La Leçon - Une Expérience du pouvoir de l'image

Soutenez la Création de "La leçon" d'Eugène Ionesco. Un casting, une leçon, une expérience du pouvoir de l'image.

Visuel du projet La Leçon - Une Expérience du pouvoir de l'image
Réussi
28
Contributions
10/11/2017
Date de fin
1 240 €
Sur 1 200 €
103 %

La Leçon - Une Expérience du pouvoir de l'image

<p><strong>LE PROJET</strong></p><p> </p><p><strong><em>La Leçon</em></strong>, d'<strong>Eugène Ionesco</strong>, mis en scène par <strong>Sylvain Eymard</strong>, est le prochain projet de création de la <strong>Cie L'Exploitation Théâtre</strong>, compagnie de la région PACA, dont le siège est à Aix-en-Provence.</p><p>Les temps sont durs pour le spectacle, question finances... ! Mais nous avons à cœur de défendre ce projet sensible et pertinent dans l'époque actuelle.</p><p>En effet, nous avons fait le choix de déplacer le propos de la pièce, tout en gardant le texte initial, pour faire écho à la société de l'image. Cette fable symbolique, absurde et drôle, prend toute sa place dans une installation cruelle qui touche à l'univers de l'image, de sa fabrication, caractéristique des fantasmes de la société... et leur emprise sur les jeunes générations.</p><p>C'est pourquoi, après les premières dates de création au <strong>Théâtre les Argonautes</strong> à Marseille les <strong>16, 17 et 18 novembre prochains</strong>, ainsi qu'à l'<strong>Espace Jeunesse Bellegarde</strong> à Aix-en-Provence <strong>le 30 novembre</strong>, nous adresserons ce spectacle à tous les publics, en gardant un lien fort avec les établissements scolaires (lycées) pour des tournées prévues en région en 2018-2019. Ce spectacle sera une invitation à une discussion avec les jeunes autour de leur pratique de l'image, leur positionnement face à une société noyée de technologies qui s'enferme dans un spectacle permanent..</p><p> </p><p><img alt="Capture_d_e_cran_2017-09-17_a__11.03.25-1507493374" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/456590/Capture_d_e_cran_2017-09-17_a__11.03.25-1507493374.png"></p><p> </p><p><strong>LA LEÇON : RÉSUMÉ</strong></p><p> </p><p>Une jeune élève enthousiaste et naïve se rend à un cours particulier, se retrouve face à un professeur dément et manipulateur, qui exercera son pouvoir sur ce jeune esprit jusqu’à le détruire littéralement.</p><p> </p><p><img alt="22815623_10210543009359083_1437198569197959883_n-1509704534" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/463402/22815623_10210543009359083_1437198569197959883_n-1509704534.jpg"></p><p> </p><p><strong>LE CHOIX DE MISE EN SCÈNE </strong></p><p> </p><p>Là où, dans le texte initial, le langage était une « arme d'endoctrinement massive », nous le couplerons ici à la puissance et la perversité des images.</p><p>Le choix de cette pièce aux allures de farce sombre, grinçante et violente, nous ouvre alors les portes d’une mise en scène outrancière : transformations physiques des acteurs, cascades et utilisation des outils actuels: montage vidéo, musique live… Les changements de lumières modèleront l'image, afin de conditionner le spectateur dans son émotion et son ressenti, par des mécanismes qui pourraient s'assimiler à ceux de la publicité, des films à grand succès, des feuilletons américains... Pris au piège d'une saturation visuelle, il est incité à prendre de la distance, à s'extraire du visible, pour porter un autre regard et entrevoir l'image de son emprisonnement.</p><p> </p><p><strong>DECOR, COSTUMES, ACCESSOIRES...</strong></p><p> </p><p><img alt="Photo_1_reduit-1506589491" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/454153/photo_1_reduit-1506589491.png"> <img alt="Photo_2_reduit-1506589501" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/454154/photo_2_reduit-1506589501.png"></p><p> </p><p>Nous sommes dans une fabrique de l'image. Cela pourrait être un casting, organisé de façon précaire dans une cave ou une salle polyvalente délaissée.