TARTUFFE - Compagnie Les Indomptables
<p style="text-align:center"><img alt="" height="220" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618190/Cie_Les_Indomptables-1569067817.jpg" width="220" /></p>
<p><strong>TARTUFFE </strong>c'est le deuxième projet de la <strong>Compagnie les Indomptables</strong>. Après deux ans de travail, les premières représentations auront lieu les <strong>28 et 29 novembre</strong> prochains à <strong>L'Atelier à Spectacle</strong> (C'est à Vernouillet, en Eure-et-Loir).</p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618202/70448423_1105113756361271_2041639169742077952_o-1569071410.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>TARTUFFE</strong> c'est une équipe de <strong>14 artistes </strong>avec à la mise en scène <strong>Fintan Gamard</strong>, à l'assistanat <strong>Mathilde Salès</strong>, à la composition <strong>Adrien Irankhah</strong>, aux costumes <strong>Brice Wilsius</strong>, à la création lumières <strong>Loeiz Perreux</strong>, à la scénographie <strong>Romain Pene</strong>, à la photographie <strong>Louis Paul</strong> et au plateau <strong>Mona Abousaïd</strong>, <strong>Corinne Bastat</strong>, <strong>David Bescond</strong>, <strong>Lucas Borzykowski</strong>, <strong>Paul Feat-King</strong>, <strong>Emmanuel Grospaud</strong>, <strong>Clovis Guerrin</strong> <strong> </strong>et <strong>Juliette Paul</strong>. Si vous avez du courage, vous pourrez lire chaque biographie un peu plus bas... </p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618203/70451788_1104257479780232_8812128703514411008_o-1569071502.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>TARTUFFE</strong> c’est l’histoire d’une famille et d’un homme<br />
Un homme que l’autorité impose et que les autres subissent<br />
L’autorité, c’est Orgon, le père<br />
L’homme, c’est Tartuffe...<br />
Il est question d'ordre moral, de violence, d'abus et d'intégrisme<br />
La maison familiale s'érige en prison, en monastère, en purgatoire<br />
Chacun tente de combler le vide de son existence, de trouver le moyen de résister, de fuir, de combattre, de vivre enfin<br />
Mais il est peut-être déjà trop tard…</p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618212/70581830_1104258973113416_2295271771848310784_n-1569074119.jpg" width="100%" /></p>
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<p style="text-align:center"><strong>NOTE D'INTENTION</strong></p>
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<p>Avec ses trois-cent-cinquante ans (création de la version définitive le 05 février 1669 au Théâtre du Palais-Royal), <strong>Tartuffe</strong> conserve un propos <strong>fortement actuel</strong>, tant par son contexte d’écriture que par les interrogations qu’il soulève.</p>
<p>Au XVIIe siècle, c’est dans une France catholique, sous une monarchie absolue de droit divin que la pièce de Molière est interdite. </p>
<p>À l’automne 2011, la France est une République laïque. Pourtant, les pièces Sur le concept du visage du fils de Dieu, de Roméo Castellucci et Golgota Picnic, de Rodrigo Garcia sont confrontées à de violentes manifestations organisées par l’Institut Civitas pour tenter d’en interdire les représentations aux théâtres de la Ville et du Rond-Point.</p>
<p>Les 10 et 11 avril 2018, suite à des courriers de protestation, la Préfecture de la Sarthe censure la scène finale de Sur le concept du visage du fils de Dieu lors des représentations données au Mans.</p>
<p>Ces différentes <strong>censures</strong> ne sont pas très éloignées de celle qui touche Molière de 1664 à 1669. Elles participent pour moi d’une nécessité de mettre en scène Tartuffe, notamment afin de défendre avec ténacité une<strong> liberté d’expression artistique</strong> qui ne devrait être que pleine et entière au XXIe siècle.</p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618215/70830094_1104259013113412_5241967255025090560_o-1569074931.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>“Le monde entier est un théâtre, Et tous, homme et femme, n’y sont que des acteurs; Ils ont leurs sorties et leurs entrées, Et chacun dans sa vie a plusieurs rôles à jouer” (W. Shakespeare - Comme il vous plaira).</strong></p>
