28 août 2015
La très véridique histoire de Léa et Léo
Des enfants et de leurs parents, de l'abandon, des peurs d'enfance et du monde trouble des adultes... Retenez votre souffle et plongez!
Réussi
81
Contributions
06/07/2015
Date de fin
4 505 €
Sur 4 500 €
100 %
La très véridique histoire de Léa et Léo
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<em>"Les enfants commencent par aimer leurs parents. En grandissant, ils les jugent, quelquefois ils leur pardonnent." (Oscar Wilde)</em></p>
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<strong><u>L'histoire</u> :</strong></p>
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Léa et Léo, huit et dix ans, vivent dans une caravane, sur une zone industrielle. Leurs parents n'ayant même plus de quoi payer la location de ce logement de fortune, décident, de guerre lasse, d'abandonner leurs enfants. Commence alors pour le frère et la sœur une étrange et terrible aventure.</p>
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<i>La très véridique histoire de Léo et Léa </i>adapte librement le conte de Grimm, <i>Hansel et Gretel, </i>tout en respectant fidèlement les structures narratives qui dominent la plupart des contes classiques. L'histoire se déroule dans un monde contemporain, traversé par un certain nombre d'archétypes : le centre commercial, la pauvreté, le logement précaire... des archétypes, hélas, solidement ancrés dans notre réalité de ce début de 21ème siècle.</p>
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<strong><u>Fiche technique</u> :</strong></p>
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<u>Titre</u> : La très véridique histoire de Léa et Léo</p>
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<u>Durée</u> : 1H25</p>
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<img alt="Epilogue-1427294365" height="254" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/177987/epilogue-1427294365.jpg" width="453"></p>
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<u><strong>Synopsis</strong></u></p>
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C'est l'été. Léo et Léa, dix et onze ans, vivent en caravane avec leurs parents, dans une zone industrielle. Sans travail et sans aucun revenu, les parents ont de plus en plus de mal à survivre et le propriétaire de la caravane qui n'a pas été payé depuis des mois menace de mettre la famille à la porte. La mère, voyant la catastrophe arriver, annonce un soir à son mari sa décision de tout quitter pour aller refaire sa vie ailleurs... sans les enfants. Le père, horrifié par cette perspective, fait tout ce qu'il peut pour la faire changer d'avis. En vain. Il finit alors par se soumettre à l'avis de sa femme. Léo, qui ne dort pas, entend la discussion.</p>
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Quelques jours plus tard, le propriétaire de la caravane qui a fixé un dernier ultimatum aux parents doit venir récupérer son argent. Les parents éloignent les enfants pour la journée. Quand ils rentrent chez eux, Léo et Léa ne trouvent plus la caravane. Leurs parents ont disparu et la caravane est repartie avec son propriétaire. Léo comprend aussitôt que ses parents ont mis leur projet à exécution mais ne dit rien à Léa. Dans l'espoir d'un retour des parents, les enfants ne se décident pas à quitter le « campement ». Pendant quelques jours, ils survivent tant bien que mal... un matin pourtant, un vigile déloge les enfants de leur refuge précaire. Léo et Léa partent droit devant eux, à l'aventure.</p>
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Des mois plus tard, on retrouve les enfants sur une petite route de campagne. Après des semaines d'errance et de vie au grand air, ils sont sales, amaigris et fatigués. La nuit tombe, et apercevant de la lumière au loin, ils quittent la route et découvrent un château illuminé. Poussés par la faim, ils entrent dans la cuisine où, affamés, ils dévorent tout ce qu'ils trouvent. Mais une femme interrompt leur festin : celle-ci, la quarantaine, présente une extraordinaire ressemblance avec la mère de Léo et Léa, bien que son allure générale et de nombreux détails l'en distinguent radicalement. Avec un mélange d'autorité et de bienveillance, elle invite les enfants à finir de manger. Puis elle les fait se laver, et les couche ensuite dans une chambre qu'elle leur présente comme étant désormais la leur.</p>
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Léo et Léa s'installent alors dans leur nouvelle vie, une vie douce où le temps file sans qu'on s'en aperçoive, une vie faite de repas plantureux, de promenades dans le magnifique parc du château, de rêveries et de jeux. Léo, à qui la femme a offert une console vidéo, passe de plus en plus de temps devant son écran, s'enfonçant peu à peu dans une douce léthargie.</p>
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Le temps passe, et de l'hiver, on arrive au printemps, puis à l'été. Les enfants grandissent, et retrouvent des joues et des couleurs. Mais un jour, alors que Léa se promène dans le parc, elle fait une lugubre découverte à la suite de laquelle elle se met à observer la femme à son insu. Elle s'aperçoit que leur hôtesse bienveillante a pour double un monstre sanguinaire. Il faut partir au plus vite. C'est alors que Léa rencontre une difficulté qu'elle n'aurait pas imaginée : Léo, incrédule, ne veut rien entendre de ce que lui raconte sa sœur. Pour la première fois de sa vie, il connaît un certain confort et ne veut perdre cela pour rien au monde. La menace se rapproche....</p>
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<u><strong>Intentions du réalisateur</strong></u></p>
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Mon émerveillement d'enfant pour les contes, ces récits à la structure si simple et si parfaite pour les meilleurs d'entre eux, ne m'a pas quitté en grandissant. Depuis longtemps, je souhaitais adapter un conte, de préférence célèbre, pour pouvoir mieux m'en détacher sans que la référence se perde tout à fait.</p>
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J'ai découvert il y a quelques années une adaptation de Hansel et Gretel réalisée par un célèbre auteur pour enfants, Anthony Brown. Certaines images de ce livre contextualisent le conte dans un monde contemporain de faits divers et de misère sociale. Ce parti pris m'a plu et j'ai décidé de le pousser jusqu'au bout.</p>
