Si nous ne pouvons changer le monde #2 MARIANNE
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<strong>SI NOUS NE POUVONS CHANGER LE MONDE…</strong></p>
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<strong>OPUS 2 : MARIANNE</strong></p>
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<strong>NOTE D’INTENTION</strong></p>
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Qu’est-ce qui est réel ? Sur quoi peut-on s’appuyer ? Qu’est ce qui existe ? Pourquoi est-ce que parfois, un mot, un geste, une histoire d’amour rompue en plein vol vient tout effondrer ? Moi dans ma vie, un jour, un homme m’a dit : « tout ce qu’on a vécu ensemble c’était de la fiction ». Alors la douleur a été immense et j’ai eu la sensation que cette douleur d’une intensité tellement nouvelle pour moi, proche d’une mort, n’était pas loin d’une bénédiction. Enfin je goûtais la saveur du réel, tout était tellement tangible. Douloureux mais réel. Donc joyeux. Vous me suivez ?</p>
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Enfin, ce n’était plus des mots, c’était la vie que je sentais en moi. Alors la réalité a commencé à me parler et je l’ai regardée avec admiration.</p>
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C’est le point de départ de cette création.</p>
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Se rassembler pour parler du monde autrement. Refuser le point de vue général qui affirme que tout va mal. Et si la fin du monde était une bénédiction ? Pour aller se chercher, trouver le point lumineux en soi d’où tout redémarre.</p>
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<strong>LA CREATION</strong></p>
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<strong>COMPAGNIE LA GRAPPA</strong></p>
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<strong>Création collective dirigée par Emel Hollocou</strong></p>
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<strong>Création lumière : Thibault Petit</strong></p>
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<strong>Avec Nicolas Grosrichard, Laura Lascourrèges, Coraline Mages</strong></p>
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<strong>C’est l’histoire d’une femme qui </strong>toutes les nuits rassemble ses os, les morceaux épars de son corps mais chaque jour les morceaux se séparent, il lui manque quelque chose. Une clé, une porte, une ouverture. Pendant ce temps, elle erre, longtemps, dans le noir, la forêt, elle se perd, rencontre des inconnus, joue avec eux, fait l’amour parfois, discute, argumente.</p>
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<strong>C’est l’histoire d’une femme qui</strong> cherche, qui enquête, avide de quelque chose dont elle ne connaît pas le nom mais qui la tire dans une direction puis une autre.</p>
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<strong>C’est l’histoire d’une femme</strong> dans le monde qui ne sait pas comment l’habiter.</p>
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<strong>C’est l’histoire d’une femme qui</strong> pensait enfin avoir posé ses valises quelque part, heureuse d’avoir trouvé le lieu où elle pourrait enfin se reposer, où la chose qu’elle cherchait lui était enfin donnée. Après cet événement elle se dit alors « ah c’est comme ça alors il va falloir à nouveau reprendre ses valises ».</p>
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<strong>C’est l’histoire d’une femme qui </strong>tente d’écrire quelque chose, qui veut écrire c’est certain mais qui ne sait pas ce qui la poursuit. Les mots sont au bord d’un ravin et elle n’a à disposition que des lambeaux de vie, éparpillés, en miettes. Et face à cet éparpillement c’est comme si elle se sentait trahie.</p>
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Par qui ?</p>
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Il y a une phrase dans <em>La Mouette</em> de Tchekhov qui dit « il y a un passage dans Tourgueniev <em>« Heureux celui qui par de telles nuits a un toit au-dessus de sa tête, qui a un coin chaud » Oui Tourgueniev et que Dieu vienne en aide à tout ceux qui errent sans abri » </em>et à ce moment-là de l’histoire, l’héroïne Nina se met à pleurer.</p>
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Quelle est mon histoire ? Quelle est votre histoire ? Quelle sera l’histoire qu’on vous racontera le 11 avril à 19h au Théâtre de la Loge à Paris ? le 12 avril à 19h ? le 13 avril à 19h ? le 14 avril à 19h ? </p>
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<strong>Nous avons besoin de vous pour mener à bien notre projet.</strong></p>
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<strong>Nous souhaitons pouvoir rémunérer toute l'équipe sur les dates de jeu et pouvoir investir de l'argent pour notre décor, nos costumes et nos salles de répétition. </strong></p>
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<strong>Ainsi nous avons besoin d'environ de :</strong></p>
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<strong>- 3000 € pour rémunérer l'équipe </strong></p>
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<strong>- 200 € pour le décor </strong></p>
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<strong>- 200 € pour les répétitions</strong></p>
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<strong>- 100 € pour les costumes</strong></p>
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<strong>Dans le cas où nous dépasserions la somme de 3500 € de dons, nous souhaiterions investir dans du matériel technique destiné au développement de la compagnie et de ses prochains projets. </strong></p>
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<u>Calendrier à venir : </u></p>
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Nous sommes actuellement en création. Notre prochaine résidence aura lieu à partir du 23 Mars jusqu'au 4 Avril. C'est durant cette période de travail que nous mettrons en place la forme du spectacle à travers le décor et les costumes.</p>
