ANTIGONE #Ismène : Engagements

DEUX SOEURS. DEUX PAROLES DE FEMMES. Participez à la création de ce spectacle en vue d'une tournée en 2018.

Visuel du projet ANTIGONE #Ismène : Engagements
Réussi
60
Contributions
29/12/2016
Date de fin
3 820 €
Sur 3 500 €
109 %

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ANTIGONE #Ismène : Engagements

<p> <strong><em>ANTIGONE #Ismène</em></strong> est une <strong>adaptation théâtrale</strong> du mythe des Labdacides, librement inspirée de deux auteurs contemporains : <strong>Henry Bauchau</strong> et <strong>Yannis Ritsos</strong>.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F192377407&amp;wmode=opaque&amp;url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F192377407&amp;image=https%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F603710319_960.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=vimeo" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <a href="http://ciequainumero7.wixsite.com/cie-quainumero7" target="_blank">SITE DE LA COMPAGNIE</a></p> <p>  </p> <p> <a href="https://www.facebook.com/cie.quainumerosept" target="_blank">FACEBOOK</a></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>- Résumé de la pièce - </strong></p> <p>  </p> <p> La guerre à Thèbes est terminée. Reste Ismène, seule survivante des drames qui ont frappé sa famille. Observatrice silencieuse d’une tragédie à laquelle elle n’a jamais voulu prendre part, elle témoigne pour la première fois. Elle nous raconte qui était sa grande sœur, artiste engagée et absolue qui bientôt deviendra Antigone, mythique et tragique, et dont les choix ont conditionné ceux d’Ismène.</p> <p> Le spectacle, aux accents pop et contemporains, propose une plongée dans la vie de ces deux sœurs, filles d’Oedipe et de Jocaste, catapultées dès leur naissance dans les rouages d’une tragédie.</p> <p>  </p> <p> La pièce emprunte la construction du récit au langage cinématographique : le montage entrecroise des fragments de vie, comme autant de percées dans l’intimité de ces deux sœurs. Leurs présences et leurs paroles se superposent, se répondent, se disloquent, se réfutent... Entre flashbacks et flashs de paparazis, d'une enfance rebelle à l'insurection, de la douceur d'une soeur à la colère de l'autre, le spectateur est invité à voyager dans la vie de ces femmes.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-16_a__17.43.28-1479314467" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369190/Capture_d_e_cran_2016-11-16_a__17.43.28-1479314467.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><i>- Genèse du projet -</i></strong></p> <p>  </p> <p> <em>Antigone #Ismène</em> est un spectacle collectif né de l'envie de Ruby Minard et Juliette Steiner..</p> <p> Elles éprouvent le désir de raconter l'histoire d'Antigone en y ajoutant le point de vue de sa petite soeur, Ismène, bien trop souvent oubliée. Puisant à la fois dans le roman d'Henry Bauchau, <i>Antigone</i>, et dans le long poème de Yannis Ritsos, <i>Ismène</i>, elles réalisent un premier montage (qui par la suite sera modifié, remâché, étiré...), colonne vertébrale du projet en devenir.</p> <p> Elles s'entourent d'Andréa Baglione, metteure en scène, Justin Dâwa Litaaba-Kagnita, directeur d'acteur et Benoit Moreira, régisseur.</p> <p> L'équipe d'<i>ANTIGONE #Ismène </i>est née.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.12.27-1479553794" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/370002/Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.12.27-1479553794.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><i>- Note d'intention -</i></strong></p> <p>  </p> <p> Le personnage d’Antigone nous accompagne depuis longtemps.</p> <p> Fantôme collectif, cette figure de l’absolu et du "non", fait partie des mythes imprégnant l'imaginaire collectif.</p> <p> Antigone a une telle force qu’elle dépasse le mythe. Son histoire et son nom sont le fruit de nombreuses réécritures ayant fait d’elle un symbole de contestation, de rébellion et de révolution.