Court-métrage sur Jules Vallès
<p><strong>[EDIT du 8 novembre 2020]</strong></p>
<p>Je constate aujourd'hui avec une <strong>immense joie</strong> que vous êtes déjà nombreux à soutenir généreusement mon projet, lancé il y a 3 jours. </p>
<p><strong>MERCI infiniment ! </strong></p>
<p>Si l'on a la chance de dépasser le montant minimum (2160 euros), vos contributions seront encore une aide précieuse. Voici à quoi elles serviront : </p>
<p><strong>150 % (2ème palier)</strong> : Matériel de meilleure qualité, pour un film encore plus réussi !</p>
<p><strong>200 % (3ème palier)</strong> : Meilleure promotion pour une diffusion plus large du film (médias ; festivals ; concours ; projections auprès d'un public varié). </p>
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<p><strong>BONJOUR à toutes et tous !</strong></p>
<p>J’espère que vous allez bien : ). </p>
<p>Je me lance dans la réalisation d’un<strong> petit biopic sur l’écrivain Jules Vallès</strong>, qui abordera son engagement dans la Commune de 1871, son exil à Londres, puis sa rencontre avec la formidable journaliste Séverine, morceaux essentiels de notre Histoire politique, sociale et culturelle.</p>
<p>Je suis soutenue par mon laboratoire de recherche, encouragée par des spécialistes de la période et amplement aidée par Maxime Lamotte (co-réalisateur). Mon scénario et mon découpage technique sont quasi-prêts, j’ai trouvé mes acteurs… </p>
<p>J’ai maintenant <strong>besoin d’un coup de pouce financier</strong>, sans quoi je ne pourrai mener à bien ce projet, sereinement et dignement.</p>
<p>D’avance, <strong>un grand merci pour votre attention et pour votre aide !</strong></p>
<p>Peu importe la somme, je vous serai extrêmement reconnaissante et vous remercierai de diverses façons : ).</p>
<p>Ci-dessous, vous trouverez une explication plus précise de cette aventure : ). </p>
<p><strong>A très vite, en espérant que cette fin d’automne colore avec douceur votre quotidien… !</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/694344/b94e4da4-7c4e-46c4-8c31-e703c452aaa2.jpg" /></p>
<p style="text-align:center">Dessin de Jacques Tardi,</p>
<p style="text-align:center"><em>Le Cri du Peuple</em></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/694345/6dcf147e-06db-4943-adc7-781852d01291.jpg" /></p>
<p style="text-align:center">Dessin d'Eloi Valat, </p>
<p style="text-align:center"><em>La Semaine sanglante de la Commune de Paris</em></p>
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<p><strong>NOTE D'INTENTION</strong></p>
<p>Le <strong>projet un peu fou de ce court-métrage a germé au printemps dernier </strong>: mon corps était confiné et mon esprit « buissonnier »…</p>
<p>Après une dizaine d’années de recherche et d’écriture sur la littérature, l’histoire et le journalisme du XIXe siècle, après une <strong>thèse consacrée à Jules Vallès</strong>, cet ardent « insurgé » dont les combats contre les oppressions et les injustices sociales m’avaient percutée à l’âge de 19 ans, je commençais à perdre mon souffle…</p>
<p>J’étais mordue de littérature et j’avais été <strong>agrippée au cœur par la plume vibrante de Vallès</strong>… Le temps passant, il est devenu parfois délicat de s’engouffrer, souvent bénévolement, dans les chemins sinueux et les longs tunnels de l’écriture, de dédier toutes ces heures solitaires à des articles, revues ou livres, sans pouvoir partager plus concrètement avec autrui la trajectoire si vivante de ce journaliste brillant et militant infatigable.</p>
<p><strong>Mon livre sur les articles subversifs de Vallès paraîtra bientôt</strong>, avec une couverture gentiment illustrée par le talentueux Eloi Valat. J’en suis ravie.</p>
<p><strong>Mais comment incarner encore un peu plus son existence mouvementée ? J’ai besoin d’enrichir les mots d’images, de sons et de sensations…</strong></p>
<p>Il y a deux ans, <strong>j'ai arpenté pour la chaîne Arte certains lieux de l’enfance chers à Vallès</strong>, en Haute-Loire, pour un documentaire sur ses origines auvergnates. Ce fut déjà une expérience très vivifiante d’emprunter réellement ses pas, de m’ouvrir aux sensations rurales qui l’avaient revigoré un siècle et demi auparavant, de pouvoir ressentir sa « liberté sans rivages », auprès d’un public élargi.</p>