</p><p>Matériel de studio "cheap" : un kit de studio pour photographe ou vidéaste amateur, une table en plastique type traiteur de mariage, des accessoires rangés dans une caisse en plastique... </p><p>La scène évoque tout d'abord l'image d'un meurtre, avant de se transformer successivement grâce au vocabulaire déployé, uniquement constitué des lampes de studio, de la table et des fonds blancs et verts. L'évocation du cinéma d'effet spéciaux nous renvoie à l'abstraction généralisée, illustrée dans le texte au moment de la leçon de mathématiques. Les contenus des mots, comme ceux des images, sont brouillés ou absents... à l'image de ces fonds qui ont valeurs de truchements perpétuels.</p><p>L'espace de la Bonne, en vidéaste amateur et complice de l'installation, est  constitué d'une table de montage vidéo avec plusieurs écrans. On distingue à peine l'image qui est captée en live. On perçoit cependant le détournement qu'elle en fait pour utilisation personnelle. La caméra, véritable moteur du jeu des acteurs, deviendra de plus en plus intrusive, jusqu'à se métamorphoser peut-être en caméra endoscopique.</p><p>Cette Bonne et ce Professeur ont un statut flou qui peine à s'affirmer. Par le déguisement, l'essayage de plusieurs vestes, etc... ils endossent peu à peu leur rôle, à mi-chemin entre jeunes entrepreneurs du multimédia, acteurs et passeurs de savoir... C'est cette hybridation de rôle qui finira par noyer l'élève venue chercher la gloire de l'image. Dans l’excitation du jeu qui lui est proposé, elle aussi s'emploiera à dévoiler différents costumes excentriques, reflets des fantasmes de la société du spectacle...</p><p> </p><p><strong>L'EQUIPE ARTISTIQUE</strong></p><p> </p><p><strong>Sylvain Eymard, metteur en scène. Rôle de la Bonne </strong><em>(en alternance)</em><strong>.</strong></p><p> </p><p><img alt="Visage_sylvain-1507188180-1507493139" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/456585/Visage_Sylvain-1507188180-1507493139.png"></p><p> </p><p><strong>Sylvain Eymard</strong> rencontre le théâtre par hasard, lors de sa douzième année, il ne le lâchera plus. A 18 ans, il entre au conservatoire de Toulon, sous la direction de <strong>Alain Terra</strong> qui lui communiquera son amour des mots. Un an après c’est le coup de foudre artistique, il rencontre <strong>Christian Benedetti</strong> et intègre le <strong>Conservatoire Régional de Marseille</strong> ; pendant trois ans il va se nourrir de son enseignement, et prendre conscience que la mise en question est permanente dans l’art. A 30 ans, il obtient une <strong>Licence de Théâtre</strong>. </p><p>Amoureux du « texte », il s’intéresse aux auteurs contemporains : <strong>Edward Bond, Sarah Kane, Biljana Srbjlanovic, Bernard Marie Koltès, Louis Calaferte, Joël Pommerat, Ivan Viripaev</strong>… Il garde aussi une grande tendresse pour les classiques <strong>Molière, Shakespeare, Racine, Tchekhov, Brecht, Beckett</strong>… </p><p>Sylvain Eymard s’épanouit dans sa vie d’acteur et de metteur en scène au sein de la <strong>Compagnie l’Exploitation</strong>. Il participe aux créations de <em><strong>Rouge, Noir et Ignorant</strong></em> d'<strong>Edward Bond </strong><em>(metteur en scène et acteur)</em>, <em><strong>Puzzle</strong></em> de <strong>Jesshuan Diné </strong><em>(Acteur)</em>, <em><strong>Lorenzaccio</strong></em> d'<strong>Alfred de Musset (</strong><em>Acteur, assistant et scénographe).