Ceci est mon corps
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<strong> CECI EST MON CORPS</strong></p>
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<strong>Synopsis</strong></p>
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Un curé, tombé amoureux d’une actrice névrosée dans un stage de thérapie, monte à Paris tenter sa chance auprès d’elle et découvre l’auberge espagnole de l’amour et de la sexualité. Parallèlement à la fiction, l’auteur interroge Michel Serres et Michel Onfray sur les épîtres de Saint Paul ou les fondements de la séparation du corps et de l’esprit dans le christianisme, et se prête à une séance de psychanalyse transgénérationnelle avec Bruno Clavier, spécialiste du genre, qui interroge avec lui le secret de famille : sa grand-mère est une fille de curé !</p>
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<strong>Un mot de Jérôme Soubeyrand, Réalisateur/Auteur/Comédien</strong></p>
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Depuis ma petite enfance, je souffre de n'être pas juif ashkénaze. Sans blague. Et la vérité c'est qu'il m'a fallu des années de thérapie pour admettre ma réalité de catholique hétérosexuel non pratiquant. En conséquence de quoi, j'ai compris très tard, pour tout dire, vendredi dernier seulement, avant-veille de Pâques, suite à un jeûne de près de quarante jours, que faute de pouvoir pratiquer l'humour juif new-yorkais, j'étais condamné à pousser l'humour catholique parisien dans ses retranchements. Peu de temps après avoir écrit une des premières versions du scénario, dans ma vie de tous les jours (ou presque), un concours de circonstance m’amène une information – je rêve ?! - ma grand-mère paternelle, la mère de mon père, est selon toute probabilité une fille de curé ! Honte. Opprobre. Et moi, sans le savoir, trois générations plus tard, je viens d’écrire la réparation de cette histoire douloureuse, en racontant sous forme de comédie, les tribulations d'un curé qui finit par quitter la prêtrise pour élever l'enfant qu'il a d'une femme qu'il aime ! Une deuxième révélation surgit d'elle-même, un matin au petit déjeuner : que ma grand-mère soit une fille de curé est une chose, mais ma réalité à moi… c'est que je suis un arrière-petit-fils de curé ! <strong>Jérôme Soubeyrand </strong></p>
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<strong>Un mot de Pierre-Loup Rajot, Producteur/Distributeur </strong></p>
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Le film de Jérôme s’inscrit dans ce que je cherche à rencontrer depuis mes débuts en tant qu’acteur, une sorte d’alchimie, entre un propos que je pense utile et nécessaire, et une implication profonde de la personne qui va mettre en valeur ce propos… Se rajoute à ça le sens de la comédie qui m’est particulièrement cher pour faire passer des idées fortes comme celles évoquées dans le film et que Jérôme possède intimement… D’ailleurs, il avait déjà pratiquement son casting haut en couleurs quand nous avons décidé de nous lancer, je n’ai fait que l’aider à le compléter et lui présenter des techniciens capables de le comprendre et de travailler vite… Mon ambition secrète était qu’il ne fasse pas un film sur la chair et la foi, mais « le » film sur la chair et la foi. J’ai essayé de le guider en cela, en lui demandant de s’impliquer peut-être encore plus qu’il ne le désirait lui-même… <strong>Pierre-Loup Rajot</strong></p>
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<strong>Un mot de Marina Tomé, Comédienne</strong></p>
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Collaborer à l'écriture d'une pièce ou d'un film, aider un auteur à cerner son sujet et ne pas le lâcher, participer à la création d'un univers est pour moi une des pistes jubilatoires de mon travail. J'aime laisser mon imagination d'autrice, voguer sur les terres des autres.</p>
