Revue de cinéma Apaches

<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/662776/94911581_236913387522846_4665556152543608832_n-1588503020.jpg" width="100%" /></p> <p>Il y a un an, la revue <strong>Apaches</strong> voyait le jour, sur internet. S&rsquo;en sont suivi une trentaine d&rsquo;articles et plusieurs festivals. En novembre 2019, nous mettions un premier pas dans l&rsquo;<strong>&eacute;dition papier</strong> et publions un court livret, sorte d&rsquo;&eacute;chantillon ou de mise en bouche. S&eacute;duits par le r&eacute;sultat et s&ucirc;rs de la valeur que repr&eacute;sente un tel objet, nous nous lan&ccedil;ons aujourd&rsquo;hui dans l&rsquo;<strong>&eacute;dition de notre premier num&eacute;ro</strong>. Le d&eacute;sir de parler du cin&eacute;ma, avec les films, nous anime depuis notre premi&egrave;re publication. Aujourd&rsquo;hui, avec vous, l&rsquo;objectif d&rsquo;une parution papier se concr&eacute;tise et au long de nos 72 pages d&rsquo;<strong>articles et entretiens</strong>, nous esp&eacute;rons vous offrir une revue de grande qualit&eacute;.</p> <hr /> <p>&nbsp;</p> <h2><strong>La r&eacute;daction&nbsp;</strong></h2> <h2>&nbsp;</h2> <p>Bandits des ann&eacute;es&nbsp;1900 &agrave; Paris, les apaches sont de petits brigands, des personnalit&eacute;s en marge. &Agrave; la mani&egrave;re d&rsquo;un clin d&rsquo;&oelig;il amus&eacute;, nous d&eacute;cidons de regarder &agrave; c&ocirc;t&eacute;, de donner &agrave; lire autre chose du cin&eacute;ma. Derri&egrave;re <strong>Apaches</strong> est mobilis&eacute;e une r&eacute;daction passionn&eacute;e et convaincue qu&rsquo;une nouvelle forme peut &ecirc;tre donn&eacute;e &agrave; la presse cin&eacute;matographique.&nbsp;</p> <ul> <li><strong>Mahaut Th&eacute;bault</strong> est r&eacute;dactrice en chef d&rsquo;<strong>Apaches</strong>. En parall&egrave;le de ses &eacute;tudes de cin&eacute;ma, elle a anim&eacute; des master class dans le cadre de festivals et &eacute;crit r&eacute;guli&egrave;rement pour des revues. Tant s&eacute;duite par les productions am&eacute;ricaines des ann&eacute;es&nbsp;1950 que les films fran&ccedil;ais des ann&eacute;es&nbsp;1970/80, elle amorce avec Apaches une mani&egrave;re plus personnelle de parler du cin&eacute;ma.&nbsp;</li> <li><strong>Pierre Gacel</strong> est concepteur graphique et r&eacute;dacteur &agrave; <strong>Apaches</strong>. Pass&eacute; par Journal du Japon et programmateur d&rsquo;un cin&eacute;-club, Pierre est passionn&eacute; de cin&eacute;ma japonais. &Agrave; cela s&rsquo;ajoute un fort int&eacute;r&ecirc;t pour la critique de cin&eacute;ma, en t&eacute;moigne son investissement dans ce projet de nouvelle revue. &nbsp;</li> <li><strong>Agathe Presselin</strong> fait partie du comit&eacute; de r&eacute;daction d&#39;<strong>Apaches</strong>. Fervente lectrice et cin&eacute;phile, mais surtout dessinatrice, Agathe est passionn&eacute;e&nbsp;d&rsquo;animation et de cin&eacute;ma exp&eacute;rimental et travaille actuellement sur un film d&#39;animation.</li> <li><strong>Simon Pageau</strong> fait partie du comit&eacute; de r&eacute;daction d&#39;<strong>Apaches</strong>. Dipl&ocirc;m&eacute;&nbsp;en &eacute;tudes cin&eacute;matographiques, mais surtout lecteur et cin&eacute;phile, Simon participe &agrave; la cr&eacute;ation d&rsquo;Apaches et dans l&rsquo;&eacute;laboration des num&eacute;ros d&eacute;fend sa vision du cin&eacute;ma.&nbsp;</li> <li><strong>L&eacute;o Bret </strong>est dessinateur du visuel d&rsquo;<strong>Apaches</strong>. Auteur&nbsp;de bande dessin&eacute;e et illustrateur,&nbsp;il fait partie du collectif de cr&eacute;ateurs Next Revel.&nbsp;</li> </ul> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Sont &eacute;galement essentiels &agrave; Apaches</strong>&nbsp;: Justine ALLERON, Alexandre CAOUDAL, Pierre EUG&Egrave;NE, Simon EYHUS, Marc&nbsp;FOREST (mod&eacute;lisation 3D), Hugo GERNIGON, Denis GRIZET, &Eacute;lie LE BORGNE, Quentin LENCOU, Marie MARQUELET, Thomas M&Eacute;NARD, Arthur P&Eacute;RAUD.