</em><strong> </strong>Parallèlement, il est intervenant et metteur en scène au sein d’un festival de théâtre en milieu rural, le <em><strong>Mai théâtral</strong></em> (83-Villecroze), véritable laboratoire qui lui permet de travailler sur les textes des auteurs qu'il affectionne et de présenter des œuvres qui lui tiennent à cœur.</p><p><strong>Sylvain Eymard</strong> est un artiste polyvalent (acteur, metteur en scène...), qui aime le travail et la vie de compagnie.</p><p> </p><p><strong>Jesshuan Diné, assistant metteur en scène, scénographe. Rôle de La Bonne </strong><em>(en alternance)</em><strong>.</strong></p><p> </p><p><img alt="Visage_jesshuan-1507188411-1507493190" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/456586/Visage_Jesshuan-1507188411-1507493190.png"></p><p> </p><p>Comédien, il traverse différents ateliers théâtre.<strong> </strong>Il travaille avec <strong>Pascale Vardanega</strong>, <strong>Sylvain Eymard</strong>, c'est avec ce dernier qu'il fondera plus tard la compagnie.</p><p>En 2007, il quitte ses études de Mathématiques et Physique (Math Sup/ Math Spé au Lycée Thiers de Marseille), et décide de consacrer sa vie au théâtre.</p><p>Jesshuan se passionne tout d'abord pour l’œuvre d'<strong>Edward Bond </strong>et travaille en tant que comédien dans <em><strong>Onze Débardeurs </strong></em>puis dans <em><strong>Rouge, Noir et Ignorant </strong></em>(il est également dramaturge et co-metteur en scène du projet).</p><p>À partir de l'année 2013, il entreprend de porter à la scène ses propres textes. Tout d'abord, <em><strong>Puzzle</strong></em>, spectacle découpé, agglomérat de résidus recrachés par la société du spectacle, qui envahissent l'espace théâtral. Puis <em><strong>Surface(s)</strong></em>, qui raconte le quotidien d'un employé d'administration, évoquant les moments noirs de l'Histoire. Pour ce projet, il renoue avec le dessin et compose un film en storyboard animé tiré de la pièce.</p><p>En 2014, il monte <em><strong>Lorenzaccio</strong></em>, d'Alfred de Musset, avec la compagnie.</p><p>Récemment, il collabore avec le metteur en scène <strong>Alain Behar</strong> (<strong>Cie Quasi</strong>) pour la création <em><strong>Les Vagabondes</strong></em>. (Création prévue en mars 2017 au <strong>CDN HtH </strong>de Montpellier.)</p><p>Il s'intéresse par ailleurs à l'écriture de <strong>Martin Crimp</strong>, et lit <em><strong>La Pièce</strong></em>, au Théâtre du <strong>Bois de l'Aune</strong>, dans le cadre des <em>Rebonds</em>, en octobre 2016, dans la perspective d'une mise en scène prochaine. Il accompagne également de jeunes comédiens dans leur cursus de formation. Il intervient notamment comme metteur en scène associé à l'option théâtre des lycées Sacré-Coeur et Sainte-Catherine de Sienne d'Aix-en-Provence.</p><p> </p><p><strong>Jean-Baptiste Marlot, comédien. Rôle du Professeur.</strong></p><p> </p><p><img alt="Visage_babou-1507188619-1507493227" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/456588/Visage_Babou-1507188619-1507493227.png"></p><p> </p><p>Jean-Baptiste est un passionné, amoureux du voyage, des rencontres, du mouvement.</p><p>En 1995, il troque le lycée contre le <strong>Conservatoire de Nîmes</strong> puis intègre celui de <strong>Marseille</strong> en 1997 jusqu'en 2000 sous l'enseignement de <strong>Christian Bennedetti</strong>. Il travaille sur<strong> Bond, Tchekov, Buchner, Racine</strong>... </p><p>En 1999, il rencontre le metteur en scène marseillais <strong>Franck Dimech</strong>. Il se voit offrir son premier grand rôle dans une pièce d'<strong>Edward Bond</strong> où il interprète le rôle principal, celui de Scopey, dans <em><strong>Les noces du pape</strong></em>. </p><p>Il découvre l'écriture de <strong>Sarah Kane</strong> en 2000 et décide avec deux amis, dont <strong>Jean-Philippe Ricci</strong>, de monter Anéantis ; <strong>Christian Bennedetti, </strong>qui