</p> <p> Ismène, quant à elle, n’est pas un symbole, c’est un nom qui fait partie d’une histoire.</p> <p> Ces deux soeurs sont deux<i> </i>trajectoires dans une même tragédie.</p> <p>  </p> <p> Ici, il n’est pas question de prendre parti mais de donner à voir deux engagements différents, et d’essayer de comprendre ce qui intimement peut mouvoir ces deux jeunes femmes. Chacune à sa manière prend position face à l’injustice et à l’horreur et doit trouver sa place dans cette histoire plus grande qu’elle, cette histoire déjà écrite : la tragédie.</p> <p> A travers Ismène il y a l’instauration d’une présence terre à terre et commune : par ses mots résonne la petite histoire.</p> <p> Avec Antigone nous sommes face aux idées et aux actes qui font l’étoffe des icônes, elle n’a de raison d’être que de survivre à sa propre existence : c’est l’élan de la grande histoire.</p> <p>  </p> <p> Pour ce projet la focale est fixée sur la relation entre soeurs, ce qui permet d’aborder la fable tragique sous l’angle de l’intime et de conduire le regard et l'imaginaire vers une vision plus brute, plus humaine, plus charnelle de ces figures.</p> <p> Dans l’hypothèse de cette intimité s’esquisse un langage propre aux deux soeurs, mêlant petits rites enfantins et rituels fétichistes. La figure mythique d’Antigone et l’univers symbolique qu’elle met</p> <p> en place se heurtent au visage plus humain d’Ismène et sa manière d’« être au présent ».</p> <p> Les ruptures rythmiques, entre le hors-temps d’Antigone et les hors-jeu d’Ismène, installent un va et vient entre différents degrés de narration construisant la dynamique de la pièce.</p> <p>  </p> <p> Comment résonne aujourd’hui l’histoire de ces deux femmes ?</p> <p> Qu’est-ce que la figure tragique aujourd’hui ?</p> <p> Qu’est-ce que devenir un héros à l’heure où se mélangent héros télévisés (télé-fiction, télé-réalité), self-made men et morts martyrs ?</p> <p> Comment se construit-on une identité : surexposition ou anonymat ?</p> <p> Existe-t-il une autre sorte d'héroïsme en marge des honneurs et de la gloire ?</p> <p> Quels actes, quelles paroles et quelles attitudes face à l'injustice?</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-17_a__11.19.37-1479377860" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369356/Capture_d_e_cran_2016-11-17_a__11.19.37-1479377860.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>- Processus de travail -</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Le spectacle se construit à partir d’improvisations et d’écriture de plateau.</p> <p> Les improvisations ont différentes sources : textes de théâtre, fragments de romans, pamphlets, articles de presse, reportages, photographies, films, souvenirs, œuvres d'art...</p> <p> Cet ensemble de ressources forme une base commune pour un travail de construction collective.</p> <p>  </p> <p> Pendant les temps de recherche dès que nous aboutissons à un ou plusieurs éclats qui nous semblent pertinents, lisibles, (même si encore abrupts et fragiles) nous décidons d'ouvrir des étapes de travail au public. C'est grâce à son regard que nous sentons les manques ou les trop pleins ainsi que le rythme à trouver pour le spectacle. </p> <p>  </p> <p dir="ltr"> Le travail de direction d’acteur est axé sur la précision des intentions de jeu et la recherche de fluidité dans l’interprétation. Nous souhaitons aboutir à un arrimage crédible entre le jeu et la restitution du récit. Cela se traduit au plateau, à chaque étape de travail, par la clarification des différents enjeux et du parcours des personnages.</p> <p dir="ltr"> La finalité de ce processus est de donner aux actrices des espaces de jeu où la parole devient à la fois poétique, explosive, épique et jouissive.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-17_a__16.15.40-1479395605" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369476/Capture_d_e_cran_2016-11-17_a__16.15.40-1479395605.