La société des loisirs

<p><strong>L'HISTOIRE FOLLE D'UN PROJET PHOENIX</strong></p> <p> </p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/762586sucettecactus1184060504.jpg" alt="" width="275" height="275"></p> <p> </p> <p>La Société des loisirs est une comédie de moeurs de François Archambault qui m'a passionnée dès 2005.</p> <p> </p> <p>J'ai adapté ce texte en "français de France" avec le soutien de l'auteur puis je l'ai monté et présenté avec mes comédiens deux fois sur scène et en lecture mise en espace.</p> <p> </p> <p>En 2007, à l'aube d'une production professionnelle, un grand théâtre parisien a brigué les droits...et n'en a rien fait pendant 3 ans!!! me déboutant de mon projet!!! </p> <p> </p> <p>J'ai rongé mon frein, patienté dans l'ombre de voir "MA"pièce présentée dans ce lieu mythique, mi-désolée mi-curieuse. Puis telle soeur Anne ne voyant rien venir j'ai recontacté l'auteur et son agent en janvier dernier.  Ils m'ont fait part de leur déception de n'avoir eu acune nouvelle du projet et renouvellé leur confiance en mon enthousiasme qui malgré les difficultés n'avait jamais faibli en m'accordant l'exculsivité de la pièce face au théâtre en question.</p> <p> </p> <p>Aujourd'hui si vous souhaitez partager ma joie d'avoir récupéré L'EXCLUSIVITÉ de "mon bébé", aidez moi à réunir des fonds pour participer au prochain festival d'Avignon(2012)en vue d'une grande tournée pour faire connaître dans notre pays cette pièce et cet auteur inédit en France mais acclamé au Canada! </p> <p> </p> <p>Pour la victoire des petits théâtres sur les grands, pour François Archambault, pour mes comédiens ultra-motivés et pour moi: DONNEZ!!!!</p> <p> </p> <p><strong>LA PIÈCE</strong></p> <p> </p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/194390257610180347429181586623069300533082047672n.jpg" alt="" width="550" height="400"></p> <p> </p> <p> </p> <p>Pierre-Marc et Marie-Pierre, nouveaux parents dépassés, dont le désir sexuel est en panne sèche, cherchent désespérément à remettre du bonheur dans leur vie.</p> <p> </p> <p>Des résolutions sont prises: ils cesseront de boire, cesseront de fumer, et surtout, ils feront un peu de ménage dans leurs fréquentations. </p> <p> </p> <p>Ils invitent donc leur ami Marc-Antoine à ce qui devrait être un dîner d’adieu...  mais ce dernier débarque avec une caisse de bonnes bouteilles de vin et son “amie plus”, une jolie jeune fille de 21 ans qui, sans le faire exprès, déclenche les pleurs du bébé.</p> <p> </p> <p><strong>L’AUTEUR</strong></p> <p><strong><br></strong></p> <p><img src="http://www.radio-canada.ca/radio/imagesDocuments/81412.jpg" alt="" width="480" height="270"></p> <p> </p> <p>François Archambault est diplômé en écriture dramatique de l’École Nationale de théâtre du Canada. </p> <p> </p> <p>Il s’est fait connaître du public avec sa pièce <strong>Cul sec</strong>, présentée initialement par les élèves sortants de l’École Nationale, puis reprise par le Théâtre PàP en 1995. </p> <p> </p> <p>Il poursuit son travail avec, entre autres, <strong>Si la tendance se maintient</strong> et <strong>Les Gagnants</strong> dont il signe également les mises en scène.</p> <p> </p> <p>En 1998, il reçoit le Prix du Gouverneur général pour le texte théâtral <strong>15 secondes</strong>, un spectacle qui vaudra à l’équipe de la production le Masque (équivalent des Molières au Canada) de la meilleure production de théâtre privé.  Ce texte sera traduit en anglais, en allemand et en italien.  Une autre de ses pièces, <strong>Adieu beauté</strong>, remportait la même année le « Masque de la production régions ».  Il a écrit depuis, <strong>C’est devenu gros</strong>, en collaboration avec Marie-Hélène Thibault, <strong>La nostalgie du paradis</strong> et  <strong>Code 99</strong> qui a été finaliste au Prix du Gouverneur général en 2001. </p> <p> </p> <p>La première représentation publique d’une version de <strong>La société des Loisirs</strong> a eu lieu le 4 mars 2003 au théâtre de la Licorne à Montréal.  