<p>Après Les Bonnes, de Genet, la mise en scène de <strong>Tartuffe</strong> s’inscrit dans une continuité de recherche. À travers une réflexion sur la religion, l’imposture et l’intégrisme, je souhaite poursuivre mon questionnement sur la <strong>mise en abîme</strong> du théâtre, sur l’<strong>identité</strong>, sur l’<strong>enfermement </strong>physique et psychologique des personnages.</p>
<p>Enfant, lorsque j’allais en vacances chez ma grand-mère maternelle, il lui arrivait parfois de m’emmener à la messe. Sans l’avoir conscientisé à l’époque, une grande part de mes premières envies théâtrales viennent de là…</p>
<p>Il y a chez le comédien, comme chez le prêtre, une mise en abîme innée, formidable : ils se déguisent, c’est à dire qu’ils sortent de leur “guise”, de leur manière d’être, pour endosser le costume de la représentation ou de la cérémonie.</p>
<p>C’est cette <strong>mise en abîme</strong> que je recherche au théâtre, la différence, l’écart qu’elle crée entre deux personnages : les pistes de lectures deviennent multiples, les <strong>rapports de force</strong> deviennent plus complexes et le spectateur peut se questionner tant sur le masque que sur celui qui le porte. Par cette mise en abîme, l’imposture peut devenir visible et palpable.</p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618217/IMG_0141-1569075176.JPG" width="100%" /></p>
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<p><strong>“Le vingt-et-unième siècle sera religieux ou ne sera pas.” (A. Malraux)</strong></p>
<p>Ces dernières années, nous assistons à un retour en force de l’<strong>intégrisme religieux</strong> dans notre société.</p>
<p>Intégrisme au sens premier du mot, tel qu’il est défini dans le dictionnaire, à savoir : </p>
<p>“Attitude et disposition d’esprit de certains croyants qui, au nom du respect intransigeant de la tradition, se refusent à toute évolution.”</p>
<p>En privilégiant la forme plutôt que le fond, le paraître plutôt que l’être, les nouvelles générations se trouvent confrontées à une <strong>perte d’identité</strong> qu’elles tentent de <strong>combler</strong> par un retour à certaines valeurs, notamment le religieux, afin d’avoir le <strong>sentiment d’exister</strong>, afin d’être reconnues en tant qu’<strong>individus</strong>. Plus la société est normée et plus l’individualité sortant de cette norme inquiète, conduisant à un repli identitaire et à une tentation des extrêmes.</p>
<p>À l’image de la famille d’Orgon, nous assistons à une résurgence d’un ordre moral liberticide, agissant comme un néo-directeur de conscience auprès de certains. L’<strong>enfermement</strong> qu’il engendre et la <strong>tension</strong> que cela crée entre les personnages m’intéresse particulièrement.</p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618218/70506880_1104258783113435_870411049935831040_o-1569075272.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>“Où la personne d’autrui cesse de nous émouvoir, là seulement peut commencer la comédie.” (H. Bergson - Le Rire)</strong></p>
<p>Si Tartuffe est une comédie, elle n’en reste pas moins une pièce violente, quasiment tragique dans le propos. Il y est question de patriarcat, d’<strong>ordre moral</strong>, d’enfermement physique et psychologique, de mariage forcé, d’enfants déshérités, de manipulations, de trahisons et d’hypocrisie.</p>
<p>J’assume pleinement l’aspect dramatique de la pièce. En ce sens, je supprime le deus ex machina final qui, par l’action de la providence, permet à la pièce un dénouement heureux. Cela permettra au spectateur de laisser libre cours à son imagination et à moi-même de proclamer utopiquement qu’en ce début de XXIe siècle troublé, ni l’imposture ni l’intégrisme ne peuvent gagner.</p>
