25 juillet 2014
Festival Ecollywood - V
Ecollywood, festival du film écologiste, citoyen et solidaire. Aidez-nous à financer sa communication!
Échoué
11
Contributions
20/09/2014
Date de fin
355 €
Sur 1 500 €
24 %
Festival Ecollywood - V
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Ecollywood est né d’un grand désir : concilier passion du cinéma et convictions écologistes ; créer un événement fort autour du cinéma afin de mobiliser et sensibiliser le plus large public autour de l’écologie, de la citoyenneté et de la solidarité.</p>
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Libre, insolite, drôle, dérangeant, voire frondeur, Ecollywood explore le cinéma écologiste, citoyen et solidaire dans toute sa diversité. Avec une programmation remettant en cause les frontières traditionnelles du cinéma, il aborde les genres les plus éclectiques : des films commentaires, documentaires, de fiction, d'animation, mais encore de recherche ou d'expérimentation, des films à petit budget, amateurs ou professionnels, des films critiques, poétiques…</p>
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Le Festival Ecollywood propose de diffuser, par le biais de projections publiques, des films que le cinéma ou la télévision prennent peu en compte. Ecollywood s’attache à animer de véritables temps d’échanges/discussions: il s’agit de rapprocher le grand public des valeurs primaires occultées de notre société : le respect de l’environnement et de ceux qui le partagent, la prise en compte et la considération des droits de l’homme pour tous à travers une implication citoyenne et solidaire. Le festival veut susciter des questions et provoquer des questionnements, en ne confortant pas les certitudes. Lors des séances, mais aussi en marge de celles-ci, nous faisons en sorte que réalisateurs, spectateurs, programmateurs et partenaires puissent se rencontrer, débattre, discuter ou se « disputer » aussi librement que possible. À vous de faire de ce rendez-vous, non pas une suite de mises à disposition d’oeuvres mais une multitude de rencontres et d’expériences inédites.</p>
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Le festival Ecollywood n’a de sens qu’à travers une démarche <em>éco-responsable</em>. De la conception à l’aboutissement du projet, nous faisons au maximum appel aux filières locales ainsi qu’au bio. Chaque action est accompagnée d’une réflexion sur son impact écologique.</p>
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Ainsi nous limitons au maximum les déplacements utilisant l’énergie fossile. Nous faisons appel à une imprimerie locale labellisée « Imprim’ Vert », « PEFC » utilisant du papier recyclé.</p>
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Nous veillons au respect de ces quelques critères : Local / Responsable / Recyclable / Équitable / Écologique</p>
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Le prix d’une séance à Ecollywood est un « PAF » : participation aux frais, de 2€. Nous cherchons avant tout à créer des rencontres entre un film et son public, avec le moins de freins possible, comme celui du coût.</p>
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ECOLLYWOOD [ekoliwud] n.p – 2009 ; de <em>éco(logie)</em> et <em>Hollywood</em> 1◆ ETYM. du gr. <em>oikos</em> « maison, habitat », racine d’<em>Écologie </em>« mouvement visant à un meilleur équilibre entre l’homme et son environnement naturel ainsi qu’à la protection de celui-ci », et de l’am. <em>Hollywood.</em> 2◆ ORIG. Après un appel à proposition fructueux l’association <em>Les Funambulants</em> retient ce nom pour baptiser le festival de cinéma écolo, citoyen et solidaire de la métropole Lilloise. 3◆ AUDIOVIS. L’idée, comique, de se mesurer avec les grosses productions <em>hollywoodiennes</em> en détournant une identité aguicheuse (à l’instar de <em>Bombay</em> avec <em>« Bollywood »</em>) est prépondérante<em>.</em> 4◆ REM. L’appellation <em>« EcoLillWood »</em> n’a pas été retenue. 5◆ EXT. Nom paradoxal, provocant et absurde, né d’une hybridation contre nature, soulevant plusieurs questions : Comment concilier écologie et industrie cinématographique ? Quelle influence ou quel impact peut avoir le cinéma et ses formes émergentes sur l’avenir de la planète ? Quelle place offre notre société aux nouvelles formes cinématographiques ? (films écologistes, engagés, indépendants, poétiques, amateurs, critiques, expérimentaux, etc.) 6◆ FEST. <em>Ecollywood</em> veut nous interroger sur les enjeux environnementaux que nous affrontons aujourd’hui en évitant les propos trop moralisateurs et les écueils de l’intégrisme écologiste. La Citoyenneté et la solidarité seraient les corollaires d’un écologisme moderne, humain, accessible et acceptable… Bref, <em>chassez le naturel, il revient au galop !</em> L’expression donne le ton d’<em>Ecollywood </em>: un festival qui ne veut pas trop se prendre au sérieux, mais quand même !</p>
