"Les échos du silence": briser le tabou des violences sexuelles
Objectif 100 % atteint ! Un grand merci aux premiers contributeurs ! Le premier pallier de 250 euros me permettra de lancer le projet. Deuxième objectif: atteindre 200 % soit 500 euros de dons Actions supplémentaires: Location de salle de répétition (150 euros), impression de flyer (50 euros) Comment dépasser un traumatisme ? Comment le corps, la danse et le dialogue peuvent nous sauver ? Tels sont les thèmes du projet théâtral que je porte: « Les échos du silence ». Le sujet des agressions sexuelles est grave et délicat mais le texte est plein d'espoir: les protagonistes nous offrent un témoignage de libération et de dépassement du traumatisme par le corps. J’avais déjà créé une lecture collective sur ce thème en janvier 2020 à Pondichéry. Aujourd’hui, j’aimerais réaliser un spectacle à la croisée du théâtre et de la danse. C’est pourquoi je sollicite votre générosité et votre confiance. Ma démarche… En me basant sur mon expérience d’écoutant au sein de l’association « L’enfant bleu », ma participation aux groupes de paroles de l’association « en parler » et mon propre parcours, je veux montrer que les abus sexuels peuvent toucher tout le monde mais qu'il n'y a pas de fatalité. Tous les silences peuvent être brisés. Cela prend du temps et peut passer par des voies imprévisibles mais cela est possible. La pièce... Intitulé « Les échos du silence », le récit suit deux femmes et un homme qui, peu à peu, parviennent à dépasser les échos d'un silence imposé. Dalila n’a pas su dire non à une soirée, Antoine a été victime d'un animateur en colonie de vacances et Louise a subi de la violence conjugale. Tous trois vont raconter leur parcours et témoigner du chemin qui les a mené vers une véritable libération. D’avance, merci à vous, Nicolas (et merci à Cecile Hoorelbeke pour le dessin !)
La pièce est déjà écrite et les comédiens ne seront pas rémunérés. La collecte servira à louer une salle (100 euros), rembourser les frais de déplacements/restauration des bénévoles (50 euros) et payer l'aide d'une chorégraphe (100 euros).