<p style="text-align:right">Fintan Gamard</p>
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<p style="text-align:center"><strong>L'EQUIPE DE CREATION</strong></p>
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<p><img alt="" height="170" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618166/Fintan_Gamard-1569062936.jpg" width="163" /><strong> Fintan GAMARD</strong> - Metteur en scène</p>
<p>Formé au Théâtre du Chêne Noir (Avignon – Gérard Gélas) et au Conservatoire (Paris – Jean-Marc Popower), il est également titulaire d'une Licence de Théorie et Pratique des Arts de la Scène (Aix-Marseille Université).</p>
<p>Il intègre plusieurs compagnies et joue notamment dans <em>Le Bourgeois Gentilhomme</em>, de Molière ; <em>Antigone</em>, d’Anouilh ; <em>Les Justes</em> et <em>Caligula</em>, de Camus ; <em>La Mouette</em>, de Tchékhov ; <em>Urgent Crier</em>, de Benedetto ; <em>Elle, et le Petit Prince</em>, de Vincent Siano ; <em>Hedda Gabler</em>, d'Ibsen ; <em>Carapaces</em>, de Christian Siméon ; <em>Hernani</em>, de Hugo ; etc...</p>
<p>Il met en scène <em>Le Roi se meurt</em>, de Ionesco ; <em>La Nuit des rois</em>, de Shakespeare ; <em>Les Quatre Jumelles</em>, de Copi ; et assiste Louis Dieuzayde à la mise en scène de <em>L'Espace furieux</em>, de Novarina. Il mène également de nombreux ateliers avec les scolaires depuis 2011.</p>
<p>Il co-fonde en 2016 la Compagnie Les Indomptables et met en scène <em>Les Bonnes</em>, de Genet et <em>Tartuffe</em>, de Molière.</p>
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<p><img alt="" height="164" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618170/Mathilde_Sale_s-1569063526.jpg" width="164" /><strong> Mathilde SALES</strong> - Assistante à la mise en scène, Conseillère chorégraphique</p>
<p>Formée au Conservatoire (Paris – Catherine Chatelain) en danse contemporaine, elle est également titulaire d’une Licence d’Histoire de l’Art (Paris – École du Louvre) et d’un Master en Psychologie Clinique (Paris VII – Diderot). </p>
<p>Elle participe à de nombreuses performances ainsi qu'à l'élaboration de spectacles interdisciplinaires comme <em>La Partita</em>, de Bach ou encore <em>Trois pièces pour clarinette solo</em>, de Stravinsky.</p>
<p>Après avoir obtenu son Certificat d’Études Chorégraphiques, elle poursuit son apprentissage en s'ouvrant à la danse classique, au modern-jazz et à la danse Odissi.</p>
<p>Elle est assistante à la mise en scène et conseillère chorégraphique de Fintan Gamard depuis la création de la Compagnie Les Indomptables.</p>
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<p><img alt="" height="164" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618171/Mona_Abousai_d-1569063724.jpg" width="164" /><strong> Mona ABOUSAÏD</strong> - Comédienne - Dorine</p>
<p>Formée au Conservatoire (Paris ‒ Jean-Marc Popower), elle est également titulaire d’un Master en Médiation Culturelle (Paris III ‒ Sorbonne Nouvelle) et pratique la danse contemporaine depuis son plus jeune âge.</p>
<p>En 2017, elle joue dans <em>Les Quatre Jumelles</em>, de Copi, mis en scène par Fintan Gamard.</p>
<p>En 2018, elle co-fonde la Compagnie 1% artistique et joue dans <em>Bimbo Estate</em>, de Garance Bonotto.</p>
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<p><img alt="" height="154" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618172/corinne_Bastat_a-1569063795.JPG" width="163" /> <strong>Corinne BASTAT</strong> - Comédienne - Elmire</p>
<p>Formée au Conservatoire (Orléans), puis au cours Jean-Louis Martin-Barbaz, elle poursuit sa formation professionnelle sous la direction de Stuart Seide, Jean-Claude Fall, Philippe Minyana, Nadia Vonderheyden, Sylvain Maurice, Georges Aperghis.</p>
<p>Elle joue notamment dans <em>Les amours tragiques de Pyrame et Thisbé</em>, de Th. de Viau ; <em>Le Revoir</em>, d’après Racine ; <em>Inventaires</em> de Minyana ; <em>Macbeth</em>, de Shakespeare ; <em>Déjeuner chez Wittgenstein</em>, de Bernhard… </p>
