Allfather le nouveau livre de Sébastien Van Malleghem
<p style="text-align:center"><strong>News</strong>: <a href="https://www.washingtonpost.com/photography/2021/05/21/allfather-photo-book/?fbclid=IwAR32GPhL_m9zcCG21IolmyCReuU4wYgqRxEhwwnNnWiorqjyGc6LV7G5560" target="_blank"><strong>Allfather a été publié par le Washington Post !</strong></a></p>
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<p style="text-align:center"><strong>Allfather, le livre photo</strong></p>
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<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735899/afa2431e-4c30-45f1-9cb6-3325eb1cce65.png" width="100%" /></p>
<p>Sébastien Van Malleghem, photographe belge né en 1986, est indéniablement attiré par un environnement naturel et organique. Après son épopée documentaire « Nordic Noir » (2017), l’auteur de « Police » (2012), de « Prisons » (2015), ou encore des « Mexican Morgues » (2019), prolonge son exploration d’un univers rugueux aux conditions extrêmes dans ce nouvel opus « Allfather » (2021).</p>
<p>Un voyage imaginaire en solitaire dévoilant le lien ténu entre une nature puissante et un photographe, renvoyé à sa condition d’être humain. L’idée du projet est née lors d’une résidence d’artiste dans la région de Vesterålen, en Norvège, en 2019. Lié depuis des années aux sauvages étendues scandinaves, Sébastien Van Malleghem retourne en Norvège l’année suivante, s’isole dans une cabane en Arctique, puis se rend sur l’île de Skjervøy et vit des expériences qui dépassent ses attentes, faites d’aventures et d’escapades dans les montagnes, en osmose avec la nature : se chauffer au bois, nager dans un fjord quasi glacé avec des baleines et des orques durant les mois les plus sombres de l’année.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/728038/f4177de4-6409-4d8e-aa07-58e018e07676.jpg" width="100%" /></p>
<p><em>Rideau de pluie, Norvège, © Sébastien Van Malleghem</em></p>
<p>Et ressent un besoin irrépressible de raconter une histoire, peut-être même un bout de la sienne. Un retour aux sources, qui se transforme en une plongée indispensable dans ses récentes archives. Il rassemble un corpus d’images prises à l’occasion d’invitations ou de commandes photo dans différents endroits de la planète, lors des quelques jours qu’il s’octroie sur place à chaque voyage pour des pérégrinations sans limite et sans contrainte. Si les premières[O2] ont été réalisées aux États-Unis dans les Everglades, au sud de la Floride, en 2016, d’autres proviennent de Norvège, d’Islande, de Bretagne et même plus simplement de son jardin, en Belgique.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/728039/e864dfc2-2ce1-4346-aba7-50aba9acd59d.jpg" width="100%" /></p>
<p>© Sébastien Van Malleghem</p>
<p>De l’envol d’un corbeau aux vues d’un océan noir comme la nuit, en passant par une immersion sous-marine entouré d’alligators, Van Malleghem transcrit une épopée fidèle à sa fascination : regarder des scènes dont le banal est transformé en sublime sans frontières géographiques ni temporelles. Sa volonté invisible d’immortaliser la nature, telle une nécessité dévorante, offre la possibilité de découvrir un territoire qui tient à rester anonyme. Dénué d’êtres humains, du moins à peine perceptibles, l’immense théâtre de la nature est le personnage principal de ce récit spirituel. Ses photographies ne constatent pas, elles racontent et donnent à rêver.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/728040/bdae21bc-65fc-464e-9b74-256f74941ca3.jpg" width="100%" /></p>
<p>A imaginer un voyage si souvent fantasmé que les paysages majestueux - parfois agressifs - font taire les pensées les plus réalistes. Ses arrêts sur image, silencieux, contemplatifs et fragiles, sont de radicales touches de blanc pur et de noir fuligineux. Et en les mélangeant, Sébastien Van Malleghem accorde harmonieusement toutes ces nuances de gris qui constituent l’épaisseur du monde. Les images se succèdent, au rythme des pages aux teintes dorées, qui se font l’écho – ou plutôt le souvenir – de la rare lumière présente dans l’obscurité du nord de la Norvège, celle d’un fil d’or à travers les montagnes. </p>
<p>Léonor Matet</p>
<p>avril 2021</p>
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<p><strong>Quelques chiffres :</strong><br />
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<p>La maison d'édition <a href="https://www.photopaper.fr" target="_blank">Photopaper</a> soutien la production avec un apport financier net de <strong>5.000€</strong></p>
<p>Mon agence <a href="https://www.renegades-agency.com/new-page-1" target="_blank">Renegades</a> soutient la production avec un apport matériel, <strong>campagne de communication artistique sur les réseaux sociaux, packaging, envoi des livres, tenue du KKBB, traduction, pré-production des fichiers, post production, diffusion et promotion. <br />
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Reste à financer</strong></p>
<p>- La commission KisskissBankBank : 8% soit environ 750€</p>
<p>- L'impression du livre à l'imprimerie Die Keure, à Bruges : <strong>+- 13.000€</strong></p>
<p>- La Pré production et tests papier : <strong>750€</strong><br />
- Le graphisme : <strong>2000€</strong></p>