Distorsion Gallery : Micro-galerie d'art associative au coeur de Bruxelles

Petite présentation Je m'appelle Mathilde, j'ai 27 ans. Enfant, j'ai commencé par aimer les arts de la scène en pratiquant la danse et en assistant à une flopée de spectacles vivants grâce à ma maman, qui, je pense, m'a beaucoup influencée dans cette passion. Celle de la Culture. En grandissant, j'ai de plus en plus montré d'intérêt pour les choses : les œuvres, les objets vintage, les vêtements, le tatouage... et surtout pour l'art non-conforme et singulier. Alors, en 2012, je me suis lancée dans des études de communication. Et après quelques essais-erreurs, j'ai finalisé mon parcours scolaire en communication culturelle et événementielle. Ce qui m'a permis de préciser mes objectifs professionnels. J'ai alors plongé dans le grand fleuve du monde du travail avec une première expérience dans la culture qui a duré deux ans. C'était un peu long, ces deux ans, il faut bien le dire… Je n'étais pas encore du bon côté du rivage, je n'avais pas encore compris que le secteur public, ce côté institutionnel, n'était pas fait pour moi. L'approche culturelle classique, ce n'est pas trop mon truc. Mais on ne crache pas dans la soupe, et c’était un boulot plutôt agréable et varié. Mon contrat de remplacement a pris fin et puis, covid passant par là, toutes les lumières culturelles se sont éteintes, les offre d’emploi se sont réduites à peau de chagrin… et l’attente s’est installée dans ma vie. Ce nouveau projet donc, Distorsion, c’est pour moi une inespérée opportunité d'atteindre mon rêve professionnel. Je vous l'explique. Mais d'abord, le lieu : le Grand Hospice Distorsion Gallery s'intègre dans un projet d'occupation temporaire de deux ans minimum au Grand Hospice, en plein coeur de Bruxelles (à 50 mètres de l'arrêt de métro Sainte Catherine). Cet incroyable bâtiment classé, oeuvre de l’architecte Henri Partoes, est muni de deux très grands jardins, atout incontestable pour le quartier. Ce sont plus de 150 projets qui se côtoieront dans cet espace, répartis selon quatre thématiques : Développement durable, Communauté, Art&Culture, et Education&Santé. Pour faire vivre cette petite oasis de verdure, Pali Pali, gestionnaire du projet de l'occupation, s’est associé à Jardin afin de gérer la guinguette et le bar permanent du site, où je me ferai un plaisir de vous croiser tout l'été pour discuter autour d'un verre. Record shop, micro-brasserie, pâtisserie, brocante, ateliers d'artistes, coiffeur, friperie, bar à tisanes, cours de yoga... sont quelques-uns des nombreux projets avec lesquels Distorsion cohabitera au Grand Hospice. Le site : https://www.grand-hospice.brussels/grand-hospice-about/ La page Facebook : https://www.facebook.com/grand.hospice/ Distorsion Art Gallery Distorsion, au-delà de son revêtement de sol en vinyle rose époustouflant ;-) , c'est la concrétisation d'un rêve : celui de promouvoir une culture accessible, locale, solidaire et alternative (comme son nom l'indique) dans un endroit incroyable. Ses objectifs : Rendre l'exposition accessible aux artistes émergents et leur permettre une jolie visibilité. Créer des liens, des interactions avec les autres occupants du Grand Hospice, le milieu associatif et culturel, le public. Être un véritable petit lieu d'échange : faire se rencontrer les artistes basés à Bruxelles, et ailleurs. Proposer un art accessible et abordable au public et les étonnantes découvertes qui vont avec. Partager l'art pour s’accomplir et se rassembler, au-delà des idées reçues et des différences. Bref... en faire un lieu qui compte, quoi ! Comment ? En proposant principalement des expositions, des vernissages, des ateliers artistiques, des rencontres, mais aussi des journées tatouage, un coin librairie et plein d'autres surprises (ça serait bête de tout vous dévoiler tout de suite) dans la galerie, dans l'espace polyvalent du site du Grand Hospice ou même dans les magnifiques jardins. Alors, ça vous parle ? Si oui, déjà merci !