Adolf Cohen

Aidez à financer la création "Adolf Cohen" au Festival d'Avignon 2015 !

Visuel du projet Adolf Cohen
Échoué
25
Contributions
29/05/2015
Date de fin
1 005 €
Sur 4 000 €
25 %

Adolf Cohen

<p> <strong>Adolf Cohen, un oxymore pour la Paix ou quand la petite Histoire rencontre la Grande !</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Affiche_adolf_avignon-1427455957" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178774/affiche_adolf_avignon-1427455957.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Adolf Cohen est une pièce à deux interprètes : un homme, qui tient le rôle d’Adolf Cohen, de son adolescence à la fin de sa vie, et une comédienne, qui joue les trois femmes de la vie d’Adolf : sa mère, juive, sa mère adoptive, catholique et sa compagne, musulmane.</strong></p> <p> <strong>La pièce commence par une énorme explosion, celle qui tue Adolf Cohen. Nous assistons alors au récit de sa vie…</strong></p> <p> <strong>Son enfance, à une époque où ses parents, juifs non religieux, ne pouvaient pas savoir qu’Adolf n’était pas un « bon » prénom…, le ghetto, les pogroms, l’arrivée en France, la communauté des Juifs émigrés, les lois de Vichy, son placement dans une famille à la campagne par ses parents voulant le protéger du nazisme et de l’antisémitisme, sa découverte du catholicisme à travers Marcelle, sa seconde maman… Ensuite son baptême, sa vocation  et ses émotions de jeune séminariste, jusqu’au retour de déportation de sa vraie mère, qui le retrouve alors qu’il est caché en Italie afin d’être soustrait à ses origines, et finalement, sa (re)découverte de son passé et de l’horreur de la guerre.</strong></p> <p> <strong>Puis vient sa quête d’identité, son départ pour Israël (pays de la Liberté où il doit imposer son prénom !), sa vie dans ce pays naissant, sa rencontre avec Leïla, la Palestinienne musulmane… Et cette conscience qui s’impose, telle une évidence : il n’y aura jamais de Paix possible dans le monde, tant que les dogmes religieux survivront.</strong></p> <p> <strong>Fort de cette conscience, Adolf Cohen s’engage en politique, se prépare à la députation… Et c’est l’énorme explosion d’un attentat qui met fin à ses jours. </strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Adolf-1427451842" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178741/adolf-1427451842.jpg"></p> <p>  </p> <p> Metteur en scène : Jacques <strong>ROSNER</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Jacques_rosner-1427451274" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178733/Jacques_Rosner-1427451274.JPG"></p> <p>  </p> <p> Jacques Rosner est un des principaux architectes du théâtre moderne. Compagnon de route de Roger Planchon dès 1953, il quitte Lyon pour diriger le Centre Dramatique National du Nord et fait construire un théâtre, la Rose des Vents à Villeneuve-d’Ascq. En 1974, il prend la direction du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique et réforme en profondeur la formation de l’acteur, remplaçant notamment le concours de sortie par le travail collectif des « Journées de Juin ». Les professeurs qui l’entourent sont, entre autres, Antoine Vitez, Marcel Bluwal, Jacques Lassalle, Claude Régy, Michel Bouquet…</p> <p> Une dizaine d’années plus tard, Jacques Rosner prend la tête du Grenier de Toulouse qu’il dirige jusqu’à la fin de sa carrière dans le Théâtre Public en 1998, inaugurant l’actuel Théâtre National de Toulouse dont il est le bâtisseur. Ensuite il mettra en scène plusieurs spectacles dans le Théâtre Privé.</p> <p> Curieux et éclectique, Jacques Rosner, souvent assisté de son épouse, la comédienne Nicole Rosner, enchaîne les mises en scène tout au long de ses soixante ans de Théâtre, de Villeurbanne à Chaillot, de Toulouse à l’Odéon ou à la Comédie Française. Il s’impose ainsi tant dans les textes du répertoire que dans le théâtre contemporain.