<p>Après <em>Requiescat in Pace</em>, elle joue <em>La Mastication des Morts</em>, de P. Kermann avec l’Interlude T/O au Théâtre du Nord et au Théâtre du Rond-Point. Elle travaille également avec la Compagnie Les Voyageurs, la Compagnie Gakokoé ou encore le groupe Les Sardines.</p>
<p>Elle adapte et met en scène <em>Histoire d’un Allemand, souvenirs 1914-1933</em> de S. Haffner ; <em>Barbe Bleue attendra son tour</em>, de G. Rando ; ou encore <em>Yvette Horner et l’odeur du mouton</em> de et avec Mohamed Guellati, au CDN de Besançon puis au Granit de Belfort.</p>
<p>Elle participe à des formes radiophoniques et vidéos et mène également de nombreux ateliers.</p>
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<p><img alt="" height="164" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618173/David_Bescond-1569063860.jpg" width="164" /> <strong>David BESCOND</strong> - Comédien - Orgon</p>
<p>Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT ‒ Lyon) en 2008, il travaille avec Joël Pommerat, Christian Schiaretti, Matthias Langhoff ou encore Michel Raskine.</p>
<p>Il co-dirige un temps la Compagnie Grime et Concocte avec laquelle il joue notamment <em>Le Funambule</em>, de Genet ; <em>Mercedes</em>, de Brasch ; et met en scène le cabaret <em>Good Bye Party!</em>. Il intègre plusieurs compagnies: Les 7 soeurs, Mavra, la Compagnie du Vieux Singe, le Collectif le Bleu d’Armand, la Compagnie de Onze à Trois heures, L’Incertaine Compagnie… avec lesquelles il joue <em>Dissocia</em>, de Neilson ; <em>L’île des esclaves</em>, de Marivaux ; <em>Playloud</em>, de Richter ; <em>Agamemnon</em>, de Sénèque ; <em>Yaacobi et Leidental</em>, de Levin ; <em>L’homme aux petites pierres…</em>, de Benedetto ; ou encore <em>Les Contes fantastiques</em>, de Maupassant. </p>
<p>Pluridisciplinaire, il participe à des formes radiophoniques, vidéos et photographiques. Il mène également des ateliers et des actions culturelles auprès de publics jeunes et adultes.</p>
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<p><img alt="" height="174" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618174/Lucas_Borzykowski-1569063919.jpg" width="164" /> <strong>Lucas BORZYKOWSKI</strong> - Comédien - Damis, Loyal</p>
<p>Formé au Laboratoire de Formation au Théâtre Physique (Paris ‒ Maxime Franzetti), il est également titulaire d’un Master en Études Théâtrales (Paris III ‒ Sorbonne Nouvelle).</p>
<p>Il joue notamment dans <em>Platonov</em>, de Tchékhov et <em>Antigone</em>, de Angèle Peyrade et fait ses débuts au cinéma dans <em>Ce soir-là</em>, de Marion Laine. </p>
<p>Avec le Collectif Nash, il joue <em>La Communauté imaginée</em> et met en scène <em>Splendeur dans l’herbe</em>. </p>
<p>En 2018, il fait partie des Talents Adami Paroles d’Acteur et travaille sous la direction de Joris Lacoste dans <em>Noyau ni fixe</em>.</p>
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<p><img alt="" height="160" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/621923/Paul_Fe_at-King_1-1570374198.jpeg" width="160" /><strong> Paul FEAT-KING</strong> - Comédien - Valère</p>
<p>Formé à l'école Les Enfants Terribles (Paris – Jean-Bernard Feitussi) et au Conservatoire (Paris – Jean-Marc Popower), il intègre plusieurs compagnies et joue notamment avec Emmanuel Grospaud dans Le Théâtre ambulant, de Simovitch ; Le Quatrième Mur, d'après Sorj Chalandon ; ou encore The Nature and purpose of the universe, de Christopher Durang.</p>
<p>Passionné de voyages et d'aventures, il part vivre six mois au Chili entre août 2016 et février 2017 afin de découvrir d’autres modes d’expression corporelle ainsi qu’une approche différente de l’art dramatique. Avec la compagnie Les Indomptables, il interprète le personnage de Claire, dans Les Bonnes, de Genet, mis en scène par Fintan Gamard.</p>
