Ma poupée
<h2>PITCH</h2>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/617052/LEONARD1-1568645312.jpg" width="100%" /></p>
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<p>Léonard 30 ans a du mal à se remettre de sa rupture avec Mira, jusqu’au jour où il rencontre Jennifer. Le bonheur s’installe à nouveau dans sa vie, le seul problème c’est que Jennifer est une poupée gonflable...</p>
<h2>NOTES D'INTENTION DES AUTEURS</h2>
<p><strong>DAVID BERGUIG</strong></p>
<p>Une matinée de juin 2019, alors que je regarde par la fenêtre de mon bureau, je tombe par hasard sur l’étrange silhouette de ce qui ressemble à une poupée gonflable posée sur un canapé.
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<p>D’abord perturbé et dérangé, je me suis rapidement imaginé à la place de mon voisin et je me suis rendu compte que la poupée gonflable n’était pas qu’un simple « objet du désir ». Elle n’était pas non plus réduite à son utilité première : celle d’objet sexuel. Au contraire, elle a pour fonction de combler un vide.</p>
<p>C’est pourquoi, raconter une histoire d’amour m’est apparue comme une évidence. Cette poupée, sans vie, représente la porte d’entrée d’un monde imaginaire, par lequel, chacun peut s’identifier au personnage principal. </p>
<p>Aujourd’hui, nous sommes tous connectés grâce aux technologies et autres réseaux sociaux que nous avons à portée de main. Cependant nous ne faisons que combler des vides afin de supporter, au mieux, notre propre condition humaine.</p>
<p><strong>NELSON DAVID</strong></p>
<p>Un soir, David me parle — au détour d’une conversation, d’une scène dont il a été témoin plus tôt dans la journée.</p>
<p>Une fois rentré chez moi, je n’ai pu m’empêcher de repenser à cette anecdote de poupée gonflable.</p>
<p>Qu’est-ce qui peut pousser un homme à s’offrir une poupée de ce genre ? Est-ce un fantasme purement sexuel ? Dans ce cas-là pourquoi regarder la télévision avec elle ? N’a-t-on pas d’autres moyens de trouver de la compagnie ? </p>
<p>J’ai tout de suite pensé au personnage de Tom Hanks dans le film « Seul au monde » , qui a pour ami et confident Wilson, un simple ballon de volley-ball. </p>
<p>En regardant des photos de Wilson sur Instagram, le lien avec notre monde hyper connecté jaillit. Et si finalement nos objets connectés n’étaient pas nos Wilson 2.0 ? </p>
<p>Le lendemain matin, mon téléphone sonne. Au bout du fil, David tout excité, se met à me raconter les prémisses de ce que deviendra le scénario de « Ma poupée ». </p>
<p>Ensemble, nous avons décidé d’écrire « Ma poupée », la bonne histoire pour aborder des sujets qui nous touchent profondément ; comme la solitude, l’incompatibilité amoureuse ou encore les non-dits familiaux.</p>
<h2>NOTE DE REALISATION</h2>
<p><strong>LA MISE EN SCENE </strong></p>
<p>Pour mieux comprendre l’histoire de Léonard — son regard et ses sentiments, nous faisons le choix d’une mise en scène intimiste.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/617057/Leo2-1568645544.jpg" width="100%" /></p>
<p>Afin de retranscrire au mieux la solitude et l’état de veille de notre protagoniste, la première partie est majoritairement composée de plans fixes.</p>
<p>En jouant avec le langage cinématographique <em>(des valeurs de plans accentuées et un montage qui multiplie les coupes, jump-cuts et inserts) </em>nous intensifions les pensées de notre personnage. Un homme dont l’esprit est sans cesse parasité et qui ne trouve pas sa place.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/617060/leo3-1568645697.jpg" width="100%" /></p>
<p>L’arrivée de la poupée enclenche la deuxième partie de la mise en scène.</p>
<p>Paradoxalement alors que cet objet est immobile, il entraîne un mouvement dans la vie de Léonard.</p>
<p>C’est pourquoi les plans fixes de la première partie sont maintenant accompagnés par des travelings, zooms.</p>
<p>Le “bonheur” éphémère de Léonard — enfermé dans sa bulle avec sa poupée, est filmé avec des longues focales. Ce moyen permet de déconnecter un peu plus notre protagoniste du monde réel. </p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/617061/leo4-1568645794.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>LES DÉCORS</strong></p>
