BOLINGO // Premier album

<blockquote> <p><strong>Le projet</strong></p> </blockquote> <p>&nbsp;</p> <p>Cinq nationalit&eacute;s. Cinq sensibilit&eacute;s artistiques. Cinq&nbsp;parcours singuliers. Un objectif commun : vivre leur passion. Le groupe &ldquo;Bolingo&rdquo; est n&eacute; de la rencontre entre Ferta, Rapha&euml;l, Samba, Fallou et Khadim.&nbsp;R&eacute;unis &agrave; Dakar, ils ont aujourd&rsquo;hui d&eacute;cid&eacute; d&rsquo;accorder leurs talents pour cr&eacute;er &ldquo;Bolingo&rdquo;, un projet musical aux multiples facettes, qui donnera naissance &agrave; un premier album, dont la sortie est pr&eacute;vue d&eacute;but septembre.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/672568/B__11_-1593196163.png" width="100%" /></p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p><strong>Pr&eacute;sentation du groupe</strong></p> </blockquote> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Rapha&euml;l</strong> est le producteur, compositeur, directeur artistique et guitariste rythmique de l&rsquo;album. L&rsquo;id&eacute;e du projet Bolingo, c&rsquo;est &agrave; lui qu&rsquo;on la doit ! Originaire de la banlieue parisienne, Rapha&euml;l a appris la musique au contact de la bossa nova et de la chanson fran&ccedil;aise. Agronome de formation et aujourd&rsquo;hui chercheur, il a eu la chance de parcourir le monde gr&acirc;ce &agrave; son m&eacute;tier. Le Y&eacute;men, le Kenya, la Tanzanie, la R&eacute;union, Rodrigue ou encore la Corse ont &eacute;t&eacute; ses terrains de recherches et de d&eacute;couvertes artistiques. Chaque nouvelle exp&eacute;dition l&rsquo;a ainsi amen&eacute; &agrave; &eacute;largir ses horizons musicaux. Install&eacute; &agrave; Dakar depuis 2018, il s&rsquo;inspire aujourd&rsquo;hui du talent des artistes africains pour construire un album &eacute;clectique. Sa devise? &ldquo;Faire &eacute;merger le sublime de la simplicit&eacute; !&rdquo;.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Ferta</strong> est le chanteur du groupe. Originaire de Dakar, ses parents l&rsquo;envoient &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de cinq ans dans une &eacute;cole coranique situ&eacute;e au nord du S&eacute;n&eacute;gal. Malgr&eacute; des conditions de vie difficiles, on lui enseigne la spiritualit&eacute; et les chants religieux. Quelques ann&eacute;es plus tard, il fugue et rejoint la capitale. Il y d&eacute;veloppe sa passion pour la musique. Mais en manque de reconnaissance, il prend la route du Congo. Apr&egrave;s plusieurs mois &agrave; errer dans les rues de Kinshasa, Ferta rencontre la rumba congolaise et forme son premier groupe de musique. Fort de ses exp&eacute;riences, l&rsquo;artiste est aujourd&rsquo;hui install&eacute; &agrave; Dakar. Avec sa voix profonde, Ferta chante l&rsquo;amour, la paix et le courage, invitant chacun &agrave; vivre ses r&ecirc;ves. En langue peule, son nom signifie &ldquo;celui qui voit&rdquo;.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/672343/Bolingo__7_-1593104693.png" width="100%" /></p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Samba</strong> est le guitariste soliste et ing&eacute;nieur du son de Bolingo. Il est le fils du grand Lobi Traore, l&rsquo;un des fondateurs du blues malien. Il n&rsquo;a que quinze ans lorsque son p&egrave;re d&eacute;c&egrave;de. Il h&eacute;rite alors de sa vieille fender, et ne la quittera plus. En quelques ann&eacute;es, il acquiert la ma&icirc;trise du bambara blues et joue au c&ocirc;t&eacute;&nbsp;de nombreux artistes, dont&nbsp;Rokia Traor&eacute;, Vieux Farka Tour&eacute; ou encore Oumou Sangar&eacute;. Il foule ainsi les plus grandes sc&egrave;nes et festivals de son pays, dont le &ldquo;Festival sur le Niger&rdquo;. Mais en 2017, la guerre au Mali le pousse &agrave; partir &agrave; l&rsquo;aventure, esp&eacute;rant un horizon plus beau au S&eacute;n&eacute;gal. S&rsquo;il a fallu faire sa place les premiers mois, il a ensuite r&eacute;ussi &agrave; prendre ses marques. Aujourd&rsquo;hui, il accompagne la chanteuse Kya Loum et s&rsquo;investit pleinement au sein de Bolingo.