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<em><strong>5# Ecollywood</strong><strong>- 8 au 12 Octobre 2014 -</strong></em></p>
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<em><strong>Cinéma l’Univers, Lille</strong></em></p>
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<em><strong> Programmation</strong></em></p>
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<strong>« Hétérotopologie de l’arpente »</strong></p>
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Erwann Babin</p>
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Hétérotopologie de l’arpente est une flânerie poétique à travers le jardin médicinal et récréatif d’une jeune herboriste. Au rythme d’un butinage qui se voudrait systématique, scientifique (dans le sens où Michel Foucault entendait étudier ses hétérotopies). L’imaginaire se mêle à la contemplation, le documentaire se monte en fiction, le cosmonaute découvre la vie.</p>
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<strong>« Bleu nuit »</strong></p>
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Myriam David</p>
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Ce conte écologique nous plonge au cœur du monde sous-marin, entre nuit et lumière, au rythme des méditations d’une baleine, témoin privilégié des l’action humaine sur les océans.</p>
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<strong>« Les Etoiles du Nord »</strong></p>
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Antoine Dubos</p>
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François vit dans la rue depuis plus de 15 ans et est en lutte perpétuelle avec la vie, mais surtout avec sa propre mémoire. Tenter de continuer à regarder l’avenir alors même que le passé s’effrite, voilà son combat quotidien. Combat rendu plus difficile par la vie à la rue, où les traces s’effacent plus vite, où les objets se perdent, où les mots n’ont pas de stèle. Pourtant, il continue de porter son regard sur le monde et sur lui-même, s’accrochant aux lueurs qui survivent malgré tout.</p>
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<strong>« Cherche zone blanche désespérément »</strong></p>
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Marc Khannne</p>
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Des personnes, du fait de l’explosion actuelle des ondes électromagnétiques artificielles voient leur vie gravement bouleversée tant sur le plan social que celui de la santé.On dit qu’elles sont “électro-hypersensibles”. Elles doivent se protéger de tout ce qui est téléphonie mobile, mais pour aller où ? Marc Khanne, l’auteur du film a enquêté durant trois ans auprès d’une soixantaine de ces personnes. Avant de les mettre en doute, si on prenait le temps de les écouter .</p>
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<strong>« La jungle étroite »</strong></p>
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Benjamin Hennot</p>
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L’association mouscronnoise « Fraternités ouvrières », aujourd’hui, ce sont des jardins-vergers sauvages, un grainier comptant six mille variétés de semences, des cours et des ateliers gratuits. Son passeur, porte-parole et cheville ouvrière, c’est Gilbert. Tous les jardiniers curieux de Lille, Bruxelles ou Gand, tous ceux et celles qui veulent lier social et jardinage passent lа pour se frotter à sa parole et à son jardin, roboratifs et luxuriants. Et lui, l’ancien délégué syndical, il leur dit : « Je préfère bouffer de la merde à plusieurs plutôt que de manger du bon tout seul ».</p>
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<strong>« Jikoo, la chose espérée »</strong></p>
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Christophe Leroy et Adrien Camus</p>
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Les habitants de Bakadadji, village situé dans un parc national du Sénégal, cherchent à se faire financer des clôtures pour défendre leurs champs des animaux protégés qui, d'année en année, ruinent leur récolte. Au fil de cette quête, ces agriculteurs revendiquent la reconnaissance d'un mode de vie rural auquel ils sont profondément attachés. Immergé dans le quotidien du village, ce film parle d'une rencontre qui n'aura pas lieu, et en creux, du regard que porte notre époque sur un monde paysan qui peine à faire entendre sa voix.</p>
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<strong>« Hôpital, attention : fragile »</strong></p>