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<p><img alt="" height="164" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618175/Emmanuel_Grospaud-1569063998.jpg" width="164" /> <strong>Emmanuel GROSPAUD</strong> - Comédien - Madame Pernelle, Tartuffe</p>
<p>Formé au Conservatoire (Paris – Jean-Marc Popower), il est également titulaire d'une Licence d’Études Théâtrales (Paris III – Sorbonne Nouvelle).</p>
<p>Son expérience la plus marquante sera de jouer dans <em>Europa</em> mis-en-scène par Jan Lauwers-Needcompany, lors de la Biennale de Venise en août 2015.</p>
<p>Il intègre différentes compagnies avec lesquelles il joue notamment <em>Le Théâtre ambulant</em>, de Simovitch ; <em>Solitudes</em>, de Pierre-Alexandre Culot ; <em>Le Quatrième mur</em>, d'après Sorj Chalandon ; <em>The nature and purpose of the universe</em>, de Christopher Durang ; etc…</p>
<p>En 2019, il joue dans <em>Les Pelouses de la honte</em>, d’Adriana Breviglieri, mis en scène par Clovis Guerrin.</p>
<p>En 2016, il co-fonde la Compagnie Les Indomptables avec Fintan Gamard et joue Solange dans <em>Les Bonnes</em>, de Genet.</p>
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<p><img alt="" height="165" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618176/Clovis_Guerrin-1569064046.jpg" width="165" /> <strong>Clovis GUERRIN</strong> - Comédien - Cléante</p>
<p>Formé à l’Ecole du Studio (Asnières - promotion 2012), il joue notamment pour Tanya Lopert dans <em>Punk Rock</em>, de Simon Stephens ; et dans <em>Benjamin Walter</em>, de Frédéric Sonntag et mis en scène par l’auteur (2013-2017).</p>
<p>A partir de 2014, il commence à mettre en scène ses propres textes :<em> Vivre dans le désert</em> (La Parole Errante - Montreuil ; Dijon) ; <em>Un retour au pays</em> (Théâtre du Studio - Asnières). Sa dernière création, <em>Les petits caractères</em>, est créée en octobre 2018 (Théâtre Berthelot - Montreuil). </p>
<p>En parallèle, il met en scène <em>Les Pelouses de la honte</em>, d’Adriana Breviglieri et travaille avec Emmanuel Grospaud.</p>
<p>Il a été l’assistant de Daniel Pennac en 2012 pour <em>Journal d’un corps</em>, et de Jérémie Laure pour <em>Comme une odeur de linge mal séché</em> (Mises en capsules - Ciné 13 Théâtre).</p>
<p>En 2015, il co-fonde la compagnie “C’est à moi que tu parles ?” avec Laure Sagols.</p>
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<p><img alt="" height="163" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618177/Juliette_Paul-1569064107.jpg" width="163" /><strong> Juliette PAUL</strong> - Comédienne - Mariane</p>
<p>Formée au Conservatoire Régional (Toulouse ‒ Caroline Bertrand-Hours, Pascal Papini), elle est également titulaire d’une Licence de Psychologie (Toulouse ‒ Jean Jaurès).</p>
<p>Pluridisciplinaire, elle se forme notamment au masque, au clown, à l’écriture et à la danse avec Patrick Pezin, Georges Besombes, Koffi Kwahulé et Brigitte Fischer.</p>
<p>En 2017, elle joue dans <em>Va-et-vient</em>, de Beckett et crée <em>Annus Mirabilis</em> au Théâtre Jules Julien (Toulouse).</p>
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<p><img alt="" height="163" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618178/Adrien_Irankhah-1569064164.jpg" width="163" /><strong> Adrien IRANKHAH</strong> - Compositeur</p>
<p>Formé au Conservatoire National Supérieur de Musique (CNSM ‒ Lyon) en piano, élève de Sébastien Vichard et de Colette Zérah, il participe activement à la création d’oeuvres contemporaines en tant qu’interprète, notamment <em>Les Contes de la couleuvre</em>, de Pierre Agut et <em>Mikropsia</em>, d’Adrien Trybucki.</p>
<p>En 2015, il participe au Week-end du Clavier Contemporain et compose la musique du court-métrage <em>Cellule</em>, d’Alexandre Martinez en 2016.</p>
<p>C’est avec l'opérette <em>Pomme d’Api</em>, d’Offenbach qu’il découvre l’univers de la musique théâtrale.</p>
<p>En 2017, il joue <em>Les Heures Persanes</em>, de Charles Koechlin à la Cité de la Musique - Philharmonie de Paris.</p>