est alors leur maitre de conservatoire, rejoint le projet et signe la mise en scène. Ils se produisent<strong> </strong>à Nanterre au <strong>Théâtre des Amandiers</strong> puis au <strong>Théâtre Studio d'Alfortville</strong>. Il finit par intégrer la compagnie de <strong>Christian Bennedetti</strong> en 2001. </p><p>Puis les projets s’enchaînent entre Paris et Marseille : <em><strong>L'échange</strong></em> de <strong>Claudel</strong> mis en scène par <strong>Franck Dimech</strong>, <em><strong>Les Naufragés</strong></em> de <strong>Patrick Declerc</strong>, <em><strong>Salat al-janaza</strong></em> de <strong>Fabrice Melquiot</strong>, <em><strong>PitBull</strong></em> de <strong>Lionel Spicher</strong>... </p><p>Quelques expériences audiovisuelles et cinématographiques, un groupe de rock créé sur Paris.... </p><p>Ensuite il décide de quitter Paris pour retrouver la taille de pierre, son premier métier. Il quitte enfin la France pour l'Angleterre en 2008 où il séjourne quelques années avant de partir pour l'Asie, puis le Mexique... </p><p>C'est donc après cinq années passées à l'étranger qu'il revient, riche de deux nouvelles langues et de nombreuses expériences pour se rendre à nouveau disponible au métier de comédien.</p><p> </p><p><strong>Sophie Troise, comédienne. Rôle de l'élève.</strong></p><p> </p><p><img alt="Visage_sophie_2-1507188837-1507493260" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/456589/Visage_Sophie_2-1507188837-1507493260.png"></p><p> </p><p>Au théâtre, elle a joué à Marseille, notamment au <strong>Théâtre du merlan </strong>dans <em><strong>Les bonnes</strong></em>, mise en scène de <strong>Danielle de Cesare,</strong> mais aussi dans <em><strong>Le Prophète</strong></em>, <em><strong>Tartuffe</strong></em><em> </em>et <em><strong>La cantatrice chauve</strong></em><em>.</em></p><p>A Paris, on a pu la voir dans <em><strong>Barbe bleue</strong></em>, mise en scène de <strong>Patrick Martinez Bournat,</strong> au <strong>Théâtre de la plaine</strong> et au <strong>Théâtre du funambule</strong>.</p><p>En tournée en France et en Italie, avec le spectacle <em><strong>« Les aventures d'Arsène Lupin »</strong></em>, où elle rencontre <strong>Ned Grujic</strong>.</p><p>En 2007, elle intègre <em><strong>la compagnie l'Envers des corps, </strong></em>lauréate du prix Paris jeunes talents, et joue dans <em><strong>J'ai plus pied,</strong></em> à l'Espace Cardin, mise en scène <strong>Elsa Granat </strong>; spectacle qui sera joué jusqu'en 2010. Puis elle participe au <em><strong>projet H </strong></em>au <strong>Théâtre les enfants terribles</strong>, mise en scène d'<strong>Olivier Benaddi. </strong>Elle enchaîne avec <em><strong>A l'envers</strong></em> une comédie de <strong>Jean Franco</strong> au <strong>Théâtre des feux de la rampe</strong>. Dernièrement, Sophie jouait dans <em><strong>Une femme seule</strong></em> de <strong>Dario Fo</strong>, sous la direction de <strong>Mathieu Boulet. </strong></p><p>Elle est également porteuse du projet <em><strong>Les héroïnes modernes, </strong></em>atelier de pratique et de création théâtral, avec les femmes du 19° arrondissement de Paris en situation de vulnérabilité ; projet soutenu par le Théâtre Paris Villette.</p><p> </p><p><strong>PROCHAINES REPRÉSENTATIONS :</strong></p><p> </p><p>- <strong>Théâtre des Argonautes</strong> (33 Bd. Longchamps 13001 Marseille) Du 16 au 19 novembre. <a target="_blank" href="http://theatrelesargonautes.fr/la-lecon-ionesco-exploitation-theatre/">http://theatrelesargonautes.fr/la-lecon-ionesco-exploitation-theatre/</a></p><p> </p><p>- <strong>Espace Jeunesse Bellegarde</strong> (37 Bd. Aristide Briand 13100 Aix-en-Provence) Le 30 Novembre à 14h et 19h. Réservation : 07 61 17 98 80</p>