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L'adaptation que je propose prend ses distances et se permet de considérables libertés par rapport au conte originel. Pourtant, je pense que le texte d'origine reste clairement lisible dans la version que j'en propose.</p>
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Pour résumer les partis pris de mon adaptation, j'ai poussé le conte vers le fait divers, raconté comme il l'est souvent, comme une manifestation accidentelle de l'état de notre société. Car c'est cela, le fait divers : c'est du quotidien qui dérape.</p>
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C'est dans une question de point de vue que réside l'enjeu principal du film : trouver la bonne distance pour raconter une histoire aussi terrible, aussi énorme, sans « tricher » avec ce qu'elle dit, avec les résonances qu'elle peut trouver dans notre réalité contemporaine. Cet équilibre à trouver, entre conte et documentaire, représente ce que j'aime le plus dans le travail de fiction : s'autoriser le romanesque avec ce que cela suppose d'artifice, tout en laissant la porte grande ouverte aux rugosités du réel.</p>
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<img alt="69_low-1427294550" height="302" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/177995/69_low-1427294550.jpg" width="452"></p>
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<strong><u>Extrait du scénario</u></strong></p>
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CHÂTEAU (CHAMBRE DES ENFANTS) - INT. JOUR</p>
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<i>Dans un coin de sa chambre, Léa joue au bilboquet. Elle lance la boule quatre fois de suite sans parvenir à la poser sur la pointe du manche. Enfin, elle se lasse, dépose le jouet au sol et se tourne vers son frère qu’on découvre en train de jouer sur sa console. Le coin dans lequel se trouve la console est maintenant plein d’affaires diverses en désordre: bandes dessinées, magazines, figurines, etc.</i></p>
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LÉA</p>
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Léo?</p>
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LÉO</p>
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Quoi?</p>
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LÉA</p>
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Tu viens jouer avec moi?</p>
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LÉO</p>
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Attends. Je finis ma partie.</p>
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LÉA</p>
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T’as déjà dit ça il y a une heure.</p>
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LÉO</p>
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Il faut que je termine mon niveau.</p>
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<i>Elle se lève, s’approche de lui et le regarde jouer. Lui, reste le regard rivé à l’écran.</i></p>
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LÉA</p>
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Depuis qu’on est là tu fais que ça.</p>
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LÉO</p>
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<i>(sans conviction)</i> Non...T’as qu’à lire.</p>
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LÉA</p>
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C’est ça.</p>
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<i>Elle le regarde jouer sans rien dire.</i></p>
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LÉA</p>
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Avant, au moins, on parlait. On avait froid, on avait faim, mais on était ensemble.</p>
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LÉO</p>
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On est ensemble.</p>
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LÉA</p>
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Non.</p>
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<i>Léo ne répond pas et continue à jouer. Léa, furieuse, part en claquant la porte.</i></p>
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PARC DU CHÂTEAU - EXT. JOUR</p>
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<i>Dans le parc du château, Léa est assise devant un étang où nage un cygne; elle joue avec l’herbe, regarde devant elle, mélancolique. Au bout d’un moment, elle se lève et s’éloigne. </i></p>
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<i>Plus loin, au pied d’un haut mur de pierre, elle regarde, la tête en l’air, cet obstacle infranchissable. Plus loin encore, les yeux au sol, elle marche dans une partie du parc plus sauvage, une sorte de prairie. Elle s’arrête, lève les yeux, regarde devant elle. Un chemin s’enfonce dans les bois. Maintenant, Léa est en pleine forêt. </i></p>
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<i>On la voit passer derrière des branches. Soudain elle semble trébucher, s’arrête net.</i></p>
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<i>On est maintenant tout près d’elle, sur son regard, fixe et terrifié, tourné vers le sol.</i></p>
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<i>Parmi des feuilles mortes et de la terre, on distingue un très gros morceau d’os blanc. Le pied de Léa apparaît, dégageant l’os. On identifie alors, sans hésitation possible, un crâne d’enfant.</i></p>
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<i>Léa regarde autour d’elle.</i></p>
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<u><strong>Casting</strong></u></p>
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<u>Léa – Esther Gillet</u></p>
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<img alt="35_low-1427294583" height="301" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/177996/35_low-1427294583.jpg" width="453"></p>
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<u>Léo – Ariel Gillet</u></p>
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<img alt="128_low-1427294638" height="369" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178000/128_low-1427294638.jpg" width="339"></p>