<p>Les décors sont minimalistes, intemporels voire anachronique: seul le strict minimum nécessaire à l’histoire est présent pour rendre l’histoire la plus universelle possible. </p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/617063/leo5-1568645842.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>LA MUSIQUE</strong></p>
<p>La musique a une place très importante dans le film. Nous souhaitons faire appel à un compositeur pour l’élaboration d’une musique originale, afin de créer une atmosphère planante dans le style de Brian Eno.</p>
<h2>BIOGRAPHIES DES AUTEURS</h2>
<p><strong>DAVID BERGUIG</strong></p>
<p>David-Simon Berguig est né en 1991 à Paris. Après 2 années en faculté de médecine Paris 7, il décide de se rediriger vers la production audiovisuelle.</p>
<p>Diplômé de l’ESRA Paris (école supérieure de réalisation audiovisuelle) en section réalisation, il se dirige dans un premier temps vers la production. Il effectue son premier stage chez Quad productions, aux cotés de Laurent Zeitoun scénariste et producteur français, où il découvre le milieu du cinéma français. Il devient par la suite l’assistant de Laetitia Galitzine chez Chapka films.</p>
<p>De 2015 à 2018, David travaille au sein du groupe Canal +, comme directeur de production pour les émissions de Mouloud Achour.</p>
<p>En juin 2018, David lance SIMA productions, pour se consacrer exclusivement à la création de contenu publicitaire, format documentaire ainsi que des court métrages de fiction.</p>
<p><strong>NELSON DAVID</strong></p>
<p>Nelson DAVID est né en 1988 à Paris. Il suit des études de cinéma à faculté Paris 8, puis il décide de se tourner vers le monde de la radio et de la télévision.<br />
Diplômé du Studio école de France Paris en section production & réalisation, il commence son expérience dans le monde audiovisuel chez le groupe Lagardère. </p>
<p>Très vite, il revient à sa première passion : le cinéma. Il décide de repartir à zéro et multiplie les expériences sur le terrain (CANAL+, M6, KISSMAN PRODUCTION…), d’abord en tant que régisseur, puis dans la production. </p>
<p>En 2017, fort de ses expériences, Nelson se lance de l’écriture de scenario.</p>
<h2>Répartition des dépenses</h2>
<h2><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/610334/Copie_de_Pie_Chart-3-1565546747.png" width="100%" /></h2>
<p><strong>Soit en Chiffres :</strong></p>
<p>- 1500 € pour l'image : location caméra, éclairages et machinerie</p>
<p>- 1300€ pour la post-production : montage Image & Son, étalonnage et mixage</p>
<p>- 900€ pour la régie et les transports : repas pour 10 personnes pendant 5 jours de tournage, location de camions...</p>
<p>- 800€ pour le son : location micros, perches et mixettes</p>
<p>- 500€ pour les costumes et le maquillage </p>
<p><strong>L'Objectif</strong></p>
<p>Il est de <strong>5 000 euros </strong>mais comme vous le savez chaque jour de tournage coûte cher (location du matériel, etc.) et sur un plateau de tournage ce qui est le plus important... c'est d'avoir du<strong> temps</strong> pour bien faire les choses donc si <strong>grâce à vous </strong>on dépasse cette somme, nous pourrons allonger le temps de tournage et ainsi améliorer la finalisation du film lors de la post-production !</p>
<p><strong>Paliers :</strong></p>
<p><strong>7 000 euros </strong></p>
<p>Composition d'une musique originale + location de moyens techniques (dolly, steady cam...).</p>
<p><strong>8 500 euros</strong></p>
<p>Allongement du temps de tournage + tournage en studio.</p>
<p><strong>10 000 euros</strong></p>
<p>Promotion du film + accompagnement du film en festival.</p>
<p><strong>Agenda</strong></p>
<p>Septembre-Octobre : Campagne de financement.</p>
<p>Début Novembre : préparation du tournage avec l'équipe technique et artistique.</p>
<p>Décembre : Tournage de 5 jours à Paris et ses environs.</p>
<p>Janvier : Montage & Post-production.</p>
<p>Février : Projection privée dans un cinéma et envoi en festivals.</p>
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