L'oeil ébloui éditions

<p>  </p> <p> " <em>Un texte, pour nous marquer, a besoin d’un support qui ait une réalité concrète avec une couleur, un poids, une odeur, de la même manière que l’intelligence et l’esprit nécessitent un corps qui leur permette de se manifester.</em>" [Colette Lambrichs, <em>Manifeste pour l’édition et la librairie indépendante</em>]</p> <p>  </p> <p> Je fais le pari de dire qu’il n’y a pas trop de livres, le pari de son utilité, sa nécessité, même envisagé différemment dans la chaîne du livre (pas de diffuseur ni de distributeur).</p> <p>  </p> <p> Quinze ans après créé une maison d’édition associative (<em>L’escarbille</em>), je me lance dans une suite plus personnelle.</p> <p> Je connais des auteurs, j’aime ce qu’ils font et suis persuadé qu’ils méritent d’être lus.</p> <p> J’aime la littérature et pense que certains textes un peu oubliés méritent une réédition.</p> <p> J’aime les images, elles auront leur place dans les pages qui seront publiées.</p> <p> J’aime aussi la belle ouvrage : j’y accorderai une importance presque maladive…</p> <p>  </p> <p> Pour ces raisons, <strong>j’ai bâti, très librement,<em> L’œil ébloui</em></strong>. Proposer des livres-objets, des albums littéraires qui visent, à travers les mots et les images, à rendre le lecteur plus rêveur, autrement dit plus vivant.</p> <p>  </p> <p> J'ai mis deux ans à préparer le projet. Le site est créé depuis avril, venez le visiter : <a href="http://www.loeilebloui.fr" target="_blank">www.loeilebloui.fr</a></p> <p> Les 3 premiers ouvrages, eux, sortent début juillet. Ci-dessous un léger aperçu.</p> <p>  </p> <p> <em><strong>La marelle</strong></em>, de Marie-Hélène Bahain.</p> <p> Une année dans la peau d'une petite fille de 5 ans. Un récit plein de tendresse pour le 7e roman de l'auteure.</p> <p>           <img alt="La_marelle_marie-h_l_ne_bahain_avec_cadre" height="300" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/29480/la_marelle_marie-h_l_ne_bahain_avec_cadre.jpg" width="190"></p> <p>          </p> <p>                     </p> <p>  </p> <p> <em><strong>Le flacon</strong></em>, de Jean-Paul Andrieux. Quelques mois avant la première guerre mondiale, dans un salon parisien, fin d'un monde et une passion secrète autour d'un parfum.</p> <p>            </p> <p>            <img alt="Le_flacon_jean-paul_andrieux_avec_cadre" height="305" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/29481/le_flacon_jean-paul_andrieux_avec_cadre.jpg" width="191"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>Les maritimes</strong></em>, que je me permets de publier moi-même. Autour de paysages de mer, mon intimité poétique.</p> <p>            </p> <p>           <img alt="Les_maritimes_thierry_bodin-hullin_avec_cadre" height="300" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/29482/les_maritimes_thierry_bodin-hullin_avec_cadre.jpg" width="191"></p> <p>  </p> <p> "<em>Être éditeur, c’est d’abord manifester un vouloir-faire associé à un vouloir-rêver. C’est aussi parfois un savoir-survivre.</em>" [Hubert Nuyssen, <em>La sagesse de l’éditeur</em>]</p>