La pièce a ensuite reçu le « Masque du texte original » (2003) et celui de l’interprétation masculine pour Christian Bégin (2004).   Reprise à guichet fermé à Montréal en 2005, la pièce, traduite en anglais (<strong>The Leisure Society</strong>), poursuivait toujours en 2006 sa tournée à travers le Québec et le Canada tout entier (Clagary, Toronto, Vancouver…)</p> <p> </p> <p>François Archambault est l'auteur d'une douzaine de pièces de théâtre et est membre de plusieurs collectifs d'auteurs.  Il est également scénariste : la deuxième saison de sa série <strong>Les étoiles filantes</strong> a été présentée à l’automne dernier sur la chaîne Radio-Canada.</p> <p> </p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/328943257610180367829691586623069300533181979042n.jpg" alt="" width="550" height="356"></p> <p> </p> <p><strong>MISE EN SCÈNE</strong></p> <p> </p> <p><strong>Point de départ : une expression sociale </strong></p> <p> </p> <p>Lorsque j’ai lu et vu La Société des loisirs pour la première fois, lors de sa création à Québec, ce fut pour moi, plus que la rencontre avec un auteur et un texte, un choc social. </p> <p> </p> <p>L’expression contenue dans le titre est une promesse sociale faite dans les années 80 aux futurs trentenaires québécois des années 2000.  Elle leur promettait qu’avec l’avancée grandissante des technologies, ils vieilliraient dans une société où tout serait plus facile, plus accessible et plus ludique que pour les générations passées.  Bercés par cette utopie, les personnages de la pièce se retrouvent en fait confrontés à un monde où l’émancipation et le “jeunisme” apportent de l’eau au moulin de la société de consommation et où les biens matériels, le travail et le sexe deviennent des valeurs sûres.  Hédonistes et égocentriques, des “adulescents” tels que Marie-Pierre, Pierre-Marc et Marc-Antoine cherchent à se rassurer face à une vie de plus en plus vide.  Quelle désillusion !</p> <p> </p> <p><strong>De « La Société… » à la mise en scène</strong></p> <p> </p> <p>Ce qui m’a intéressé alors, c’est de partir du général pour aller au particulier, à l’infime.  Démarrer de cette constatation sociale et m’attacher à la rendre lisible pour le spectateur grâce aux caractères des personnages et au texte de François Archambault.  Cette écriture noire et sarcastique qui prend « le parti d’en rire » à des moments de tension extrême, traite de sujets difficiles comme l’adoption, l’avortement, la désintégration du couple et sa misère affective et sexuelle.  Pour autant, et même s’il est difficile de qualifier une œuvre quelle qu’elle soit, cette pièce tient plus de la comédie grinçante ou de mœurs que du drame social.  La Société des loisirs est avant tout un spectacle drôle, en forme de règlement de compte, une comédie douce-amère à l’instar des grandes pièces du duo Jaoui-Bacri qui m’a toujours inspiré.</p> <p> </p> <p>Avant toute chose, c’est le quotidien pathétique de ces personnages qui m’a passionné.  Ce sont des« héros ordinaires » qui bataillent avec leurs problèmes, leurs vies, leurs envies et leurs désirs qui sont un peu les nôtres.  Il ne s’agit donc pas de les montrer du doigt ou de les critiquer mais de donner à voir le spectacle d’une tranche de vie.  À quoi sert le théâtre sinon à montrer les qualités et les défauts de l’humanité ?</p> <p> </p> <p>Qu’il est cathartique de contempler à loisir les travers de notre société !</p> <p> </p> <p><strong>Adapter un texte francophone</strong></p> <p> </p> <p> Cette pièce parle de femmes et d’hommes d’aujourd’hui, qu’ils soient québécois ou français et ce sont leurs ressemblances qui m’ont donné envie d’adapter et de monter ce texte. </p> <p> </p> <p>Le travail sur la langue québécoise a été capital pour moi.  