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Thierry Kübler et Stéphanie Molez</p>
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Une docteure interniste, un chirurgien proctologue et un médecin urgentiste : en suivant ces trois personnages dans trois hôpitaux, « L’hôpital, vous et moi… » s’attache à capter le face à face singulier qui se noue avec leurs patients. Médecins physiquement épuisés, psychologiquement éprouvés par leurs conditions de travail ; patients oscillant entre soumission et défiance vis-à-vis du corps médical : en adoptant tantôt le point de vue du malade, tantôt celui du médecin, le film explore les ressentis et les non-dits qui tissent leurs relations. L’hôpital public assume encore ses missions, vaille que vaille, mais pour combien de temps encore ?</p>
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<strong>« A bout de bras »</strong></p>
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Ludovic Virot</p>
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Ce film propose un voyage dans le monde des personnes concernées par l’autisme. Il traite des difficultés, des souffrances qu’il engendre, mais aussi, des satisfactions et des éveils que procurent les victoires sur le handicap. Pour les personnes avec autisme, comment se faire accepter par la norme alors que « l’anormalité" isole ? Pour les personnes non-autistes, comment aller au-delà des apparences qui dérangent ? Comment s’approcher de cet univers dont les portes peuvent nous sembler fermées ? L’autisme nous oblige par ailleurs à interroger notre identité, depuis nos origines jusqu’à notre filiation. Aller à sa rencontre impose une vigilance, une humilité, une volonté d’éviter le sensationnel, le misérabilisme, et la nécessité de garder le coeur ouvert.</p>
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<strong>« Les docks de la radio – Un monde meurt »</strong></p>
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Fanny Germain</p>
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Les Puces de Saint-Ouen (banlieue nord de Paris).
Les Docks de la Radio est l'une des dernières boutiques en France où l'on vend et répare des caméras super 8, des platines, des postes TSF et des amplis à lampes.
Tandis qu’Arnold redonne vie à ces appareils obsolètes, Anita reçoit à son comptoir les habitués et les promeneurs du dimanche qui se laissent happer par ce décor envoûtant où le temps semble suspendu et où l’humain retrouve sa place.
On papote, on se plaint, on rit, on râle, on vit. Et l’on partage une même passion pour un monde qui s’éteint : le XXème siècle.</p>
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<strong>« Le COD et le coquelicot »</strong></p>
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Cécile Rousset et Jeanne Paturle</p>
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Dans une école primaire d'un quartier périphérique de Paris réputé difficile, où les équipes d'enseignants s'épuisent et se succèdent d'année en année, cinq jeunes maîtres sans expérience ont fait le pari de rester. Cinq ans après, ils nous parlent de leur quotidien dans ce lieu où ils tentent de construire, dans une alternance de découragement et de projet, une école comme les autres.</p>
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<strong>« Les champignons pourront-ils sauver le monde ? »</strong></p>
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Thomas Sipp et Anne Rizzo</p>
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Ni plantes, ni animaux, les champignons ont survécu aux grandes glaciations, aux vagues massives d'extinctions des espèces et à l'arrivée des premiers humains en développant une forme d'intellogence unique qui leur a permis de s'adapter aux conditions les plus extrêmes et de coloniser la plupart des milieux. Les champignons déploient aujourd'hui leurs filaments dans les laboratoires du monde entier où leurs talents prodigieux de bâtisseurs, ingénieurs réseaux, chimistes surdoués, inspirent les chercheurs. Certains rêvent déjà de détourner les étonnantes propriétés de ces organismes primitifs si sophistiqués qui pourraient apporter des solutions à des problèmes aussi brûlants que la pollution des ols, l'avancée des déserts ou encore la fragilité des réseaux de télécommunication.</p>
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<strong>« Ô papillons »</strong></p>
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Marie Daniel et Fabien Mazzocco</p>
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Si nous avions à peupler un monde imaginaire idéal, le choix serait embarrassant ! Mais nous y mettrions certainement les fleurs et les papillons !