</p> <p> Jacques Rosner est le metteur en scène « historique » d’Armand Gatti, de Jean-Claude Grumberg et de Witold Gombrowicz. Il a travaillé avec des comédiens tels que Marie-Christine Barrault, Judith Magre, Isabelle Sadoyan, Claude Dauphin, Michel Bouquet, Maurice Chevit, Michel Aumont…</p> <p>  </p> <p> <em><strong>De Gatti à Gombrowicz, de Wesker à Horwitz, Jacques a parcouru des milliers de kilomètres imaginaires, passant d’un monde à l’autre avec des haltes chez Tchekhov, Shakespeare, Corneille ou Marivaux. D’un continent à l’autre, il a sauté à cloche-pied avec l’intrépidité et l’inconscience des explorateurs qui ne cherchent pas à découvrir pour être reconnus, mais pour partager le fruit de leurs passions avec un public avide comme lui de textes.</strong></em></p> <p> <em><strong>Fidèle au lecteur qu’il fut adolescent, qu’il dirige des étudiants ou des comédiens, qu’il édifie des spectacles ou des théâtres, il reste humble et passionné. Dans la foire aux égos, il brille par sa retenue et sa réserve. C’est avec amitié que le vieil auteur d’un lointain Dreyfus le salue.</strong></em></p> <p> Jean-Claude <strong>Grumberg</strong></p> <p>  </p> <p> Auteur- Comédien : Jean-Loup <strong>HORWITZ.</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Jl_horwitz-1427451555" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178736/jl_horwitz-1427451555.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> L’énergie et la polyvalence de Jean-Loup Horwitz le font parcourir tous les chemins qui permettent de « raconter des histoires »… C’est ainsi qu’après avoir écrit et réalisé de nombreux films pour des entreprises, il devient conseiller à la fiction de France 3, avant de se consacrer plus particulièrement au Théâtre…</p> <p> Auteur d’une dizaine de pièces (dont <em>L’Alpenage de Knobst</em>, créé au Théâtre 14, et <em>Le Paratonnerre</em>, avec notamment Raphaëline Goupilleau, Frédéric van den Driessche et Roland Marchisio), il se réserve le plaisir d’en interpréter quelques-unes. Cela ne l’empêche pas de jouer des classiques comme <em>Ivanov</em> (déjà sous la direction de Jacques Rosner), <em>Le Songe d’une Nuit d’Eté</em> (mise en scène de Nicolas Briançon) et, plus récemment, <em>La Tempête</em> (Christophe Lidon), ou de participer à des créations contemporaines, dont <em>Bonté Divine</em> de Frédéric Lenoir et Louis-Michel Colla, pièce qu’il a interprétée plus de 500 fois, à Paris et en tournée.</p> <p> Toutes ces aventures théâtrales lui ont permis de côtoyer notamment Micheline Dax, Francis Perrin, Stephan Meldegg, Francis Huster, Roland Giraud…</p> <p>  </p> <p> <em>" Il est des acteurs auxquels il faut offrir des textes qui les mettent en valeur, et d'autres qui mettent en valeur les textes qu'on leur propose. Jean-Loup HORWITZ est de cette seconde race. Il ne se sert pas du personnage, il se met à son service. Ce soir il joue la comédie devant vous, hier il écrivait un scénario, demain il mettra en scène : Homme-protée, il connaît toutes les facettes du spectacle et se repose d'un exercice en se lançant dans un autre. Je ne sais pas qui l'habille à la scène et je ne préfère pas savoir qui l'habille à la ville, mais je sais en revanche ce qui l'habite à la ville comme à la scène… c'est une joie de vivre communicative, une énergie débordante, une rigueur sans faille et un don sans retenue de ces trois  qualités à l'égard de ses amis… et il se trouve que ce soir, assis dans votre fauteuil, vous êtes ses amis. "</em></p> <p> Jean <strong>AMADOU</strong>.</p> <p>  </p> <p> Comédienne :  Isabelle <strong>DE BOTTON.</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="I_de_botton-1427451652" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178737/i_de_botton-1427451652.