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>- Le projet en quelques dates -</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> - Du <strong>4 au 8 avril 2016</strong> : première résidence de recherche au <strong>TAPS Scala</strong> Strasbourg</p> <p>  </p> <p> - <strong>24 juin</strong> : Présentation d'une étape de travail à la <strong>Comédie de l'Est</strong> à Colmar</p> <p>  </p> <p> - Du <strong>15 août au 23 septembre</strong> : résidence de recherche au <strong>TAPS Scala</strong> Strasbourg</p> <p>  </p> <p> - Du<strong> 6 au 7</strong> et du <strong>12 au 17 décembre</strong> : construction au théâtre <strong>le Maillon</strong> Strasbourg</p> <p>  </p> <p> - Du <strong>19 au 23 décembre</strong> : résidence de recherche à l'<strong>Espace Athic</strong> d'Obernai</p> <p>  </p> <p> - Du 30 avril au 11 mai 2018 : création à la <strong>Salle Europe</strong> de Colmar</p> <p>  </p> <p> - Samedi <strong>12 mai 2018 à 20h</strong> et lundi <strong>14 mai 2018 à 14h30 </strong>: représentations <strong>Salle Europe </strong>de Colmar</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>- Nos partenaires - </strong></p> <p>  </p> <p> Le <strong>Théâtre Actuel et Public de Strasbourg</strong> (TAPS)</p> <p>  </p> <p> La <strong>salle de spectacle Europe</strong> de Colmar</p> <p>  </p> <p> L'<strong>Espace Athic</strong> d'Obernai</p> <p>  </p> <p> L'équipe technique du théâtre <strong>Le Maillon </strong>à Strasbourg</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>- La compagnie -</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_logo-1479747449" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/370660/Capture_logo-1479747449.JPG"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>Quai :</u> n.m. <em>Berge, rive ou plateforme aménagée en vue de permettre l’accostage, l’embarquement ou le débarquement.</em></strong> <strong><em>Lieu de rencontre, d’échange et de création. </em></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  La compagnie Quai n° 7 a pour artistes associées Ruby Minard et Juliette Steiner. Défendant un principe d’ouverture et de travail collectif, la compagnie désire faire de chacune de ses créations une plateforme de rencontres et d’échanges. La compagnie est particulièrement attentive à la transmission des textes, qu’ils soient classiques ou contemporains. Après un premier temps de recherche dramaturgique, les deux artistes associées invitent d’autres collaborateurs (musiciens, metteurs en scène, plasticiens, vidéastes...) à se joindre au projet. Les laboratoires de travail mis en place font la part belle à l’écriture de plateau et permettent de construire un spectacle riche de nombreuses influences. Basée en Alsace, Quai n° 7 a pour envie de s’implanter sur ce territoire et de s’y impliquer en tant qu’acteur culturel sur le long cour. La pédagogie et la transmission des arts de la scène sont une envie majeure de la compagnie qui propose autour de ses spectacles des actions culturelles pouvant s’adresser à des publics divers. Quai n°7 souhaite développer et diffuser ses projets tant au niveau régional qu’au niveau national.    </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>- L'équipe - </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.00.48-1479553141" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369991/Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.00.48-1479553141.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Ruby Minard</strong> / Jeu</p> <p>  </p> <p> Elle débute le théâtre en 2006 au sein de la compagnie Avec ou Sans Fil, en apprenant les fondamentaux du jeu, du conte, de la manipulation marionnettique, du jeu caméra, mais aussi de la direction d’acteur et de la mise en scène. En 2009 elle obtient un baccalauréat littéraire option théâtre.