Les inflexions de l’accent et de l’ « argot » québécois imposaient un rythme bien particulier à la pièce qu’il me fallait à tout prix respecter dans mon adaptation en français.  La Société des loisirs en « français de France » a subi de nombreuses réécritures avant d’approcher la qualité initiale du texte de François Archambault.</p> <p> </p> <p><strong>Des comédiens symboles d’une génération</strong></p> <p> </p> <p>J’ai fait le choix de mettre en scène des acteurs plus jeunes que les rôles qui étaient initialement prévus dans la pièce.  Je pense que la situation de crise vécue par les protagonistes de La Société des loisirs intervient de plus en plus tôt dans la construction des jeunes adultes d’aujourd’hui. J’ai souhaité que ce constat pessimiste de reproduction des erreurs donne à réfléchir et amène chacun à se questionner sur ses choix de vie. </p> <p> </p> <p>Cette pièce résolument contemporaine est incarnée de manière très réaliste par de jeunes comédiens concernés par les problèmes de société qu’ils évoquent.  La qualité de jeu naturaliste des acteurs offre avec fragilité et sensibilité, un instantané du quotidien des personnages.  Ici, des femmes et des hommes parlent à d’autres femmes et d’autres hommes…  Il s’agit de montrer un moment de vie auquel le spectateur peut s’identifier ou rejeter à loisir.</p> <p> </p> <p> </p> <p><br><br>           <img src="http://img11.hostingpics.net/pics/757147257610180321028521586623069300532861459519n.jpg" alt="" width="210" height="336">          <img src="http://img11.hostingpics.net/pics/435296257610180358629461586623069300533134363037n.jpg" alt="" width="210" height="336"></p> <p> </p> <p><strong>SCÉNOGRAPHIE</strong></p> <p> </p> <p><strong><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/543949IMG4871.jpg" alt="" width="550" height="412,5"><br></strong></p> <p> </p> <p> </p> <p>Tout se passe chez Marie-Pierre et Pierre-Marc, jeunes cadres dynamiques et parents depuis peu.  La mise en scène suggère donc leur appartement très « tendance ».</p> <p> </p> <p>J’ai voulu que la scénographie en dise long sur les personnages : rien ne signale la présence d’un bébé dans la maison hormis le baby-phone, vecteur mécanique du lien parents/enfant. </p> <p> </p> <p>J’ai souhaité que l’espace soit ouvert et aéré à la manière d’un loft où le mobilier est quasiment absent, seul un divan et une table basse aux lignes épurées représentent le salon.   Cette simplicité permet au spectateur de rentrer immédiatement dans l’intimité des protagonistes et d’être le témoin privilégié de leurs drames.</p> <p> </p> <p>Un piano à queue trône au centre de la pièce, il est « physiquement » très présent et joue un rôle important.  Symbole de désirs insatisfaits, cet instrument sera le déclencheur  et le catalyseur de la crise du couple : tour à tour cachette, défouloir ou prétexte à dispute, c’est un élément essentiel de la scénographie.</p> <p> </p> <p>Très peu d’accessoires sont nécessaires à l’action mais certains ont une importance capitale.  Aussi les cigarettes et l’alcool sont nécessaires à la compréhension du drame.</p> <p> </p> <p><strong>Mise en lumière  </strong></p> <p> </p> <p>L’essentiel de l’histoire se déroule sur une soirée d’été, la lumière évoque donc un « intérieur nuit » mais le reste de l’action se passe une semaine plus tard, en journée.  Nous avons donc le même décor mais une atmosphère lumineuse tout à fait différente du début à la fin de la pièce.  À cela il faut ajouter les épisodes 0 et XVI, qui se font échos, où la lumière quasi-irréaliste confère à la scène l’aspect plastiquement étrange d’un jeu télévisé ou d’un interrogatoire de police.</p> <p> </p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/213141257610180348229201586623069300533106839179n.jpg" alt="" width="401" height="604"></p> <p> </p> <p> </p> <p><strong>EXTRAITS DE LA PIÈCE</strong></p> <p>Scène III</p> <p> </p> <p>PIERRE-MARC</p> <p>Marie-Pierre!  