Le Banquet. not a musical, not at all.
<p><strong>Le projet.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/682453/943a9159-f8b9-4235-b792-a2d9049bf91d.jpg" width="100%" /></p>
<p>À partir du Banquet de Platon et en nourrissant son écriture de textes de Raymond Carver et d’Anne Dufourmontelle, le metteur en scène Matthieu Pastore propose, le temps d’une soirée, d’explorer les interférences entre désir et amour.</p>
<blockquote>
<p>"C'est une soirée, une fête. Un banquet, oui. Ils ne se connaissent pas. Pas tous, en tout cas. Et pourtant ils vont parler de ce petit vide abyssal, de cet interstice de l’âme que l'on nomme amour. Que l'on nomme désir. Que Platon nommait Éros. Mais de quoi parlent-ils réellement ?"</p>
</blockquote>
<p>Ce ne sera pas une comédie musicale, pas du tout ! Et pourtant, comment parler de désir sans mettre le corps et ses danses au centre du discours ? Comment parler d’amour sans se demander pourquoi la chanson en est l’expression la plus populaire ?<em>"</em></p>
<blockquote>
<p><em>"Vous le savez, vous, de quoi est-ce que nous parlons, quand on parle d’amour ?"</em></p>
</blockquote>
<hr />
<p><strong>Les origines du projet.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/682459/46cd2326-ae09-4293-a0da-dee81a9724cf.jpg" width="100%" /></p>
<p>Le spectacle a été créé dans le cadre du concours de mise en scène du Théâtre 13. Après plusieurs étapes de sélection, nous sommes parmi les cinq projets finalistes - sur les 80 qui ont été reçus au premier tour.</p>
<p>Nous allons présenter le spectacle dans sa forme complète et aboutie devant le public (devant vous !) lors de la finale du concours, qui aura lieu au Théâtre 13 / Seine, à Paris, les 13 & 14 octobre 2020.</p>
<p>C'est une vitrine unique et privilégiée pour montrer notre travail devant les professionnels et les programmateurs, afin de diffuser le spectacle et de nouer des rapports avec des théâtres et des institutions.</p>
<p>Le lauréat du concours obtiendra une bourse, pour l'aider à diffuser son spectacle, ainsi qu'une tournée à Paris et en région parisienne.</p>
<p> </p>
<hr />
<p><strong>N</strong><strong>ous avons besoin de votre aide !</strong></p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/682461/7b751c15-35c0-44e6-a553-9dbafa6ff495.jpg" width="100%" /></p>
<p>En cette période difficile pour tous, et plus particulièrement pour le monde de la culture, la création contemporaine a plus que jamais besoin de soutien !</p>
<p>Nous avons besoin d'une aide financière pour faire aboutir notre projet de création, nous présenter à la finale du concours dans les meilleures conditions possibles et mettre toutes les chances de notre côté.</p>
<p>Ce financement nous donnera la possibilité de donner à ce spectacle une scénographie, des costumes et des moyens techniques à la hauteur de ses ambitions. </p>
<p>Chaque euro compte pour donner vie à cette soirée, à ce Banquet !</p>
<hr />
<p><strong>L</strong><strong>'équipe du Banquet.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/682466/d1b7eba8-15cc-4b95-9ee8-2fc37614cca6.jpg" width="100%" /></p>
<p>Texte & Mise en scène : Matthieu Pastore<br />
Assistante à la mise en scène : Camille Soulerin<br />
Jeu : Victor Assié, Barbara Atlan, Laurie Barthélémy,<br />
Nathalie Bourg, Pierre Cohen, Benjamin Dussud,<br />
Margot Mayette, Valentin Rolland & Camille Soulerin<br />
Chorégraphies : Laura Maria Desideri<br />
Costumes : Amélie Vavernac & Leslie Granger<br />
Création Lumières : Théo Tisseuil <br />
Ingénieur Son : Clément Hubert<br />
Régie Son : Claire Mahieux<br />
Les compositions musicales et les arrangements<br />
sont de Pierre Cohen, Clément Hubert & Margot Mayette<br />
</p>
<hr />
