ERÈIVIR : DEUXIÈME ALBUM de TERRA MARE par PAOLO GAUTHIER

ERÈIVIR, NOUVEL ALBUM DE TERRA MARE

Visuel du projet ERÈIVIR : DEUXIÈME ALBUM de TERRA MARE par PAOLO GAUTHIER
Échoué
18
Contributions
23/11/2023
Date de fin
447 €
Sur 1 200 €
37 %

ERÈIVIR : DEUXIÈME ALBUM de TERRA MARE par PAOLO GAUTHIER

EN BREF Voici quelques nouvelles de Terra Mare. Depuis le premier disque, Liuervehc, en 2020, il y eu des concerts dans des cafés associatifs, dans une grange, dans un atelier d’artisan·es, au sommet d’une petite montagne, une tournée à pied dans les chapelles du Limousin, un entretien radiophonique, des articles dans les journaux locaux et enfin, l’enregistrement d’un deuxième disque ! Et son nom vient du vent, vient d’un rêve, Erèivir ! Et vous pouvez d'ores et déjà le découvrir en vous laissant flotter le long de cette plage·de·page. Mais, comme nous aimons et défendons le bon vieux disque, que l'on peut prendre le temps d'écouter, sur sa sono et qui offre de délicates petites images sur sa bibliothèque musicale, nous vous proposons également une collecte pour financer l'impression dudit disque. Ceci pour une question de sobriété, afin de presser le nombre de disques proportionnellement au nombre de personnes qui seront intéressées à en avoir un et d'éviter la surproduction. Un disque sera donc envoyé à chaque personne ayant contribué au financement. Alors, si l'oreille vous en dit, n'hésitez-pas ! POUR L'ANECDOTE Avec Clément Lemêtre, émérite ingénieur du son des pérégrinations chansonnières de Terra Mare, nous sommes retournés dans les montagnes drômoises. Après avoir recueilli l’écho de l’église Saint-Marcel de Montclar-Sur-Gervanne avec Liuervehc, le chemin d’Erèivir nous a mené dans l’intimisme boisé de la chapelle de la Jarjatte de Lus-La-Croix-Haute, à en revenir à une résonance à l’abri du vent pour un guitare·harpe·voix tout en simplicité. Quatre journées comme quatre saisons à réveiller l’orgue, rencontrer quelques habitant·e·s, dépoussiérer l’électricité, valser la cloche une fois arrivé, une fois pour le départ et à graver les chansons sur un disque pas si dur de la feuille que ça. Ces chansons ont été enregistrées à la fraîche, juste avant l'habitude et sans faste, tout doucement. Comme une fleur qui perce neige au printemps, les pétales sont pour demain. Aujourd'hui c'est midi, et c'est joli, aussi, le givre des bourgeons. Au départ, douze cordes comme les douze lunes d'une guitare·cithare. Et puis un matin, plutôt six cordes, histoire de ressentir aussi toutes les notes des nuits noires. Et voilà une guitare·harpe. C’est plus doux. Et puis, c’est ça aussi le voyage. Il n'en va que d’y aller, pour voir. Et revenir à quelque chose de tout simple. Je crois que ce qui souffle au-dehors est toujours là, il n’y a qu’à ouvrir la porte. Il y a des saisons où l’on vit en plein courant d’air et d’autres où c’est trop que tout ce vent et où l’on ne désire qu’une douce bise pour souffler un peu. C’est peut-être ça, l’hiver. Un appel d’air. Les vagues n’y sont pas pour rien, elles non plus, à rouler leurs bosses·de·baleines pour mieux danser·d’écumes. C’est le temps qui sait. Et ça se surf, le temps... Et le temps d’une chanson, nous n’y verrons que du bleu. Pas de tralala ni d’orchestre mais ce qu’il faut d’arpèges, de voix de neige et de chapelles·de·poèmes. Et quelle en est la langue ? Celle qui vient comme celle qui va. Celle qui me parle depuis tout petit comme celle que j’aurais pu tenir de mes ancêtres et qu'il ne m’était donné de connaître que plus tard et ailleurs et par d’autres, presque par hasard. Et ça me chante comme ça peut. Histoire de mémoires. Alors, pourquoi ne pas les faire se rencontrer, ces dialectes sans souvenir ? Et de toute façon, qu’importe le poème, l’amour est au·delà, et notre parole n’est qu’une offrande à ce que l’on ne saura peut-être jamais dire. Et c’est bien comme ça. Ne reste qu’à contempler les yeux clos, écouter tout l'azur, et danser ce qu’il nous reste. Une chanson est comme le vent qui caresse le granit ou l’onde sans presque rien en transformer qu’elle-même, à en devenir la couette invisible des montagnes et des océans, réconfortante. Entre terre et mer, une plage est venue en rêve... Et c’est un rêve qui est venu animer ces rivières de chansons et l’anima, en italien, c’est l’âme. Sur la berge et la tête à l’envers, on peut voir danser le sable du ciel. La terre aussi a le droit de planer un peu... Et c’est pas qu’un peu que nous sommes bienheureux de vous partager cette musique. Nous y avons mis tout notre cœur, comme toujours et nous espérons que cela vous plaira. Vous pouvez suivre les passerelles numériques en bas de cette page presque blanche de ne savoir quoi dire que de le vous le chanter. Vous remerciant Tout de bon à vous, Arvi ! - Paolo Gauthier P.S.: En bonus Un album de mon autre solo Nuaj·Bruir Un Songe En Hiver *** https://terramare.bandcamp.com https://bramfm.com/paolo-gauthier/ https://www.lamontagne.fr/tulle-19000/loisirs/quatre-chapelles-des-monedieres-et-une-guitare-innovante-pour-une-tournee-a-pied-inedite-en-correze_14280491/ https://mineursdefond.fr/ https://nuajbruir.bandcamp.com/album/un-songe-en-hiver *** Terra Mare est membre et soutenu par le collectif Mineurs de fond. Les évènements de ces dernières années ont été co-organisé avec notamment Lost In Traditions, Kind of Belou, Panache, le Petit Faux Festival et La Calade. Merci

À quoi servira la collecte

ENFIN Cette collecte permet de financer · L'entreprise française qui grave le disque, imprime la pochette et réalise le livret : 1200 euros

Contreparties

CD Erèivir - Terra Mare

12 €

En échange d'un don de 12 euros et si la collecte atteind son but, le disque Erèivir vous sera offert. Ceci comme une pré-vente et pour être sûr d'avoir suffisement de personnes intéressées pour que le financement de l'impression dudit disque puisse se réaliser.

Livraison estimée : janvier 2024

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