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Pour Isabelle de Botton, le bonheur d’être sur scène a débuté au café-théâtre en compagnie de Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot et Christian Clavier. Lors de son passage au Théâtre de Bouvard, elle y rencontre Mimie Mathy et Michèle Bernier. C’est ainsi que Les Filles (Isabelle est « celle du milieu ») ont enchaîné <em>Existe en trois Tailles</em> et <em>Le gros n’Avion</em>, avant de voler chacune de leurs propres ailes. Celles d’Isabelle se sont depuis posées quasiment chaque année sur les planches d’un Théâtre, passant de la comédie au drame, jouant des classiques ou du contemporain, sous la direction de J.-L. Cochet, B. Blier, J.-M. Ribes, Marion Bierry, Anne Bourgeois… Aux côtés de partenaires comme Jeanne Moreau, Jacques Villeret, ou tout récemment Miou Miou…</p> <p> En 2009, elle a eu la joie de créer <em>Moïse, Dalida et moi</em>, un « Seule en scène » autobiographique qu’elle a joué à Paris, à Avignon et en tournée.</p> <p> Son intense activité théâtrale ne l’empêche pas de faire régulièrement des incursions dans le monde du cinéma (<em>Merci la Vie, Brèves de Comptoir</em> et <em>Le Démon de Midi</em>) ou de la télévision, soit en tant que comédienne, soit en tant que scénariste (<em>A Trois c’est mieux</em>, <em>Trois Filles en Cavale, etc...</em>)</p> <p>  </p> <p> <em>" Chez Isabelle, la femme et l’actrice ont la même ampleur, la même force, on se laisse envelopper par l’une comme par l’autre.</em></p> <p> <em>Je suis délicieusement jalouse qu’elle puisse se trouver dans cette aventure sans ma compagnie. J’envie ce qu’elle vivra sans moi au Théâtre ou plutôt ce que les autres vivront grâce aux talents d’Isabelle, à ses éclats de rire, ses cadeaux, ses surprises, ses histoires.</em></p> <p> <em>Je vous laisse donc applaudir Isabelle de Botton, I.D.B. pour les intimes, alias une certaine Idée Du Bonheur. "</em></p> <p> Marion <strong>BIERRY</strong>.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Image1-1427452029" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178746/Image1-1427452029.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>" Dans la violence que traverse notre monde aujourd’hui, j’ai voulu, avec les interrogations d’Adolf Cohen, rappeler des images passées, souligner les désastres humains que provoquent les idées racistes et extrémistes, entremêlées qu’elles sont, trop souvent, avec un dogme religieux ou politique.</strong></em></p> <p> <em><strong>Adolf Cohen montre, avec humour - c’est nécessaire -  un chemin d’espoir, un chemin de Paix. " </strong></em></p> <p> Jean-Loup <strong>HORWITZ.</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> Présenter un projet au Festival OFF d'Avignon est une belle aventure qui a un coût élevé.</p> <p>  </p> <p> <strong>Ce montant nous permettrait de couvrir une partie des frais engagés pour l'exploitation du spectacle à Avignon.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Si grâce à votre aide, ce projet aboutit, nous pourrons envisager une reprise dans un théâtre parisien ainsi qu'une tournée.</strong></p>

Contreparties

5 €

Merci

10 €

Merci + Flyer dédicacé

30 €

Merci + Flyer dédicacé + Affiche 40x60

50 €

Merci + Flyers dédicacé + affiche 40x60 + 1 invitation pour 2 personnes

100 €

Merci + Flyers dédicacé + affiche 40x60 + 1 invitation pour 2 personnes + rencontre avec les artistes

300 €

Merci + Flyers dédicacé + affiche 40x60 + 1 invitation pour 2 personnes + rencontre avec les artistes + 2 places pour assister à une répétition

500 €

Merci + Flyers dédicacé + affiche 40x60 + 1 invitation pour 2 personnes + rencontre avec les artistes + 2 places pour assister à une répétition + un verre avec les artistes

1 000 €

Merci + Flyers dédicacé + affiche 40x60 + 1 invitation pour 2 personnes + rencontre avec les artistes + 2 places pour assister à une répétition + un verre avec les artistes + votre nom sur l'affiche

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