</p> <p> Après des études en classes préparatoires, puis à l’université en Lettres moderne et en Art du spectacle, elle intègre en 2012 le conservatoire de Colmar sous la direction de Françoise Lervy. Elle obtient son Certificat d’Etudes Théâtrales en 2015 avec les félicitations du jury puis son Diplôme d’Études Théâtrales en 2016. Depuis 2009, elle intervient régulièrement en tant que comédienne et marionnettiste pour la compagnie Avec ou Sans Fil. En 2011 elle est à l’origine du collectif Les Habitants de la rue Tabaga, association aujourd’hui installée au Brassin, à Schiltigheim. . En 2014 elle participe au projet La Dame de la mer, mis en scène par la Cie Poussière Rouge qu’elle joue au Préo à Oberhausbergen et à l’espace Malraux de Geispolsheim. Par ailleurs elle apparaît régulièrement dans des courts et longs métrages, réalise des voice-over pour Arte, et intervient ponctuellement en tant que pédagogue dans des hôpitaux ou des lycées. En 2017, elle sera à l'affiche du <em>Songe d'un nuit d'ét</em>é de Guy-Pierre Couleau, et de <em>Cancrelat</em> de Vincent Goethals, spectacles présentés à la Comédie de l'Est de Colmar.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.00.31-1479553155" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369992/Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.00.31-1479553155.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Juliette Steiner</strong> / Jeu et scénographie</p> <p>  </p> <p> Elle intègre en 2009 la Haute Ecole des Arts du Rhin de Strasbourg. Durant ses cinq ans d’études elle se forme à la fois à l’art et la scénographie et multiplie les stages de régie et d’observation, auprès notamment de la compagnie de Roméo Castellucci et celle de Valère Novarina. En 2012, suite à un stage avec Olga Messa elle est sélectionnée pour participer au festival Nouvelle Danse et Performance à Pôle Sud. Parallèlement elle continue sa formation en jeu et en danse lors de stages tels que les Rencontres Corps Objet Image au TJP (CDN) en 2013 et lors des 16ème rencontres internationnales de théâtre à l’Aria, en juillet et août 2013. Durant l’année 2013 / 2014 elle poursuit des études de jeu au Conservatoire de Strasbourg et est dirigée par Olivier Achard et</p> <p> Olivier Chapelet. En septembre 2014 elle rejoint le Cycle à Orientation Professionnelle du conservatoire de Colmar sous la direction de Françoise Lervy et obtient son Diplôme d’Études Théâtrales en juin 2016.</p> <p> Professionnellement elle enseigne le théâtre au centre médico-psychiatrique de Bischheim ainsi qu’à l’espace K et réalise régulièrement des voice-over pour Arte.</p> <p> En mars 2015 elle est comédienne et scénographe dans le projet <i>ELLES </i>de la compagnie Estro à l’Espace Culturel de Vendenheim. En Février 2016 elle est scénographe et assistante à la mise en scène du metteur en scène mahorais Madjid El Saindou dans le cadre d’une résidence de création à Mayotte autours du spectacle <i>Les dits du bout de l’île</i>. Ce spectacle est présenté à la Chapelle du Verbe Incarné lors du festival OFF d’Avignon 2016. En 2017, elle jouera dans le spectacle <em>Cancrelat </em>de Sam Holcroft, mis en scène par Vincent Goethals à la Comédie de l'Est.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__11.58.48-1479553171" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369993/Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__11.58.48-1479553171.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Andréa Baglione</strong> / Mise en scène et création lumière</p> <p>  </p> <p> Andréa Baglione est metteure en scène et scénographe.</p> <p> Après des études en lettres modernes et en philosophie, elle rejoint la HEAR où elle suit d’abord la voie du dessin d’illustration puis du design avant de rejoindre l’atelier de scénographie. Elle sort diplômée en 2015 avec les félicitations du jury. Elle participe en tant que scénographe, stagiaire et assistante à la mise en scène à plusieurs créations. Ces différents projets la conduisent sur les routes de France (avec la troupe Robert aime Jocelyne et la compagnie La chair du monde menée par Charlotte Lagrange), d’Angleterre (auprès de la scénographe Janet Bird au Royale Theatre d’Edimbourg et de Plymouth) et d’Allemagne (auprès de la scénographe Elissa Bier). Avec son collectif Scenopolis elle monte" <i>Sténopé Parade</i> ( Hall des Chars 2015) une pièce visible dans l'enceinte d'un sténopé géant. En 2016, elle réalise la scénographie et la création lumière