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<u>La femme – Nathalie Raphaël</u></p>
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<img alt="Nath_ok-1427294705" height="301" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178001/Nath_ok-1427294705.jpg" width="452"></p>
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<u>Le père - Gaël Guillet</u></p>
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<img alt="Gael-1432538473" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/202276/gael-1432538473.jpg"></p>
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<u><strong>Lieux de tournage</strong></u><strong> :</strong></p>
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<u>Zone industrielle de Longvic</u></p>
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Aux portes de Dijon, nous avons installé la caravane sur un parking, non loin des bords du canal de Bourgogne et au cœur de la zone industrielle de Longvic.</p>
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<img alt="Longvic-1427294951" height="254" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178005/longvic-1427294951.jpg" width="452"></p>
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<u>Château de Barbirey-sur-Ouche</u></p>
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Changement d'ambiance au Château de Barbirey, célèbre pour ses magnifiques jardins</p>
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<img alt="19_low-1427295101" height="296" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178009/19_low-1427295101.jpg" width="452"></p>
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<img alt="66_low-1427295175" height="300" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178011/66_low-1427295175.jpg" width="452"></p>
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<img alt="70_low-1427295199" height="301" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178012/70_low-1427295199.jpg" width="452"></p>
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<u>Fécamp, Le Havre</u></p>
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Dernière étape de l'odyssée des enfants, une petite ville en bord de mer, hors saison, un grand port industriel.</p>
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<img alt="Fecamp-1427295334" height="255" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178017/fecamp-1427295334.jpg" width="453"></p>
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<img alt="Le_havre-1427295362" height="254" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178018/le_havre-1427295362.jpg" width="452"></p>
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<u><strong>Comédiens :</strong></u></p>
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Esther et Ariel Gillet, Nathalie Raphaël, Gaël Guillet,</p>
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Jacques Brutillot, Stephan, Castang, Aline Reviriaud.</p>
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<u><strong>Équipe technique principale</strong></u><strong> :</strong></p>
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<u>Réalisation</u> : Simon Gillet <u>Directrice de production</u> : Catherine Siméon <u>Chef opérateur</u> : Hugues Gemignani <u>Son</u> : Marc Weymuller <u>Première assistante réalisation</u> : Marie Pairis / Francesca Olivieri <u>Scripte</u> : Margot Seban <u>Maquilleuse-coiffeuse</u> : Jessie-Ève Furcy <u>Costumière</u> : Violaine Lambert <u>Décorateur</u> : Franck Tenot <u>Régisseurs</u> : David Farine, Jacques-Emile Bertschy, Lauriane Jussiau <u>Montage</u> : Yann Boehmer <u>Musique </u>: Lucas Gillet</p>
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<u>Simon Gillet, réalisateur</u></p>
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<img alt="Simon_g-1427316398" height="239" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178211/simon_g-1427316398.png" width="190"></p>
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Après avoir fréquenté le conservatoire libre du cinéma français puis le Grand Atelier Scénario de la FEMIS, Simon écrit et réalise des courts-métrages depuis une quinzaine d’années. Il développe en ce moment plusieurs projets, dont un long-métrage soutenu par la région Île de France, et a par ailleurs une activité de producteur et plus ponctuellement, de cameraman, sur des documentaires. Il anime également des ateliers de réalisation et d’écriture dans différents milieux: scolaires, classes professionnelles, facultés, etc.</p>
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<u>Catherine Siméon, productrice</u></p>
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<img alt="Photo_2192-1427316504" height="191" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/178212/Photo_2192-1427316504.jpg" width="191"></p>
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Après avoir travaillé plusieurs années pour des festivals de courts métrages, Catherine cofonde Les films de l'avalée en 2006 avec Simon Gillet. Elle produit indifféremment des documentaires et de la fiction pour Les films de l'avalée et pour Faites un vœu. Pour elle, le projet de Simon Gillet se nourrit d'éléments récurrents de notre actualité contemporaine, tout en se situant résolument sur le territoire d'une fiction intemporelle, celle des contes. Ce grand écart entre fiction et documentaire répond, d'une certaine façon, au cinéma qui anime son désir de production.</p>
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À quoi servira la collecte
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Les fonds levés serviront à financer la post-production et le montage du film.</p>
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Post-production du film :</p>
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- montage : 1500€,</p>
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- étalonnage : 640€,</p>
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- mixage : 1000€ ,</p>
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- réalisation du DCP : 1000€,</p>
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- frais kisskissbankbank : 360€</p>
Contreparties
10 €
- 10 contributions
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