À quoi servira la collecte

<p>L'association "L'Exploit"  percevra la totalité de la collecte.</p><p>Cette collecte servira essentiellement à financer :</p><p>- <strong>Les frais de scénographie : </strong>Le décor (lampes kit studio, portant pour vêtement, écrans, table pliante, fauteuil sur roulette, tabouret vis...) costumes (tailleur, vestes, déguisements, combinaison vinyle, perruques), accessoires... <strong>Part de financement :</strong> <strong>500€</strong></p><p>-<strong> Les frais engagés lors des répétitions</strong> (transports, repas,, locations de salle pour les répétitions). <strong>Part de financement :</strong> <strong>400€</strong></p><p>- <strong>Les frais de communication</strong> (affiches, site internet) <strong>Part de financement :</strong> <strong>300€</strong></p><p><strong>En cas de dépassement du plafond de la collecte</strong>, l'association "l'exploit" investira dans l'achat d'une moquette verte qui délimitera l'espace de jeu, pour les représentations futures dans les établissements scolaires. <strong>(300€)</strong></p><p> </p>

Contreparties

5 €

  • 3 contributions
Votre prénom et nom inscrits dans les remerciements sur la feuille de salle de toutes représentations de novembre, ainsi que sur le site internet !

Livraison estimée : novembre 2017

10 €

  • 2 contributions
La contrepartie précédente + 1 affiche du spectacle dédicacée par les artistes sur scène !

Livraison estimée : novembre 2017

15 €

  • 6 contributions
Les contreparties précédentes + 1 teaser dédicacé "Merci (prénom + nom) " à partager sur les réseaux sociaux

Livraison estimée : novembre 2017

25 €

  • 4 contributions
Les contreparties précédentes + Invitation pour 1 personne pour la représentation publique du 30 novembre 2017, à l'Espace Jeunesse Bellegarde (Aix en provence).

Livraison estimée : novembre 2017

50 €

  • 4 contributions
Invitation pour 2 personnes pour la représentation publique du 30 novembre 2017, à l'Espace Jeunesse Bellegarde (Aix en provence). + affiche dédicacée par les artistes sur scène avec marques de rouge à lèvres exclusives !

Livraison estimée : novembre 2017

100 €

    Les contreparties précédentes (remerciements, invitation pour 2, affiche...) + Assister à une journée de répétition de "La Leçon", au théâtre des Argonautes, Entre le 13 et le 15 novembre 2017 de 14 heure à 17 heure + un coup à boire avec les artistes !

    Livraison estimée : novembre 2017

    200 €

      Les contreparties précédentes (remerciements, affiche dédicacée, invitation pour 2, répétition...) + la création d'un teaser de promotion du spectacle avec vous en vedette !

      Livraison estimée : novembre 2017

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      Épuisé

      Épuisé

      80 €

      • 4 contributions
      Les contreparties précédentes (remerciements, invitation pour 2, affiche...) + Assister à une journée de répétition de "La Leçon", au théâtre des Argonautes, Entre le 13 et le 15 novembre 2017 de 14 heure à 17 heure.

      Livraison estimée : novembre 2017