du spectacle musical <i>Nouvelle Incantation</i> avec le trio Axis Modula (Cité de la musique et de la danse de Strasbourg) et crée les décors et la mise en scène de l'opéra <i>Cavelleria Rusticana</i> avec son collectif et l'orchestre des étudiants du conservatoire de Strasbourg. Actuellement elle travaille en tant que metteure en scène sur une création chorégraphique et musicale, <i>Eclipse</i>, avec le compositeur Etienne Haan et le danseur Clément Debras. Celle-ci sera jouée au festival Musica à Strasbourg. Elle signe la réalisation d'un format court pour la télévision, <i>Eco Trip</i>, visant a démystifier le jargon et les principes économiques.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__11.59.16-1479553186" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369994/Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__11.59.16-1479553186.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Justin Dâwa Litaaba-Kagnita </strong>/ Direction d'acteur</p> <p>  </p> <p> Justin Dâwa Litaaba-Kagnita est comédien, conteur, metteur en scène, musicien et chanteur franco-togolais. En 1999 il obtient une Licence de sociologie à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’Université de Lomé au Togo. La même année il reçoit le prix du meilleur comédien au festival de Théâtre de la fraternité (FESTHEF) à Assahoun-Togo. Boursier du gouvernement français, il participe en 2002 aux 5es Rencontres Internationales de Théâtre en Haute-Corse (A.R.I.A), sous la direction de Robin Renucci. En 2003 il intègre l'école supérieure d'art dramatique et de comédie musicale d'Agen sous la direction de Pierre Debauche. Depuis il a été dirigé par Robert Angebaud, René Loyon, Alain Batis, Gérard Chabanier, Antoine Bourseiller, Alan Boone, Daniel Mesguich, Alexis Djakeli, Pierre Debauche, et Pierre Vincent. Il écrit et met en scène deux spectacles, <em>Le Chien du prince</em> (jeune public inédit de 2006 à 2010), <em>Les Aventures de Baïnazara</em> (conte tout public inédit 2009), mais aussi des textes édités comme <em>Il faut tuer Sammy</em> d’Ahmed Madani (2005) et <em>Roberto Zucco</em> de Bernard-Marie Koltès (2013). Il a été assistant de René Loyon en 2002 et de Pierre Debauche de 2007 à 2009.</p> <p> Depuis septembre 2014 il est titulaire d’un MASTER en Administration des Institutions Culturelles, obtenu à l’IUP AIC d’Arles, Faculté d’Economie et de Gestion d’Aix-Marseille Université.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.00.08-1479553198" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/369995/Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.00.08-1479553198.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>Benoît Moreira</strong> / Régie</p> <p>  </p> <p> Benoît Moreira est comédien et technicien</p> <p> Il se forme au théâtre au sein de nombreuses compagnies de théâtre telles que La Mandarine Blanche ou la compagnie Les Uns, Les Unes et participe au spectacle <em>Z.E.P</em> de la compagnie Zabraka au théâtre NEST - CDN de Thionville. En 2014 il participe à l’inauguration du Musée de la Guerre de 1870 à Gravelotte dans le cadre d’une mise en voix de textes historiques. Cette même année il participe à un stage de réalisation théâtrale organisé par Les Tréteaux de France à Phalsbourg sous la direction de Robin Renucci.  En septembre 2014 il intègre le Cycle à Orientation Professionnelle du conservatoire de Colmar sous la direction de Françoise Lervy. Dans le cadre du conservatoire il est assistant régisseur de nombreux projet ce qui lui donne l’envie de poursuivre une formation technique. En 2016 il réalise un stage de régie au TAPS de Strasbourg et rejoint la compagnie Quai n°7 en tant que régisseur.</p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> <u><strong>La collecte comprends :</strong></u></p> <p>  </p> <p> <strong>- La Construction des décors -</strong></p> <p>  </p> <p> La première scénographie réalisée à l'état de maquette grandeur nature nous a permis de clarifier notre futur décor. Nous devons fabriquer :</p> <p>  </p> <p> - une cloison en chassis et contreplaqué (3m60 sur 2m30)</p> <p> - une estrade en bois (3m60 sur 1m30 et hauteur 60cm)</p> <p> - un lino effet béton (3m60 sur 4m)</p> <p> - (tasseaux, contreplaqué, chevilles, vis, gonds et charnières...)