Pourtant, dans notre monde bien réel, les papillons se meurent un peu plus chaque jour, particulièrement dans les zones humides, des territoires qui ont drastiquement régressés au siècle dernier.
En allant à la rencontre de forestiers et d'agriculteurs travaillant encore au contact de ces habitats si particuliers, nous découvrons peu à peu les liens qui unissent les hommes aux papillons.</p>
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<strong>« De l’eau dans le gasoil »</strong></p>
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Patrick Lefrère</p>
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De la vapeur d’eau pour économiser jusqu’à 40% de carburant et 70% d’émissions polluantes sur les moteurs de voitures, camions, bateaux ou machines industrielles? En ces temps d’urgence économique et environnementale, la perspective mérite le détour.</p>
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Armé d’une caméra et de sa seule curiosité, Patrick, citoyen anonyme et curieux, décide de sortir des sentiers battus pour enquêter sur l’efficacité de ce principe appelé « dopage à l’eau » qui a généré plusieurs brevets au cours de l’histoire de l’automobile.
Cette enquête en forme de road-movie nous emmène aux quatre coins de la France à la rencontre d’inventeurs anonymes, ingénieurs patentés ou spécialistes de l’énergie. Loin des projecteurs des media officiels, tous témoignent de leur expérience personnelle ou collective et nous ouvrent les portes d’un univers aussi passionnant que déroutant où créativité, pragmatisme et intuition nourrissent un génie humain bouillonnant d’enthousiasme.
Pour ce documentaire, nous embarquons à bord de la fidèle BX du narrateur, guimbarde increvable, largement has been mais pas encore vintage qui résiste encore et toujours à la pression croissante de la voiture jetable.
Au fil des kilomètres apparaît un questionnement plus large sur la place de l’automobile dans notre société et la manière dont elle influence notre rapport au monde.
Vous l’aurez compris, ce projet est aussi une tentative d’incursion à contresens d’un modèle de prêt-à-penser qui organise de plus en plus clairement la dépendance technologique d’êtres humains réduits à de simples consommateurs.
Malgré les effets délétères du dogme de l’argent-roi qui sape chaque jour un peu plus le présent et l’avenir du monde, notre film entend susciter avec d’autres une réflexion collective pour une société plus raisonnable.</p>
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<strong>« Perdus entre deux rives. Les Chibanis oubliés »</strong></p>
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Rachid Oujdi</p>
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Ils s’appellent Abdallah, Ahmou, Mohamed, Ramdane, Salah, Sebti, Tahar.
Ils sont venus d’Algérie, entre 1951 et 1971, seuls, pour travailler en France. Ils prévoyaient, un jour, de repartir au Pays.
Les années se sont écoulées, ils sont maintenant retraités. Ils sont toujours là.
Ils ont migré d’une rive à l’autre de la méditerranée sans mesurer vraiment la rupture que cela allait provoquer. Pas complètement d’ici, plus vraiment de là-bas, après une vie professionnelle décousue, une vie familiale déchirée, ils viennent finir leurs vieux jours à Marseille, seuls. D’ici, le pays natal n’est pas loin, la nostalgie disparait peu à peu.