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<p><img alt="" height="162" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618179/Romain_Pene-1569064225.jpg" width="164" /> <strong>Romain PENE</strong> - Scénographe</p>
<p>Diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art Appliqué (Lyon - La Martinière Diderot) en Design d’Espace, il est également titulaire d’une Licence d’Arts du Spectacle (Lyon 2 - Université Lumière).</p>
<p>En 2014, il est assistant scénographie de Fanny Gamet pour la création <em>Mai, Juin, Juillet</em>, de Denis Guénoun, mis-en-scène par Christian Schiaretti (Villeurbanne - Théâtre National Populaire).</p>
<p>Outre de nombreuses scénographies pour des projets pluridisciplinaires, il travaille également en tant qu’assistant auprès du chef des ateliers de décors de l’Opéra de Lyon.</p>
<p>Il rejoint la compagnie Les Indomptables en 2018 en tant que scénographe du projet <em>Tartuffe</em>.</p>
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<p><img alt="" height="165" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618180/Brice_Wilsius-1569064273.jpg" width="165" /> <strong>Brice WILSIUS</strong> - Costumier</p>
<p>Diplômé de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT - Lyon) en 2015, il travaille dans un premier temps en tant qu'assistant créateur costume. Il a notamment contribué à la conception des costumes de l'opéra <em>Chimène</em>, avec Cindy Lombardi (production ARCAL - 2017) et de la pièce <em>Iris</em>, avec Marine Provent (Compagnie Le TOC - Nouveau Théâtre de Montreuil).</p>
<p>En 2018, il est assistant d'Alain Blanchot pour une nouvelle production d'ARCAL.</p>
<p>Parallèlement, il participe à la coupe et à l'élaboration de costume et travaille notamment avec l'Atelier Caraco et Bas et Hauts pour différents secteurs du spectacle vivant mais également pour la haute couture.</p>
<p>Il est le costumier de la Compagnie Les Indomptables depuis sa création.</p>
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<p><img alt="" height="163" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618182/Loeiz_Perreux-1569064316.jpg" width="163" /> <strong>Loeiz PERREUX</strong> - Créateur lumière</p>
<p>Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière - section cinéma en 2015, il est également titulaire d’une Licence de Cinéma (Paris VII - Diderot).</p>
<p>Au cinéma, il est électricien sur <em>Un violent désir de bonheur</em>, de Clément Schneider ; assistant caméra sur <em>Passage</em>, d’Aymeric Colletta et Théodore Berg Boy ; ou encore chef opérateur sur <em>Une vie de chat,</em> de Clément Clareton et Morgane Maurel.</p>
<p>Passionné par l’éclairage théâtral, il est régisseur sur <em>L’Opium du pouvoir</em>, du Collectif TDM ; et signe les créations lumières de <em>Radiations</em>, de MATE le collectif.</p>
<p>Il est créateur lumières de la Compagnie Les Indomptables depuis sa création.</p>
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<p><img alt="" height="164" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618183/Louis_Paul-1569064388.jpg" width="164" /> <strong>Louis PAUL</strong> - Photographe, Vidéaste</p>
<p>Diplômé de l'ENS Louis Lumière - section cinéma en 2015, il commence sa carrière par divers postes techniques sur plusieurs longs métrages, notamment électricien sur <em>Ouvert la nuit</em>, d'Edouard Baer et troisième assistant réalisateur sur <em>Barbara</em>, de Matthieu Amalric.</p>
<p>En parallèle, il développe des projets personnels de photographie et réalise des documentaires, en collaboration avec les associations Le Silence des Justes (documentaire sur un groupe d'adolescents avec autisme) et Métis.</p>
<p>Il est photographe et vidéaste pour la Compagnie Les Indomptables depuis sa création. </p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/618214/70925030_1104257963113517_3021725946202816512_o-1569074848.jpg" width="100%" /></p>
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