Tu sais que c’est pas le moment de contredire ton boss!  Tu viens de finir ton congé maternité!  Je pense pas que c’est le moment de lui donner l’impression que ton travail t’intéresse plus!  À moins que ça te dérange pas de te faire mettre dehors et de passer tes journées à la maison à torcher le ptit!  C’est ça que tu veux?</p> <p> </p> <p>         MARIE-PIERRE</p> <p>Mais non!  T’es malade?</p> <p> </p> <p>         PIERRE-MARC</p> <p>Ca serait stupide que tu perdes ton boulot pour une connerie comme ça.  Non?</p> <p> </p> <p>         MARIE-PIERRE</p> <p>Une connerie!?  Je me fais avorter Pierre-Marc!  Tu trouves que c’est une connerie, toi, de se faire avorter?</p> <p> </p> <p>         PIERRE-MARC</p> <p>Excuse-moi.  C’est pas ce que je voulais dire... (…)Tu sais, on a besoin de nos deux salaires.  On a un niveau de vie, hein!  On a un bon niveau de vie, j’trouve.  Je pense qu’on l’aime notre niveau de vie, non?</p> <p> </p> <p>         PIERRE-MARC, gentiment</p> <p>Et tu lui diras pourquoi tu t’absentes aussi.  Il a tellement peur que tu retombes enceinte.  Je suis certain que ça va lui faire plaisir de savoir que tu vas te faire avorter.</p> <p> </p> <p> </p> <p>Scène VII</p> <p> </p> <p>         PIERRE-MARC</p> <p>Ah.  J’y pense.  On t’a pas dit, Marc-Antoine.  On a décidé d’adopter.(…)Ils sont en train d’étudier notre demande.  Mais ça devrait marcher.</p> <p> </p> <p>         MARC-ANTOINE</p> <p>Ben oui.  Vous avez de l’argent.  Vous avez une belle maison.  Vous avez de bons boulots.  Je vois pas pourquoi il vous refuseraient.</p> <p> </p> <p>         ANNE-MARIE</p> <p>Pourquoi vous faites ça?</p> <p> </p> <p>         PIERRE-MARC</p> <p>Tu vois, on a toujours rêvé de faire du bénévolat.  On aurait envie d’en faire, mais malheureusement on n’a pas le temps.  Alors on s’est dit: si on peut pas aller faire du bénévolat, eh bien amenons le bénévolat à la maison...</p> <p> </p> <p> </p> <p>Scène X</p> <p> </p> <p>         MARC-ANTOINE, au bord des larmes</p> <p>Je suis allé dans la chambre du petit.  J’avais envie d’aller voir le petit.(…)Je me sens un peu mal.(…)J’aurais pas dû le frapper.  Je m’excuse.</p> <p> </p> <p>         PIERRE-MARC</p> <p>Pourquoi t’as fait ça?  Il pleurait même pas!</p> <p> </p> <p>         MARIE-PIERRE</p> <p>Si t’as envie de perdre le contrôle et de frapper un enfant, je pense qu’on aimerait mieux que tu frappes ta fille!</p> <p> </p> <p>         MARC-ANTOINE</p> <p>J’ai jamais frappé ma fille, tu l’sauras!</p> <p> </p> <p>         MARIE-PIERRE</p> <p> Mais tu te permets de frapper notre fils!  C’est gentil!  Je te dis qu’on se sent privilégiés!</p> <p> </p> <p> </p> <p> </p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/315835257610180347829191586623069300533094233797n.jpg" alt="" width="550" height="355"></p> <h2>Qui suis-je ?</h2><p style="text-align: center;">&nbsp;</p> <p><strong>LES COM&Eacute;DIENS</strong></p> <p>&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Quentin Bouissou</strong></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/986154QuentinNB.jpg" alt="" width="550" height="405" /></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">Ce jeune com&eacute;dien a suivi sa formation professionnelle aux conservatoires de Cr&eacute;teil et du V&egrave;me arrondissement de Paris mais aussi dans la classe de Pierre Barayre avec qui il travaille toujours. &nbsp;Fid&egrave;le aux compagnies th&eacute;&acirc;trales Champs 719 et B.L.O.C il a pourtant choisi d&rsquo;exercer ses talents de musicien et chanteur sur sc&egrave;ne au sein des Tistics avec qui il sera en tourn&eacute;e dans toute la France pour plus de 120 repr&eacute;sentations des Franglaises.