Autour de ma Pierre il ne fera pas Nuit- Direction Avignon

<p> <em>Autour de ma Pierre il ne fera pas Nuit</em> est <strong>une pièce de théâtre de Fabrice Melquiot</strong>, sombre mais jamais pathétique, pleine de poésie et d'humour.</p> <p>  </p> <p> "Les étoiles se sont cassé la gueule"</p> <p>  </p> <p> "Si une fille venait s'asseoir avec moi ...elle les verrait ces petites lumières stupides qui ne demandent qu'à briller"</p> <p>  </p> <p> "Nietzsche est mort, Sartre, Camus, toute la clique"</p> <p>  </p> <p> L'herbe est toujours plus verte dans la ville d'à côté. En l'occurence cette ville là transpire la mort, le sexe, le crime. Pourtant, de l'autre côté, on jurerait y voir rêve, amour et musique...Pas n'importe quelle musique, celle d'<strong>Elvis</strong>. Ici, on rêve de Cadillac, de veste en peau de serpent, et d'un ailleurs, quelqu'il soit. Tout se déroule en une nuit, des histoire de famille, d'amour, de chair, un curieux passé qui se ressasse à grands coups de flashbacks. Croyez-moi, cette nuit là ne sera pas comme les autres, Juste viendra rompre cette spirale... <strong>6 comédiens et 2 musiciens</strong>, une distibution revue en partie, et l'aboutissement de ce travail commencé en 2011. Nous jouerons cet été à Avignon avec ce spectacle de Melquiot, à la <strong>Fabrik' théâtre</strong> (théâtre permanent d'Avignon).</p> <p>  </p> <p> <img alt="200146_102601596491523_5905923_n" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/2987/200146_102601596491523_5905923_n.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong><u>NOTE DE LA MISE EN SCENE</u></strong></p> <p>  </p> <p> Cette pièce marque dès sa première lecture par sa force de broyer du noir dans une légèreté et une fraicheur naïve. Mon envie première est de traiter le rêve, les folies qu'il entraine mais aussi ce désir réel de <strong>vivre intensément</strong>, tendre vers un désir de contentement et de plénitude. J'axe le point de vue de la pièce selon le regard du personnage de Juste à travers un de ses rêves. Juste pouvant être vu comme l'auteur, le metteur en scène mais aussi le spectateur... comme n'importe qui. Il devient « juste » un prétexte. Le choix du jeu est entre le jeu naturaliste dans le verbal et l'onirique dans le corps, le décor, les costumes. Un va et vient permanent entre une réalité et un rêve. Toute la pièce se déroule le temps d'une nuit, du crépuscule à l'aube, et donc <strong>le temps d'un rêve</strong> : celui de Juste. Celui-ci permet de faire ressortir les moments légers, drôles voire décalés de cette pièce qui est bien au delà de la tragédie et de la noirceur. Le temps n'a plus de valeur et devient inexistant, ponctué par des phases de ralentissement, d'accélération et de flash back. Le public perd pied et se laisse guider dans des lieux irréels et <strong>intemporels</strong>. Chacun d'entre nous pourrait faire ce rêve et y trouver ces personnages. Mais auraient-ils été les mêmes et auraient-ils vécu les mêmes choses...?</p> <p>  </p> <p> <img alt="215953_109201159164900_5167773_n" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/2988/215953_109201159164900_5167773_n.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong><u>QUI SOMMES NOUS?</u></strong></p> <p>  </p> <p> Avec le<strong> Cie L'Etoile d'Araignée</strong>, mise en scène d'Adrien Galaup, avec Benoit Hau, Cédric Guerri, Benjamin Gavarret, Valentin Andréo, Benjamin Meneghini, Cyril Dauphin, Rose Hélène Michon, Magalie Lopez. Régie : Franck Lopez Photographies : Manu Tedybear Affiche à venir : Frédéric Lejeune</p>