ALINE & ATEMIT

PITCH : Sénégal 1940. Seule dans la rue d’une ville étrange (DAKAR) , peuplée de gens étranges, ALINE erre. Tout à coup, la ville se remplie d’une brume qui ensevelit ALINE. Elle se réveille dans un monde mystique où tout semble être inversé. Le ciel est fait de vagues et le sol est recouvert de nuages. C’est là qu’un spectre s’approche d’elle. Le spectre lui révèle qu’il s’agit d’ATEMIT le grand dieu DIOLA, et qu’il somme ALINE de devenir sa grande prêtresse. PROPOSITION DE MISE EN SCENE : Au lieu de personnifier Dieu et représenter cette rencontre comme une conversation, j'aimerais l’illustrer par un numéro de danse abstrait qui serait divisé en quatre séquences où une voix-off serait en surimposition. Cette voix off serait le dialogue de la conversation. SÉQUENCE 1 C’est le numéro de danse principale, ceci est la conversation entre ALINE & ATEMIT qui sera en OFF. Il faut faire comprendre la peur et le désarroi d’ALINE ainsi que l’emprise qu’ATEMIT essaye d’avoir sur elle à travers la chorégraphie. SÉQUENCE 2 ALINE est maintenant devenue la grande prêtresse, elle n’est plus la jeune fille qui fuyait devant ATEMIT. C’est sa séquence de prise de pouvoir. Voici ce qui se passe dans l’intériorité de la Scène. Ce numéro est un solo de la danseuse qui interprète ALINE. SÉQUENCE 3 SOLO D’ATEMIT Il s'agit d'un solo de danse du "dieu" ATEMIT qui essayera d'affirmer ça dominations sur Aline et le peuple diola SEQUENCE 4 Dans cette séquence j’aimerais qu’un joueur de Djembé vêtu d’une combinaison verte sur un fond vert joue un rythme de Tam Tam endiablé. Sera surimposé une animation 3D de la Casamance, qui se raconte, car elle aussi est un personnage dans le film. Propositions de Costumes : Pour les costumes je compte travailler avec l’artiste Sénégalais Baay Soley. Son style à mi-chemin entre l’habit traditionnel et l’afro-futurisme neo-punk, colle parfaitement au style neo-histoirique que j’imagine pour cette scène. Tenue ALINE 1 Tenue ALINE 2 Tenue ATEMIT INTERPRETE : ALINE - SHELLY OHENE-NYAKO ATEMIT – IVAN LARSON