</p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Alice De Lencquesaing</strong></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/658190AliceNB.jpg" alt="" width="550" height="365" /></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">Actuellement en licence de Lettres modernes, Alice a &eacute;t&eacute; form&eacute;e au jeu &agrave; l&rsquo;&eacute;cole Blanche Salant. &nbsp;Elle d&eacute;bute t&ocirc;t son parcours professionnel au cin&eacute;ma avec C&eacute;line Sciamma, Mia Hansen Love ou Olivier Asayas. En 2010 elle r&eacute;alise son premier court -m&eacute;trage. &nbsp;Sur sc&egrave;ne dans &nbsp;Harper Regan de Stephens elle est choisie par Lukas Hemleb pour incarner la fille de Marina Fo&iuml;s &agrave; Paris et en tourn&eacute;e. &nbsp;Elle sera sur les &eacute;crans dans Polisse de Ma&iuml;wenn &agrave; l&rsquo;automne.</p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Fabien Derrien</strong></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://img11.hostingpics.net/pics/118435FabNB.jpg" alt="" width="380" height="506" /></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">Issu de l&rsquo;improvisation, Fabien Derrien a compl&eacute;t&eacute; sa formation dans les conservatoires d&rsquo;arrondissement de Paris (X&egrave;me et V&egrave;me) et &agrave; l&rsquo;&eacute;cole professionnelle du V&eacute;lo Vol&eacute;. &nbsp;Il travaille depuis plusieurs ann&eacute;es avec Gr&eacute;gory Beno&icirc;t notamment dans La Mouette de Tchekov et dans Et le ciel m&rsquo;aimera de Martini o&ugrave; il cr&eacute;&eacute; le personnage de Franz. &nbsp;Il a tourn&eacute; dans deux longs-m&eacute;trages en 2010. &nbsp;La m&ecirc;me ann&eacute;e il est laur&eacute;at du concours jeune com&eacute;dien de la fondation Bajen pour le Th&eacute;&acirc;tre des Vari&eacute;t&eacute;s.</p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Rapha&euml;lle Sahler</strong></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://img11.hostingpics.net/pics/956377RaphNBH.jpg" alt="" width="550" height="365" /></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">Rapha&euml;lle Sahler a suivi une formation compl&egrave;te faite de chant (lyrique, jazz, tzigane), de danse (classique, jazz, contemporaine) et d&rsquo;art dramatique (conservatoire de Poitiers et &eacute;cole professionnelle du V&eacute;lo Vol&eacute;). Depuis quelques ann&eacute;es elle se consacre &eacute;galement &agrave; la mise en sc&egrave;ne notamment lors des Rencontres R&eacute;gionales de Oiron. &nbsp;On a pu la voir au th&eacute;&acirc;tre dans Quai Ouest de Kolt&egrave;s ou Occupes toi d&rsquo;Am&eacute;lie de Feydeau dans des mises en sc&egrave;ne de Fran&ccedil;ois Ha Van avec qui elle pr&eacute;pare actuellement un spectacle.</p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;"><strong>LA METTEUR EN SC&Egrave;NE</strong></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Adeline Chagneau</strong></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p><strong><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://img11.hostingpics.net/pics/993297107.jpg" alt="" width="360" height="240" /><br /></strong></p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">Com&eacute;dienne dipl&ocirc;m&eacute;e de Conservatoires (Nantes, Paris V) La Soci&eacute;t&eacute; des loisirs est ma premi&egrave;re mise en sc&egrave;ne. Je fais surtout du th&eacute;&acirc;tre mais on a pu me voir &agrave; l'&eacute;cran dans des longs et courts m&eacute;trages ou en publicit&eacute;. &nbsp;Je serai sur sc&egrave;ne &agrave; partir de janvier 2012 dans L'&eacute;preuve de Marivaux mise en sc&egrave;ne par Cl&eacute;ment Hervieu-L&eacute;ger pour La Compagnie des petits champs( www.compagniedespetitschamps.com )&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p style="text-align: justify;">&nbsp;</p> <p>Cr&eacute;dits photo du spectacle: Aurore Mar&eacute;chal</p> <p>Cr&eacute;dits vid&eacute;o du spectacle:Cl&eacute;ment Chabert&nbsp;</p> <p>Merci &agrave; eux.</p>