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/662813/ouvert-1588515202.png" width="100%" /></p> <h2><strong>Le num&eacute;ro</strong></h2> <p>La revue Apaches souhaite vous proposer d&egrave;s ses premiers articles, une autre mani&egrave;re de parler du cin&eacute;ma. Et quand nous disons cin&eacute;ma, nous pensons aux <strong>films</strong>, mais aussi aux <strong>critiques</strong>. Le cin&eacute;ma donc, comme nous le vivons et avons toujours voulu l&#39;&eacute;crire.&nbsp;</p> <p>Notre premier num&eacute;ro partage son sommaire entre deux objets&nbsp;: le <strong>Mac Mahon</strong> et <strong>Fritz Lang</strong>. Le courant des mac-mahoniens, important mouvement critique de la fin des ann&eacute;es&nbsp;1950 et l&rsquo;un des plus grands r&eacute;alisateurs au monde. Un programme scind&eacute; par un entretien de 14 pages avec <strong>Michel Mourlet</strong>, men&eacute; par Justine Alleron.&nbsp;</p> <p>Au long de neuf articles, l&rsquo;originalit&eacute; des mac-mahoniens sera comment&eacute;e, leurs liens avec d&rsquo;autres courants critiques ou r&eacute;alisateurs &eacute;tudi&eacute;s et c&rsquo;est notre propre int&eacute;r&ecirc;t qui finalement sera mis en perspective. De m&ecirc;me, c&rsquo;est de notre <strong>cin&eacute;philie</strong>&nbsp;qu&rsquo;&eacute;merge ici Fritz Lang, r&eacute;alisateur d&#39;aventure, de la peur ou encore&nbsp;de la vitesse. Des films que nous &eacute;crivons un &agrave; un, qui peignent un tableau essentiel du cin&eacute;ma.&nbsp;</p> <p>&Agrave; l&rsquo;inverse de nombreux discours&nbsp;rel&eacute;guant ces films au patrimoine, les r&eacute;duisant aux quelques pages d&rsquo;un dossier, nous avons d&eacute;cid&eacute; d&rsquo;en faire les <strong>pi&egrave;ces ma&icirc;tresses de notre revue</strong>, ces blocs qui forment notre cin&eacute;philie. Celle-ci n&rsquo;a pourtant rien de &ldquo;dat&eacute;&rdquo;, <strong>le cin&eacute;ma tel qu&rsquo;on l&rsquo;entend&nbsp;se voit d&rsquo;aujourd&rsquo;hui et se vit toujours dans les salles</strong>. Nous trouvons n&eacute;anmoins dans ces &oelig;uvres les indices de notre passion, ces &eacute;l&eacute;ments dont il nous faut parler tant ils sont essentiels &agrave; ce que nous qualifions d&rsquo;art cin&eacute;matographique.&nbsp;</p> <p>Enfin, parce que nous venons d&rsquo;affirmer notre attachement au cin&eacute;ma <em>de maintenant</em>, un<strong> cahier critique</strong> ouvrira la revue, dans lequel seront discut&eacute;es les <strong>sorties nationales</strong> du deuxi&egrave;me semestre&nbsp;2020. Une mani&egrave;re pour nous de nouer un lien fort avec la <strong>critique d&rsquo;actualit&eacute;</strong>, discipline qui participe de notre d&eacute;sir de revue.&nbsp;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/662814/ouvert_3-1588515260.png" width="100%" /></p> <h2><strong>La revue&nbsp;&nbsp;</strong></h2> <p>Nous avons fait le choix, avec ce num&eacute;ro papier, de vous offrir un objet de qualit&eacute;, r&eacute;pondant &agrave; nos exigences. Ainsi, cette revue <strong>sans publicit&eacute;</strong> est imprim&eacute;e en Bretagne, avec des encres v&eacute;g&eacute;tales, selon les <strong>normes Imprim&rsquo;Vert</strong>. Elle se compose d&rsquo;une couverture couleur et de <strong>72 pages</strong> noir et blanc dans un format de 180*206. <strong>Trois papiers</strong> aux grammages diff&eacute;rents ont &eacute;t&eacute; s&eacute;lectionn&eacute;s, r&eacute;unis par un dos carr&eacute; coll&eacute;.&nbsp;</p> <p>Cette primaut&eacute; du papier s&rsquo;accompagne d&rsquo;une certaine &eacute;puration et ainsi d&rsquo;une exclusion des images. <strong>Le texte seul</strong> est mis en valeur dans la maquette. &nbsp;</p>