Dreamcore : court-métrage sur la scène métal hardcore
Un groupe, un concert pas comme les autres "on est les 13 et viens foutre le bordel"
Réussi
5
Contributions
24/11/2022
Date de fin
470 €
Sur 450 €
104 %
Dreamcore : court-métrage sur la scène métal hardcore
Bonjour à tous, Dans le cadre du Nikon Festival 2023, notre association One Night Production prépare un court-métrage. Le sujet du Nikon de cette année est le numéro «13 », un sujet qui nous a inspiré une histoire autour de la musique métal. Notre projet se nomme Dreamcore, mot-valise qui joue avec les termes « dream » (« rêve » en anglais) et « core », emprunté à « hardcore », le film s’incrivant dans la lignée de la mouvance hardcore metal. Cette œuvre est un véritable mélange des genres qui aborde comme thématique le parcours de vie qu’il place au cœur d’un film musical poétique, en y apportant une touche d’humour très anglais. Qu’est-ce que ça raconte ? Dreamcore raconte l’histoire de "13", un groupe de metal hardcore qui rêve de jouer sur une vraie scène. C’est alors qu’un jour, son manager lui programme une date de prestation. Les membres sont en effervescence, jusqu’au moment où ils découvrent que le destin les a conduits sur une scène pour le moins atypique. Un concert dont ils se souviendront pendant très longtemps… Quelles sont les influences de Dreamcore ? Dreamcore puise son essence dans de multiples œuvres cinématographiques. La folie visuelle et l’amour de la révolution Wong Kar-wai a particulièrement touché le réalisateur Medhy Soulas dans sa manière de jouer avec le temps par son travail du step printing (effet de ralenti) qui donne une beauté unique à son cinéma, que l’on peut entre autres apprécier dans les films Chungking Express et My Blueberry Nights. Enfin, le réalisateur Italien Sergio Leone est une leçon de cinéma pour Medhy Soulas, à commencer par le film culte Il était une fois dans l’Ouest qui démontre son talent du cadrage et de la mise en scène. Equipe Technique - Réalisateur : Soulas Medhy Fou, inventif, Medhy revient avec ce nouveau projet. Plusieurs courts-métrages à son actifs, d'habitude plus proche des sujets sombres, Medhy a envie d'aller vers un sujet clairement plus fou et délirant. Mais ne manquant pas de piquant et de son esprit de révolte. - Cheffe Opératrice : Elodie Lorquet Deuxième collaboration avec Medhy Soulas, après le western urbain L’expérience, la jeunesse et la mort en 2020, Elodie Lorquet revient avec ce deuxième court-métrage pour offrir sa propre folie visuelle. - Ingénieur du son : Jeremy Rozas Après plusieurs projets en collaboration, Jérémy fait retours dans l’univers de Medhy pour ce nouveau projet. Comédien - Georgi Jivkov Dans le rôle de Nico, chanteur des 13. Perfectionniste, caractériel et complètement fou. Il donne l'énergie à tout le groupe. C'est un leader né. - Alexandre Bourbon Ami de Medhy Soulas, il joue le rôle d’Alex, bassiste fou des 13. Ivre de bagarre et de musique lors des concerts, il aime autant en découdre avec les spectateurs qu’avec les cordes de son instrument. - Florent Brieux Il campe le rôle de Vincent, batteur nerveux des 13. Peu loquace, il apprécie davantage la tranquillité, mais n’hésite pas à se déchaîner sur scène où il tape comme un forcené sur sa batterie. - Albin Stanko Il incarne Pierre, piètre guitariste des 13. Il peine à jouer correctement la plupart du temps, mais si l’ébriété le transforme en épave, elle le métamorphose également en dieu de la guitare.
À quoi servira la collecte
Financement et diffusion Pour pouvoir se concrétiser, le budget de Dreamcore, dont vous trouverez ci-après la répartition, s’élève à 450 euros. Il sera en partie financé par différents donateurs dont chacun aura le plaisir de voir son nom inscrit au générique. Mais notre projet a également besoin de votre aide pour exister. Répartition du budget : - 35% : Régie (nourriture et transport) Cette part permettra de nourrir l’ensemble de l’équipe au cours des deux jours de tournage et de défrayer les trajets des différents techniciens et acteur·rice·s. - 15%: Location de matériel La location de matériel caméra, de lumière et de machinerie est primordiale au travail visuel de notre film afin de lui offrir une identité visuelle forte. - 50% : Location d’une salle Le plus gros du budget sera utilisé pour la location d’une salle qui servira de décor principal au film. Vers quel avenir ? Dans un premier temps, notre film sera destiné à cette édition du Nikon Festival 2022 dans une version de deux minutes et vingt secondes. Par la suite, il sera remonté afin d’être présenté dans divers festivals nationaux ou internationaux, pour permettre ainsi à un plus large public de le découvrir. « Dreamcore est un projet qui me tient à cœur. C’est un film sur mon amour de la musique metal, un film sur des loosers magnifiques qui n’abandonnent jamais leurs rêves. »