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Et pour "Ceci est mon Corps" dans la mesure où j'allais jouer Marlène, c'était je l'avoue totalement jouissif. Marlène est un personnage haut en couleurs, une figure de femme libre et épanouie mais pleine de toutes les contradictions. 50 ans et toujours vivante, ni vieille fille sèche, ni nounou gironde, en pleine ménopause oui mais toujours amoureuse, Marlène est dans l'action, elle brasse, elle agit. Dans la ligne droite de cette maxime que je faisais dire à ma mère dans un de mes spectacles, "Agis,agis, ne prend pas de pose, les femmes comme nous ne sont belles que dans le mouvement". Si Marlène était là, elle proposerait à l'issue de la sortie de ce film des cercles de femmes, partout dans chaque ville, des cercles où une parole libre sur la sexualité pourrait s'échanger, car comme elle le dit à Gabin, curé dans le film (et c'est la phrase de tout ce que j'ai apporté à ce scénario qui me tient le plus à coeur) : "Seule une femme peut aider une autre femme à construire ce qui n'a pas été acquis". <strong>Marina Tomé</strong>.</p>
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<u>CE QU'ILS EN DISENT DANS LA PRESSE</u></p>
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<em>"Ceci est mon corps, un bonheur pour l'âme</em></p>
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<em>C’est un petit film unique, intense, impudique, délicat, fou de liberté, d’inspiration, de sage incertitude et de joie. Un film qui dit « Nous avons tous quelque chose de Dieu, qui est amour, et c’est d’ailleurs pour ça qu’on l’aime. Et qu’on s’aime », qui le dit et qui le prouve. Bref, « Ceci est mon corps » est une épopée, une comédie, un poème, une sorte d’évangile, mais avant tout une merveilleuse déclaration d’amour.</em></p>
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<em>Gabin, curé d’un village Ardèche, s’est épris d’une comédienne laquelle a conduit dans son pays un stage de coaching psychologique, et vient retrouver à Paris. De rencontre en étreintes, de coups de foudre en confessions, le tendre prêtre incarné par Jérôme Soubeyran, l’auteur-metteur en scène du film apprend à aimer et à vivre, au long d’un parcours renversant de paradoxes, d’outrage aux mœurs trop tièdes et d’attentats aux pensées formatées.</em></p>
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<em>Des bouffées de vent d’Espagne apportent de temps en temps des nouvelles d’Almodovar, mais « Ceci est mon corps » ne ressemble à rien de connu, le réalisateur ayant une espèce de génie pour attraper au vol ces pensées foutraques que nos consciences chassent en général, et ne les lâcher qu’après leur avoir fait dégorger toute leur aveuglante évidence. Le film creuse notre intérieur, arrache nos certitudes, écrase nos habitudes et prouve qu’un curé sans habit, c’est une âme qui se dé-robe. « Ceci est mon corps culmine » nous délivre une espèce d’orgasme informatif dans une séquence inouïe où l’héroïne (Maria Tomé, co-scénariste) explique aux hommes le plaisir des femmes, et on ne cesse de croiser sexualité, homosexualité, vocation, célibat, religion, abstinence, dans un chemin éclairé par Michel Serres et Michel Onfray, philosophe, et le psychanalyste Bruno Clavier.</em></p>
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<em>Une introduction où domine le loufoque, puis vient le grand bonheur de comprendre et de partager. Pour être franc, « Ceci est mon corps » ressemble à un heureux acte sexuel : d’abord, de délicieux préliminaires, et puis on passe à l’approfondissement.</em></p>
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<em>La liberté du ton faisant le reste, cette belle histoire de prêtre a tout pour devenir un film culte."</em></p>
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<u>Alain Riou, Le Blog du Nouvel Obs(12/12/2014)</u> </p>
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<a href="http://alain-riou.blogs.nouvelobs.com/archive/2014/12/12/ceci-est-mon-coeur-un-bonheur-pour-l-ame-549816.html" target="_blank">http://alain-riou.blogs.nouvelobs.com/archive</a></p>
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<img alt="Capture_d__cran_2015-03-31___16.04.57-1427811055" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/180540/Capture_d__cran_2015-03-31___16.04.57-1427811055.png"></p>
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<em>"Une oeuvre décalée qui ne cale pas, un Ofni, un objet filmique non identifié est tombé du ciel: un essai entre "Un chien andalou" et "la Nuit du chasseur".</em></p>
