Serbie : le doc
<p>La Serbie est à un tournant de son histoire. La nouvelle génération a hérité des stigmates du passé. Elle est la première à vivre sans guerre. La jeunesse serbe consomme étranger, voyage, et bouscule les traditions…</p><p>La Serbie a lancé une procédure d’adhésion à l’Union européenne. Pour cela, des efforts importants lui sont demandés. La jeunesse sera-t-elle le moteur de ce changement ? Est-elle prête, a-t-elle même envie de se tourner vers l’Union Européenne ?</p><p>Dans les rues de Belgrade, à travers la campagne, vous découvrirez dans ce documentaire multimédia des visages, des histoires... Une aventure en immersion à la rencontre de la jeunesse serbe...</p><p> </p><p> </p><p><u><strong>Le Projet</strong></u></p><p>Nous avons décidé d’aller en Serbie à la rencontre de cette jeunesse et d’en savoir plus. Voir de nos propres yeux son évolution, raconter avec nos mots ses ambitions. L’objectif est de réaliser un documentaire multimédia sur la vision que se fait la jeunesse serbe de son futur.</p><p>Du 3 au 15 janvier 2018, nous allons nous approcher d’elle. Nous immerger dans cette culture. En démontant les clichés sur les Serbes, souvent mal-aimés dans la région. Puis nous pencher sur les efforts que la Serbie doit fournir pour adhérer à l’UE à l’horizon 2025. Bref : nous chercherons à savoir si les objectifs du gouvernement pour l’avenir du pays sont en phase avec les attentes de la jeunesse serbe. Le documentaire sera mis en ligne le 29 janvier 2018.</p><p> </p><p><u><strong>Pour plus de clarté, voici quelques angles d’études et reportages :</strong></u></p><p> </p><p><strong>Belgrade la jeune</strong><br />La ville de Belgrade a plusieurs visages. A l’est, la ville historique. De l’autre côté de la rivière Save, la Nouvelle Belgrade, une ville moderne, le quartier d’affaires. Une zone qui contraste avec le reste de la ville, plus modeste. Comment vit la jeunesse serbe, dont les cicatrices sont toujours ouvertes mais qui se tourne vers son futur ? Immersion avec la jeunesse serbe à Belgrade, la capitale.</p><p> </p><p><strong>La campagne serbe ; si près, si loin</strong><br />La Serbie a de nombreux progrès à faire dans le domaine de l’agriculture. Comment la jeunesse rurale appréhende-t-elle sa vie future ? A-t-elle les mêmes envies que la jeunesse urbaine de Belgrade ? Rencontre avec ces jeunes ruraux, qu'ils utilisent les techniques traditionnelles ou répondant aux critères européens.</p><p> </p><p><strong>Les minorités malmenées</strong><br />Parmi les libertés fondamentales, l'homosexualité n'est pas toujours acceptée dans les sociétés européennes. En Serbie, si la gay pride a bien lieu chaque année, elle n'est pas tolérée par tous. Portraits de ceux qui se battent pour leurs droits et ceux qui s'y opposent.</p><p> </p><p><strong>L'économie, pas au beau fixe</strong><br />Confronté à des difficultés économiques, l'état serbe se voit contraint de privatiser, de céder nombre de ses structures aux entreprises étrangères. La situation des finances publiques est telle que certaines villes se dépeuplent d'années en années. Exemple à Bor, en immersion dans cette ville minière du centre de la Serbie.</p><p> </p><p><strong>L’environnement, enjeu d’envergure</strong><br />En Serbie, l’écologie n’est toujours pas ancrée dans les mentalités. Le pays dépend encore de sa production de charbon, des décharges sauvages pullulent et certaines rivières sont polluées. La Serbie amplifie néanmoins ses efforts dans le domaine. Reportage là où l'environnement est mis à mal, mais aussi dans les villes qui servent de modèle.</p>
<p>Notre école nous finance à hauteur de 2 000 euros. Une somme que nous utiliserons en très grande partie pour l’achat des billets d’avion.</p><p> </p><p><strong>En tout nous avons besoin, en plus, de 2000 euros :</strong></p><p>Location d’une voiture ou sur place (150 euros)</p><p>Logement (600 euros)</p><p>Frais de traducteur (à évaluer)</p><p>Achat matériel (disque dur externe, cartes SD) (100 euros)</p><p>Site d’hébergement du webdoc (30 euros)</p><p>Commission prise par le site de financement participatif (à partir de 15 euros, et au-delà)</p><p> </p><p>Cette somme sera versée sur le compte de l'Ecole de journalisme de Toulouse (EjT) et servira au projet.</p>