a des retombées directes et indirectes sur l'environnement. Transport, consommation démesurée des ressources naturelles, pollution, déforestation, folklorisation et inégalités sont malheureusement les réalités touristiques actuelles. Victimes d’un cercle vicieux, les écosystèmes des zones touristiques sont en voie de dégradation de façon irréversible. Non seulement ils ont un rôle vital pour les communautés locales y vivant à travers la production de ressources naturelles et de services, la régulation du microclimat, la protection des sols, la fourniture de médecines, de rites et autres productions culturelles mais aussi ils constituent un patrimoine mondial à préserver, garant des équilibres de la planète (stockage de carbone atmosphérique, réservoir de biodiversité, etc).
Qu'il s'agisse de tourisme responsable, d'écotourisme, d'écovolontariat ou d'initiatives de tourisme équitable et solidaire bénéficiant directement aux populations locals, SUR LA ROUTE DU PATRIMOINE va investiguer sur ces diverses alternatives au tourisme de masse, constituant des solutions pour valoriser et protéger les patrimoines locaux remarquables.
Qu'il s'agisse de tourisme responsable, d'écotourisme, d'écovolontariat ou d'initiatives de tourisme équitable et solidaire bénéficiant directement aux populations locals, SUR LA ROUTE DU PATRIMOINE va investiguer sur ces diverses alternatives au tourisme de masse, constituant des solutions pour valoriser et protéger les patrimoines locaux remarquables.
Le vélo est pour nous le meilleur moyen de concilier lien social, respect de l’environnement et dépassement de soi.
C’est aussi un moyen de locomotion douce permettant de voyager « slow », c’est-à-dire en prenant le temps d’apprécier les choses du quotidien, en réfléchissant de ses actes, en privilégiant le local…
C’est aussi un moyen de locomotion douce permettant de voyager « slow », c’est-à-dire en prenant le temps d’apprécier les choses du quotidien, en réfléchissant de ses actes, en privilégiant le local…
L’Amérique du Nord, contrairement à d’Europe, a franchi le cap de la mise en application du principe de responsabilité sociale dans différents secteurs de son économie.
Les pays émergents deviennent rapidement précurseurs d’alternatives de développement durable en cohérence avec leurs traditions et priorités. C’est pourquoi les pays d’Amérique centrale, du Sud et des Caraïbes, riches de nombreux sites patrimoniaux remarquables, possèdent de nombreux initiatives de protection du patrimoine, notamment à travers le développement de tourisme alternatif au tourisme de masse (ex. au Costa Rica, Pérou...), parfois à une échelle très locale, mais qui méritent d’être plus largement connues.
Le choix d’une mission itinérante à travers plusieurs pays et cultures est motivé par le fait qu’il n’existe qu’une seule approche de la responsabilité sociale pour un développement durable : ce qui fonctionne dans un pays peut ne pas fonctionner dans un autre, chaque pays a ses propres priorités adaptées à sa propre histoire, racines et enjeux. Par conséquent, la bonne compréhension du concept responsabilité sociale, en comprenant de manière différenciée l’approche de chaque pays, est une base essentielle pour que les projets de responsabilité sociale contribuent efficacement au développement durable.
Les pays émergents deviennent rapidement précurseurs d’alternatives de développement durable en cohérence avec leurs traditions et priorités. C’est pourquoi les pays d’Amérique centrale, du Sud et des Caraïbes, riches de nombreux sites patrimoniaux remarquables, possèdent de nombreux initiatives de protection du patrimoine, notamment à travers le développement de tourisme alternatif au tourisme de masse (ex. au Costa Rica, Pérou...), parfois à une échelle très locale, mais qui méritent d’être plus largement connues.
Le choix d’une mission itinérante à travers plusieurs pays et cultures est motivé par le fait qu’il n’existe qu’une seule approche de la responsabilité sociale pour un développement durable : ce qui fonctionne dans un pays peut ne pas fonctionner dans un autre, chaque pays a ses propres priorités adaptées à sa propre histoire, racines et enjeux. Par conséquent, la bonne compréhension du concept responsabilité sociale, en comprenant de manière différenciée l’approche de chaque pays, est une base essentielle pour que les projets de responsabilité sociale contribuent efficacement au développement durable.