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<em>Jérôme Soubeyrand, qui signe là son premier film comme réalisateur, n’a encore qu’une poignée de collaborations à son actif. La plus connue est sans doute Pièce montée de Denys Granier-Deferre. Cette fois, nous avons tous les symptômes qui furent ceux, il y a bien longtemps, de la nouvelle vague, absence manifeste de budget, présence du réalisateur dans le rôle le plus important, même s’il serait vain de le qualifier de rôle-titre, intrigue foisonnante digne de Jean-Pierre Mocky, qui s’en était pourtant fait une spécialité, accompagnée d’une pointe d’anticléricalisme anarchisant, son autre spécialité, présence de penseurs à la mode ou pouvant en tenir lieu.</em></p>
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<em>Là, ce serait plutôt à Jean-Luc Godard que l’on penserait, celui faisant tourner Brice Parain dans Vivre sa vie par exemple. C’est ainsi que l’on voit Michel Serres et Michel Onfray, auxquels il convient peut-être de rajouter le psychanalyste et psychologue clinicien Bruno Clavier, capable d’éructer une idée à la seconde sans que l’on parvienne à distinguer si c’est du lard ou du cochon. Cette joyeuse brochette se mélange parfaitement aux parfaits inconnus que sont, pour nous, les présumés « stars » du film, Marina Tomé, Laetitia Lopez ou Christophe Alévêque, pourtant impayable comme il a pu le prouver en intégrant la bande à Ruquier il y a maintenant dix ans. Quant au titre, il est bien entendu emprunté à l’Évangile selon saint Matthieu. L’intrigue, elle, pourrait renvoyer au Bunuel de l’Âge d’or, tant elle est belle comme la Rencontre fortuite d’un parapluie et d’une machine à coudre sur une table de dissection.</em></p>
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<em>Résumons, un curé, tombé amoureux d’une actrice névrosée dans un stage de thérapie, monte à Paris tenter sa chance auprès d’elle et découvre l’auberge espagnole de l’amour et de la sexualité. Tout cela va déboucher sur la plus amère des conclusions. Non seulement notre curé ne sait pas à quel penchant sexuel il lui convient de succomber, en particulier lorsque Satan l’habite. On vous laissera deviner de quel personnage il s’agit, sachant que sa grand-mère est une fille de curé.</em></p>
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<em>Le film a eu les honneurs du Festival international du film grolandais. Sidérant de non-conformisme, il sort aujourd’hui en exclusivité au cinéma La Clef, à Paris. Il ne lui manque plus qu’un distributeur n’ayant pas peur d’affronter les risques y afférant. Le courage paie parfois."</em></p>
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<u>Jean Roy, l'Humanité (10/12/2014)</u> </p>
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<a href="http://www.humanite.fr/une-oeuvre-decalee-qui-ne-cale-pas-559828" target="_blank">http://www.humanite.fr/une-oeuvre-decalee-qui-ne-cale-pas</a> </p>
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<img alt="Capture_d__cran_2015-03-31___16.20.46-1427811669" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/180552/Capture_d__cran_2015-03-31___16.20.46-1427811669.png"></p>
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<em>"Corps et Âmes</em></p>
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<em>La peur du sexe et des femmes -on brûlait les "sorcières" au Moyen Age- a longtemps été au programme de l'éducation des prêtres dans notre Occident chrétien. "Ceci est mon corps" dynamite cet héritage avec une bonne humeur toute païenne.</em></p>
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<em>Après avoir donné ses dernières consignes à son remplaçant affolé par le nombre de paroisses à desservir-"Que veux tu? On est de moins en moins nombreux!"- le curé ardéchois Gabin (Jérôme Soubeyrand, acteur et réalisateur) prend le premier train pour Paris et pour l'amour, croit-il... Au cours d'un stage d'été, il a rencontré une Parisienne, et il court la rejoindre, persuadé qu'elle va lui ouvrir ses bras et sa maison. Pour sa maison, elle accepte, le temps de le dépanner; quant à son coeur, elle se souvient à peine de lui, et son corps est tout occupé, hélas pour elle, par un homme marié.</em><em>Mais, Dieu merci, dans sa maison, on pratique l'amour libre et toutes autres formes d'amour et Gabin rattrape le temps perdu. </em></p>