A travers leurs témoignages, on comprend pourquoi «le retour au Bled» n’a pas pu se faire comme ils l’avaient, initialement, prévu. Filmés avec douceur et tendresse, ces Chibanis sont à la fois lumineux et beaux, drôles et attachants.</p>
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<strong><img alt="Ecollywood_projection" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/109344/Ecollywood_projection.JPG"></strong></p>
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<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=http%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F77604815&wmode=opaque&src_secure=1&url=http%3A%2F%2Fvimeo.com%2F77604815&image=http%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F452823966_1280.jpg&key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&type=text%2Fhtml&schema=vimeo" width="540"></iframe></p>
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À quoi servira la collecte
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Notre cher partenaire Nord Imprim, Imprimerie écologiste, ne peut plus nous soutenir cette année, et nous les remercions d'avoir pu le faire pendant les 4 années précédentes du festival.</p>
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Nous réduisons nos frais de communication au maximum, mais le festival a besoin de son catalogue afin de présenter une programmation claire et accessible pour notre public, nos partenaires, nos bénévoles.</p>
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Un catalogue et des affiches sont très importants pour communiquer sur le festival et mobiliser notre public.</p>
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Aussi, l'argent collecté permettra de payer les frais d'impression, qui valent 1500€.</p>
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Cette année, nous passons d'un catalogue 32 pages, (qui coûtait 970€) à un catalogue 16 pages, à 640€ de frais d'impression. Nous ne ferons plus de grandes affiches, elles nous coûtaient 300€ d'impression et le format n'était pas facile à utiliser, de part leur taille (60/99 cm).</p>
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Les petites affiches (35/50 cm) vont nous coûter 250€</p>
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100€ seront nécessaires pour imprimer des documents A5 pour communiquer de manière spécifique sur certains films.</p>
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Enfin, les 510 € restants vont nous servir à payer nos graphistes, qui travaillent sur le visuel du festival et sur la mise en page du catalogue.</p>
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Toutes les impressions seront certifiées FSC et PEFC (labels d'impressions écologiques).</p>
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Pour nous permettre de faire une communication complète et efficace, notre budget idéal serait de 2000€. Avec 500€ de plus, nous pourrions imprimer des grandes affiches, et imprimer d'avantage de flyers A5 pour communiquer sur le festival.</p>
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Cette collecte permettra à notre festival de s'assurer une bonne visibilité sur la ville de Lille!<img alt="Dscf5722" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/109348/DSCF5722.JPG"></p>
Contreparties
5 €
Ton nom sur l'écran de L'Univers à la fin des projections/ ou du festival
Livraison estimée : octobre 2014
10 €
Un bagde et une affiche collector au choix du festival
Livraison estimée : septembre 2014
20 €
Contrepartie précédente + une entrée pour une projection
Livraison estimée : octobre 2014
30 €
1 entrée pour une projection + 1 repas sur une soirée du festival
Livraison estimée : octobre 2014
40 €
Ton nom sur le teaser du festival + un badge et une affiche collector au choix du festival
Livraison estimée : septembre 2014
50 €
Un pass pour une journée sur le festival + un badge et une affiche collector au choix du festival
Livraison estimée : octobre 2014
80 €
Un pack DVD du Festival, + un badge et une affiche collector au choix du festival
Livraison estimée : octobre 2014
100 €
Un pack DVD du Festival, + un accès "backstage" pour une soirée.
Tu pourras venir prendre un repas avec toute l'équipe des Funambulants, les bénévoles, et les réalisateurs!
Livraison estimée : octobre 2014
150 €
Un pack DVD du Festival + un accès "backstage" pour une soirée avec une personne de ton choix.
Tu pourras venir prendre un repas avec toute l'équipe des Funambulants, les bénévoles, et les réalisateurs!
Livraison estimée : octobre 2014