<p>Plus récemment, <strong>j’ai eu l’occasion d’évoquer Vallès sur France Culture</strong>. Ce fut un plaisir de me replonger dans ses combats, de saisir ses joies et ses tourments dans une intimité renouvelée, sans pour autant être contrainte de produire un raisonnement académique sur le sujet ! Ce fut très agréable de le côtoyer plus simplement, dans son humanité, et de pouvoir en discuter à l’oral. Après cette émission, de nombreux retours m’ont prouvé que Vallès suscite un intérêt profond, chez ceux et celles qui ont lu avec passion <em>L’Enfant, Le Bachelier, L’Insurgé</em>, ou qui le découvrent et aimeraient mieux le connaître.</p>
<p>J’ai alors goûté un plaisir qui s’était peu à peu estompé, j’ai également repris conscience du fait que <strong>Vallès reste méconnu en proportion de son talent</strong>… Enfin, s’est imposée à moi cette évidence d’un état de fait préjudiciable, qui me hante depuis : <strong>il n’a jamais eu la place qu’il mériterait au cinéma… !</strong></p>
<p>Son socialisme libertaire et sa participation sulfureuse à la Commune de 1871 ne sont pas étrangers à une telle absence. Mais ils ne peuvent l’expliquer entièrement. Plutôt que de chercher à éclaircir tout à fait cette carence cinématographique, <strong>je songe avec joie à toutes les bonnes raisons qui motivent sa présence sur petit ou grand écran…</strong></p>
<p><strong>Et je me prends à rêver, avec vous, d’un film qui pourrait l’incarner… : ) : ) : ).</strong></p>
<p>Céline.</p>
<p style="text-align:center"> <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/694334/afa63dbd-e60c-4f1d-9afa-d98389fa9c87.jpg" /> <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/694335/fe0182fb-4c20-42bc-8fa6-0788249e720e.jpg" /></p>
<p style="text-align:center">Vallès puis Séverine - Atelier Nadar</p>
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<p><strong>PITCH</strong></p>
<p>Nous sommes à Paris, en mai 1871. Le grand journaliste <strong>Jules Vallès cherche à fuir la répression sanglante qui s’abat sur la Commune</strong>, insurrection qu’il vient de porter avec courage… Risquant la mort, il doit émigrer en Belgique puis en Angleterre. <strong>Encerclant la sombre et interminable réclusion de son exil, se profilent en clair-obscur les principales femmes de sa vie…</strong></p>
<p>L’intrigue se concentre sur les « rives » de son séjour forcé à Londres, entre 1871 et 1880. C’est un morceau d’histoire vraie, où le regard documentaire assume cependant sa subjectivité et s’entremêle par endroits à la fiction.</p>
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<p><strong>ÉQUIPE PRINCIPALE</strong></p>
<p><strong>Céline Léger (scénariste, co-réalisatrice, silhouette parlante) </strong></p>
<p>Enseignante agrégée et docteure en littérature française du XIXe siècle, je consacre depuis longtemps des articles et des communications à Vallès, tout en étant très impliquée dans la revue <em>Autour de Vallès</em>. Bientôt, paraîtra le livre issu de ma thèse : <em>Jules Vallès, la fabrique médiatique de l’événement (1857-1870)</em>. Je profite aussi d’un temps partiel dans l’Éducation Nationale pour me former au travers d'ateliers d’écriture et m’adonner à mes autres passions, telles que la musique ou encore l’écriture poétique et scénaristique. Ainsi est né le rêve d’un court-métrage sur mon auteur de prédilection…</p>
<p style="text-align:center"> <img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/693372/86cf7756-74be-49e5-abdd-55e3333ac901.jpg" /></p>
<p style="text-align:center">Céline, printemps 2020</p>
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<p><strong>Maxime Lamotte (acteur principal, co-réalisateur)</strong></p>
<p>Diplômé d'un double master de recherche en Musicologie et en Arts et Technologies Numériques, Maxime évolue comme intermittent du spectacle dans le milieu de la musique et du cinéma. Il a réalisé une dizaine de clips et fait plusieurs apparitions à l'écran, dont une dans le rôle de Thomas Shelby pour un remake de <em>Peaky blinders</em> qui a récolté plus d'un million de vues. Il est amateur de rôles de composition et doué de compétences techniques, qui seront appréciées sur <em>Rives d'exil</em>.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/693380/45ee7292-9b52-4608-9582-f2cb6544ead2.jpg" /></p>
<p style="text-align:center">Maxime sur le tournage de la série <em>Genius</em>, de Brian Grazer et Ron Howard</p>
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<p><strong>Marie Paquet (actrice principale)</strong></p>
<p>Passionnée de musique, de théâtre et de cinéma, elle a commencé au lycée la pratique du théâtre, qu’elle poursuit aujourd’hui, tout en étant luthière. Depuis 2017, elle fait partie de <em>La Tangente, </em>collectif basé dans le Vieux-Lyon, qui a notamment créé le concept de <em>Quizz Cinéâtral</em> : la troupe s’amuse à tester les connaissances du public, en rejouant des scènes de cinéma, de séries télévisées ou de théâtre. Marie a toujours eu un pied dans le spectacle vivant et souhaite explorer plus en profondeur l’art cinématographique, qui la touche tant.</p>