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<em>"Ceci est mon corps" est une farce qui a remporté le Prix du public l'an dernier... au festival de Groland, naturellement. On y croise Christophe Alévêque, le bien nommé, en banquier de jour et travesti la nuit. On y voit le producteur du film Pierre-Loup Rajot, en évêque conciliant attendant patiemment que sa brebis égarée revienne au bercail.</em></p>
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<em>Entre scènes rocambolesques, sont convoqués Michel Serres qui nous parle fort bien de l'histoire du sexe dans les religions. Et Michel Onfray qui discourt avec conviction sur saint Paul, grand responsable du bannissement du sexe dans la religion chrétienne, pour la seule raison, selon lui, que Paul était impuissant. A quoi tiennent deux mille ans de répression sexuelle ! </em></p>
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<em>Un troisième intellectuel, le psychanalyste Bruno Clavier, s'amuse à faire l'arbre généalogique du cinéaste et découvre que sa grand-mère est la fille d'un curé. La boucle est bouclée dans ce film ou la plupart des intervenants ne croient pas en Dieu mais au sexe comme voie du bonheur. Qui suis-je pour les en blâmer? "</em></p>
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<u>François Quenin, Témoignage Chrétien (11/12/2014)</u></p>
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<a href="http://www.isabelleburon.com/upload/RDP-CECI-EST-MON-CORPS.pdf" target="_blank">Revue de Presse/Ceci est mon Corps</a></p>
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<img alt="Article_midi-libre-1427888167" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/180934/Article_Midi-Libre-1427888167.jpg"></p>
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"Ceci est mon corps" sur France Inter: Christophe Alévêque interviewé par Nagui (30/03/2015)</p>
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2F4cqi-cT4BuI%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&wmode=opaque&url=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3D4cqi-cT4BuI&image=http%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2F4cqi-cT4BuI%2Fhqdefault.jpg&key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&type=text%2Fhtml&schema=youtube" width="540"></iframe></p>
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<u>NOS SOUTIENS</u></p>
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"CECI EST MON CORPS est une sorte d’Ovni qui embarque le spectateur sur des chemins de traverse loin</p>
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du logiciel imposé par la société, la religion et les gourous du scénario qui nous expliquent comment faire un bon film commercial.</p>
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Ne vous y trompez pas, Ceci Est Mon Corps, bien que tourné avec un “nanobudget” est un vrai film, avec des vrais morceaux de grand cinéma dedans, parfois brut, parfois rêche, parfois maladroit, mais toujours inventif et joyeux.</p>
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– “Ceci Est Mon Corps ça parle de quoi? me direz-vous. De Jésus?</p>
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Non, de nous! De nous et de cette sexualité qui nous inquiète, nous dépasse, nous obsède et parfois nous fait toucher au bonheur d’aimer librement." <strong> Christian Rauth</strong></p>
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"J'ai découvert Ceci est mon corps après avoir passé une semaine dans un monastère pour écrire ce qui allait devenir Near death experience. Aussi cette histoire revigorante de curé qui se défroque à la vitesse de la prière m'a-t-elle fort touché et amusé. Que les moines bénédictins me pardonnent, mais je suppose qu'eux-mêmes ne résisteraient pas aux charmes extravagants de tels personnages, si sensuels à défaut d'être sensés… "<strong>Benoît Delépine</strong></p>
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"Voici un film qui jouit et nous fait jouir sans entraves. Jérôme Soubeyrand réalise un film libertaire en toute liberté. Il nous laisse à voir et à penser qu'un film peut se faire avec le désir tout en nous montrant le désir. Sa caméra nous donne la pêche car elle nous prouve que l'on peut filmer à la première personne en incluant le spectateur et en le passionnant tout en restant hermétique aux lois du marché." <strong>Thomas Gilou.</strong> </p>