</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Fallou </strong>est le bassiste du groupe. D&egrave;s son plus jeune &acirc;ge, il se passionne pour la musique, et plus particuli&egrave;rement la basse. C&rsquo;est ce qui le pousse en 2002 &agrave; int&eacute;grer le Conservatoire National d&rsquo;art dramatique et de la musique au S&eacute;n&eacute;gal, afin d&rsquo;y suivre une formation sur la ma&icirc;trise du solf&egrave;ge et de la basse. En parall&egrave;le, il se forge sur diff&eacute;rents genres musicaux : jazz, soul, afro, reggae, salsa et musique traditionnelle. Fort de cette formation, il int&egrave;gre des groupes de vari&eacute;t&eacute; et tourne dans les diff&eacute;rentes r&eacute;gions du pays. Pendant six ans, il accompagne ensuite le maestro &ldquo;Souleymane Faye&rdquo; et l&rsquo;artiste &ldquo;Pape Niang&rdquo;. Enfin, il a eu la chance d&rsquo;accompagner la chanteuse &ldquo;Titi&rdquo; pour une tourn&eacute;e internationale (Allemagne, Angleterre, Belgique, Espagne, Italie, Su&egrave;de) en collaboration avec les Nations Unies. Aujourd&rsquo;hui, en plus de s&rsquo;engager pleinement dans le projet Bolingo, il joue au sein de l&rsquo;orchestre national du S&eacute;n&eacute;gal.&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Khadim</strong> est le percussionniste, chor&eacute;graphe et &ldquo;papa&rdquo; s&eacute;n&eacute;galais du groupe. Petit, dans les ruelles de son quartier, il ne tenait en place et s&rsquo;amusait d&eacute;j&agrave; &agrave; taper sur tout ce qui bouge. Pourtant, c&rsquo;est la danse qui est d&rsquo;abord venue &agrave; lui. En effet, sa maman lui donna des cours pour pr&eacute;parer la c&eacute;r&eacute;monie de circoncision. Dou&eacute; et pris de passion pour cet art, il encha&icirc;ne les concours et est rapidement rep&eacute;r&eacute; par plusieurs artistes, dont le groupe Super Djamono, avec notamment Oumar Pene et Ismael Lo. Il accompagnera ensuite le groupe Kadougui pendant sept ans en Europe, et commence d&egrave;s lors &agrave; davantage s&rsquo;int&eacute;resser au chant, &agrave; l&rsquo;&eacute;criture et aux percussions. Pendant cinq ans, il accompagne le chanteur s&eacute;n&eacute;galais Souleymane Faye aux percussions puis c&ocirc;toie diff&eacute;rents groupes, tels que Balai Dak, l&rsquo;orchestre Baobab ou encore la chanteuse Coumbiss Sorra. Talentueux mais en manque de reconnaissance, il esp&egrave;re de tout coeur que le projet Bolingo aboutira.&nbsp;</p> <p><br /> &nbsp;</p> <blockquote> <p><strong>L&rsquo;album</strong></p> </blockquote> <p>&nbsp;</p> <p>L&rsquo;album contiendra 9 titres. Bien qu&rsquo;il s&rsquo;inscrive dans un genre que l&rsquo;on peut qualifier de &ldquo;world music&rdquo;, il est difficile de lui attribuer un style pr&eacute;cis, tant les influences musicales et diverses de chacun ont &eacute;t&eacute; sources d&rsquo;inspirations pour les diff&eacute;rents morceaux. Ensemble, les membres du groupe ont cr&eacute;&eacute; une musique authentique, propre &agrave; Bolingo.</p> <p>&nbsp;</p> <p>On peut toutefois affirmer qu&rsquo;il s&rsquo;agit d&rsquo;un album pos&eacute;, relaxant, optimiste. Ce sont des musiques qui emportent, ent&ecirc;tantes, et pouvant procurer de la joie comme de la nostalgie.</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p><strong>Le d&eacute;fi</strong></p> </blockquote> <p>&nbsp;</p> <p>Il s&rsquo;agit d&rsquo;une autoproduction culturelle. Nous n&rsquo;avons pas de maison de disque et ne sommes pas encore connus du grand public. Par ailleurs, nous r&eacute;alisons l&rsquo;album&nbsp; avec de faibles moyens. C&rsquo;est pourquoi nous avons construit de nos propres mains notre studio d&rsquo;enregistrement, que l&rsquo;on aime surnommer &ldquo;le studio carton&rdquo;.&nbsp;</p> <p>Nous faisons ainsi presque tout nous-m&ecirc;mes, c&rsquo;est-&agrave;-dire les compositions, l&rsquo;&eacute;criture, les enregistrements, le mixage, le sc&eacute;nario des clips en passant par la communication. Mais tout cela a un co&ucirc;t. C&rsquo;est pour cela que nous allons avoir besoin de votre g&eacute;n&eacute;rosit&eacute;!</p> <p>&nbsp;</p>