<p style="text-align:center"> </p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/693396/2e11a6d7-47f4-4797-9038-2c5d38388fae.jpg" /></p>
<p style="text-align:center">Marie est située à droite, vêtue d'une robe sombre, dans cette "scène au balcon" de la compagnie La Tangente - photo prise par Matthieu Cellard</p>
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<p><strong>CALENDRIER</strong></p>
<p><strong>Tournage</strong> : décembre 2020-janvier 2021.</p>
<p><strong>Post-production</strong> : janvier-avril 2021.</p>
<p><strong>Diffusion</strong> : à partir du printemps 2021, projection espérée lors des commémorations culturelles autour de la Commune ; proposition du court-métrage à différentes plateformes et chaînes, comme Arte ; inscription dans de nombreux festivals ; etc.</p>
<p>Il s’agit d’un film à vocation historique et littéraire. Pour me donner toutes les chances de réussir cette plongée dans l’existence de Vallès, entre 1871 et 1880, j’ai dû trouver des <strong>lieux crédibles ainsi que des costumes, perruques, barbes postiches, maquillages et accessoires de qualité</strong>, dont l’achat et la location sont coûteux. Je tâcherai aussi de faire appel à un coiffeur-maquilleur artistique, formé dans le cinéma, que je tiens au moins à défrayer sur l’ensemble du tournage.</p>
<p>Par chance, je bénéficierai sans doute d’une petite subvention accordée par mon laboratoire de recherche, <strong>l’IHRIM Saint-Étienne</strong>, qui me soutient dans cette aventure, visant à mieux faire connaître un écrivain fondateur. Cette aide me servira à prendre en charge une partie des frais liés aux costumes et maquillages. De plus, <strong>La Tangente</strong> a la gentillesse de me prêter certaines pièces de costumes et quelques accessoires.</p>
<p><strong>Quelques proches participeront bénévolement</strong> au projet, dont l’ambition est avant tout culturelle et non pas lucrative. C’est le cas des deux comédiens principaux qui y voient une occasion stimulante de s’amuser tout en enrichissant leur expérience cinématographique. Je leur suis très reconnaissante pour leur implication et ravie de porter leur talent à l’écran, mais je tiens à les remercier concrètement, en défrayant leurs trajets et en leur offrant les repas pendant le tournage.</p>
<p><strong>Pour la réalisation, la bande originale et le montage</strong>, je serai grandement aidée par Maxime Lamotte, qui utilisera son propre matériel (caméra, objectifs, instruments, matériel d'enregistrement, etc.). Cela dit, afin de recréer au mieux l’atmosphère imaginée par mon scénario, il faudra y ajouter des éléments essentiels de tournage et de montage (lumières, stabilisateur, micros, licence d’un logiciel de montage, etc.), qui contribueront à la qualité professionnelle du film.</p>
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<p><em><strong>Synthèse de mes principales dépenses :</strong></em></p>
<p>- Costumes, maquillages, accessoires + recours à un maquilleur-coiffeur spécialisé : 1500 euros</p>
<p>- Matériel spécifique (tournage + montage) : 1700 euros</p>
<p>- Défraiement des comédiens bénévoles : 300 euros</p>
<p>- Communication/promotion + inscription à des festivals : 500 euros</p>
<p>** Total minimum des <strong>dépenses</strong> : <strong>4000 euros</strong></p>
<p>** Total estimé de l'<strong>apport personnel</strong> (+ <strong>subvention</strong> <strong>IHRIM</strong>) : <strong>2000 euros</strong></p>
<p>** Total minimum <strong>restant à trouver</strong> : <strong>2160 euros</strong> (incluant les 8 % de commissions KissKissBanBank)</p>
<p><strong>Si, par chance, on récolte davantage, je serai super contente de pouvoir encore améliorer la qualité de "Rives d'exil" et d'élargir sa diffusion auprès du public !</strong></p>
<p><strong>Je serais ravie que ce projet vous captive et qu’ensemble,</strong> <strong>nous donnions corps à cette aventure cinématographique</strong>, qui concrétisera un rêve vibrant !</p>
<p><strong>Grâce à votre contribution, quelle qu’elle soit, j’espère offrir une visibilité inédite à Vallès</strong>, cet auteur passionnant, qui a tant œuvré pour la justice sociale, qui mérite d’être mieux connu et qui a encore tant de choses à nous dire aujourd’hui…</p>
<p><strong>Merci à vous... ! </strong></p>
<p><strong>A très bientôt, j'espère : ). </strong></p>
<p>Céline.</p>