</p> <p>  </p> <p> Coût du matériel  : <u>800 euros </u></p> <p>  </p> <p> Il nous faudra aussi patiner les structures afin de créer un effet béton sur l'ensemble du décors et ignifuger l'ensemble. </p> <p>  </p> <p> - peintures</p> <p> - pinceaux</p> <p> - rouleaux</p> <p> - bâche</p> <p> - vernis ignifuge</p> <p>  </p> <p> Coût des matériaux : <u>500 euros </u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Antigone-espace-1479747694" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/370663/antigone-espace-1479747694.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>- L'achat des costumes et des accessoires - </strong></p> <p>  </p> <p> - perruques</p> <p> - robes</p> <p> - combinaison</p> <p> - radio</p> <p> - livre</p> <p> - fleurs</p> <p> - draps</p> <p> - chaussures</p> <p> etc...</p> <p>  </p> <p> Coût : <u>500 euros</u></p> <p>  </p> <p> <strong>- L'achat du matériel de sonorisation - </strong></p> <p>  </p> <p> - Une sono (enceintes, table de mixage)</p> <p> - 3 micros sur pieds</p> <p>  </p> <p> Coût : <u>400 euros </u></p> <p>  </p> <p> <u><img alt="Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.09.38-1479553654" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/370000/Capture_d_e_cran_2016-11-19_a__12.09.38-1479553654.png"> </u></p> <p>  </p> <p> Mais aussi ...</p> <p>  </p> <p> <strong>- La prise en charge des transport du matériel et de l'équipe lors des temps de résidences -</strong></p> <p>  </p> <p> - location d'une camionnette pour transport du décors (et frais d'essence et kilométriques )</p> <p>  </p> <p> Coût  : <u>500 euros</u></p> <p>  </p> <p> - frais de transport de l'équipe artistique (5 personnes)</p> <p>  </p> <p> Coût : <u>320 euros</u></p> <p>  </p> <p> <strong>- La prise en charge des déjeuners des membres de l'équipe lors des temps de résidences -</strong></p> <p>  </p> <p> Coût : <u>600 euros</u></p> <p>  </p> <p> <strong>- Les 8% de commission Kisskissbankbank -</strong></p> <p>  </p> <p> Coût : <u>280 euros</u></p> <p>  </p> <p> <strong>- Le financement des contreparties - </strong></p> <p>  </p> <p> Coût : <u>200 euros</u></p> <p>  </p> <p> <strong>Si nous dépassons les 3500 euros</strong>, l'argent récolté nous permettra d'amortir les frais de fonctionnement de la compagnie (assurances, banque, comptabilité, impressions etc...).</p> <p>  </p> <p> <strong>Si nous dépassons les 4000 euros</strong>, nous pourrons commencer à rémunérer les membres de l'équipe pour le temps de répétition et de recherche.</p>

Contreparties

5 €

  • 3 contributions
Un chaleureux merci de la part de toute l'équipe!

Livraison estimée : janvier 2017

15 €

  • 12 contributions
Un mail personnalisé + l'apparition de votre nom sur le site de la compagnie dans la future rubrique « soutiens »

Livraison estimée : janvier 2017

30 €

  • 10 contributions
Les contreparties précédentes + une carte postale du spectacle signée par toute l'équipe

Livraison estimée : février 2017

50 €

  • 12 contributions
Les contreparties précédentes + une affiche du spectacle

Livraison estimée : février 2017

100 €

  • 3 contributions
Les contreparties précédentes + une vidéo surprise envoyée par email

Livraison estimée : février 2017

300 €

Les contreparties précédentes + une invitation à une répétition suivie d'un verre avec l'équipe (valable pour deux personnes)

Livraison estimée : mars 2017

500 €

Les contreparties précédentes + la possibilité d'une soirée lecture chez vous (Strasbourg et environs) + une invitation pour deux personnes lors de la représentation Salle Europe

Livraison estimée : mars 2017

1 000 €

Les contreparties précédentes + vous devenez mécènes du projet et votre nom ou logo apparaitra sur les différents supports de communication de la compagnies

Livraison estimée : mars 2017

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