<p><strong>Le metteur en scène.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/682454/3dabe72e-380e-4709-9cb4-aa8d281b58a0.jpg" width="100%" />Matthieu Pastore est né en 1989 à Lyon. Après une prépa littéraire dans sa ville natale, il intègre l’école du Piccolo Teatro de Milan, dirigée par le metteur en scène Luca Ronconi. Après trois ans d’études il obtient son diplôme de comédien, en 2011. En 2012, il reçoit, à Milan, le Prix Hystrio à la vocation théâtrale, comme meilleur acteur de moins de 30 ans.<br />
<br />
De 2011 à 2018, il collabore en tant que comédien avec de nombreux metteurs en scène italien, parmi lesquels Damiano Michieletto, Andrea de Rosa, Renato Sarti, Fabrizio Falco, Bruno Fornasari…<br />
<br />
En tant que traducteur, il a travaillé, entre autres, sur l’adaptation en italien de <em>George Dandin</em> de Molière, pour la compagnie IdiotSavant, dirigée par Filippo Renda, sur <em>The Great Disaster</em> de Patrick Kermann, pour Renato Sarti, ou bien sur <em>Les 24h de Tina Pools à la recherche de son bonheur</em>, de la dramaturge franco-belge Marie Henry, pour le TeatroDue de Parme.<br />
<br />
Il a également assisté plusieurs metteurs en scène, en particulier Fadhel Jaïbi, directeur du Théâtre National de Tunis, de 2012 à 2015, pour un projet de collaboration entre le Piccolo Teatro de Milan et le Théâtre de Chaillot.<br />
<br />
Ce sont ces expériences qui l’ont poussé, depuis 2018, depuis son retour en France, à développer des projets d’écriture et de mise en scène. Il travaille actuellement, avec la metteuse en scène franco-italienne Chiara Breci, sur une réécriture pour le jeune public du <em>K</em> de Dino Buzzati et il souhaiterait, après <em>le Banquet,</em> poursuivre une réflexion plus ample, basée sur la littérature grecque, et dont le thème central serait l’identité intime ; qu’y a-t-il à partager de l’intime dans une exploration non pas de la singularité des « moi » mais des traits communs du « nous », dans une démarche peut-être aussi politique : ce que je suis, au fond, au plus profond de mon intime, n’est-il pas également, radicalement, ce que nous sommes ?<br />
<br />
Il travaille donc actuellement sur la figure de Tirésias, qu’il souhaite mettre en parallèle avec le concept de non-binarité, au sens large, avant de se pencher sur le mythe d’Orphée, sur le rapport qu’il entretient avec la mort, d’une part, mais aussi paradoxalement avec nos voyages, nos trajectoires vers le bonheur.</p>
<p><strong>Le budget.</strong></p>
<p>Nous avons élaboré un projet financier pour la dernière étape de création.</p>
<ul>
<li>Scénographie : 900 euros. Les comédiens évolueront à l'intérieur d'un grand espace blanc, représentant un salon, avec une longue table de banquet, quelques fauteuils, une méridienne et des lampes. Le sol (80 mètres carrés de moquette) représente le budget principal.</li>
<li>Costumes : 800 euros. Il y a neuf personnes à habiller sur le plateau (sept comédiens et deux musiciens). C'est donc un projet ambitieux pour une jeune compagnie. Mais il nous semble important de continuer à proposer des spectacles avec de belles distributions - surtout après avoir été isolés pendant longtemps !</li>
<li>Salle de répétition : 700 euros. Pour travailler dans de bonnes conditions, il nous faut un lieu de résidence, équipé d'une régie son et lumière. Nous pourrions y travailler pendant 10 jours, afin d'être prêts pour la première !</li>
<li>Location matériel son & lumière : 500 euros. Nous avons besoin, pour créer ce spectacle, de composantes techniques assez particulières, notamment en ce qui concerne le son. La musique et le chant en live ont besoin d'être mis en valeur par des équipements adaptés.</li>
<li>Logistique : 450 euros. Enfin, nous aurons besoin d'un budget pour couvrir les transports de scénographie et les trajets des comédiens et des membres de l'équipe qui ne vivent pas à Paris.</li>
</ul>