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Entre le 5 et le 10 Avril, nous serons dans la finalité du projet au théâtre de La Loge.</p>
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Nous jouons ensuite du 11 au 14 Avril au théâtre de La Loge.</p>
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<u><strong>L'ÉQUIPE</strong></u></p>
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<img alt="Nico-g-1488213725" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/397366/nico-g-1488213725.jpg"></p>
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<strong>NICOLAS GROSRICHARD</strong></p>
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Après avoir étudié le cinéma à Paris III, il entre aux cours Florent (travail avec Christine Farenc, Régine Ménauge-Cendre, Christian Crozet, Christophe Garcia) puis au Laboratoire de Formation au Théâtre Physique (LFTP) pour suivre la formation de Maxime Franzetti (travail avec Jean-Pierre Garnier, Alexandre Ethève, Thomas Bouvet, Thomas Condemine). Il tourne dans plusieurs courts-métrages notamment dans La Promenade de Noé qui obtient le prix du scénario au festival d’Aubagne. Au théâtre, il joue dans Richard III mes Sabrina Mokhlis (Arènes de Nanterre, Baal de B. Brecht mes M. Franzetti (LFTP), joue dans J’éprouve de Léon Masson (Théâtre 95), Platonov, mes Benjamin Porée (Théâtre de Vanves 2012, reprise aux ateliers Berthier en 2014), travaille sur Le Bal des Stenborg librement inspiré de Maison de poupée d’Ibsen mes Mathilde Gentil de la Compagnie Gosh (2015). Il a mis en scène Hinkemann de Ernst Toller à Florent et Homériade de Dimitris Dimitriadis au théâtre du Baléti en 2012. En 2013, il fonde la Compagnie Grappa avec Emel Hollocou et en devient le directeur artistique. Il met en scène et joue dans Britannicus, puis travaille ensuite sur J’étais dans ma maison… de J-L Lagarce pour les saisons 13-14 puis 14-15 au Théâtre de Vanves. En juillet 2014, il part avec la troupe du Théâtre du Roi de Coeur à Maurens pour la première édition du TROC. Il y joue De Guiche dans Cyrano de Bergerac mes Chloé de Broca. Avec la Grappa, il joue dans Si nous ne pouvons changer le monde à La Loge. Il joue ensuite dans la mise en scène Benjamin Porée sur Trilogie du Revoir de B. Strauss, créé pour Avignon In 2015 et produit par le Théâtre des Gémeaux. En 2016, il interprète le Chat botté adapté par Martin Jaspard et met en scène La noce de B. Brecht au TROC. Sur la saison 16-17, il collabore de nouveau avec Benjamin Porée sur La Mouette de Tchekhov qui se joue au Quartz (Brest) et au Théâtre de Vanves. Il joue également Léonardo dans Les Noces de Sang de Lorca au Théâtre de l’épée de bois (Cartoucherie), mises en scène par Antonio Diaz-Florian.</p>
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<img alt="Emel-1488213916" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/397375/emel-1488213916.jpg"></p>
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<strong>EMEL HOLLOCOU</strong></p>
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Après une formation à Sciences-Po Paris, Emel Hollocou se perfectionne au Laboratoire de Formation au Théâtre Physique où elle travaille avec J.P Garnier, T. Bouvet, A. Ethève, F. Jessua, T. Condemine, M. Franzetti puis complète sa formation à l'Ecole du jeu (Masterclasses).</p>
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Elle travaille ensuite comme assistante à la mise en scène de D’ de Kabal sur <em>Comme une isle</em> écrit par Leïla Cukierman (Th. A. Vitez d’Ivry et tournée). </p>
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En 2013 elle crée LA GRAPPA qu'elle dirige avec Nicolas Grosrichard. Elle co-met en scène <em>Britannicus</em> de Racine avec N. Grosrichard puis avec cette compagnie, joue dans <em>J'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne</em> de J.L Lagarce mes par N. Grosrichard (Théâtre de Vanves, 2014), <em>Si nous ne pouvons changer le monde</em>…(Théâtre de la Loge, 2016, écriture et création collective), spectacle repris en avril 2017 au Théâtre de la Loge et qui fait l’objet d’une recréation qu’elle met en scène.</p>
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Elle joue également pour la companie Les Mistons dans <em>Les Z'Habitants</em> mis en scène Marie Dupleix (en 2015 résidence MAC de Créteil et Théâtre de Maisons Alfort).</p>
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Elle est actuellement dramaturge et assistante à la mise en scène sur « Peau d’âne, création mise en scène par Pénélope Lucbert (Théâtre du Lucernaire, fev-mars 2017).</p>
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Depuis 2014, elle anime plusieurs ateliers enfants et adolescents à Créteil et monte avec eux <em>Les Petits Princes</em> (écriture et mise en scène), <em>Cendrillon</em> d'après J. Pommerat (adaptation et mise en scène), <em>Il y en a qui croient pas au destin</em> d’après Littoral de Wajdi Mouawad, <em>La Petite balle jaune</em> (co-mise en scène avec Coraline Mages).</p>
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<img alt="Laura_-1488213961" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/397376/laura_-1488213961.jpg"></p>
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<strong>LAURA LASCOURRÈGES</strong></p>
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Après une esquisse d’études littéraires, Laura entre au Cours Florent. En parallèle elle campe ses tout premiers rôles dans des courts métrages, et travaille comme scénariste. Dès le tout débuts donc, son activité créatrice est polymorphe. Elle peaufine sa formation théâtrale au LFTP (Laboratoire de Formation au Théâtre Physique) où elle rajoute comme cordes à son arc la pratique du masque, la danse contemporaine, une meilleure maîtrise de son corps, de la diction, avec notamment JeanPierre Garnier, Thomas Bouvet, Alexandre Ethève, Frédéric Jessua… A sa sortie elle interprète Junie dans Britannicus de Racine, pièce qui sera les prémices de la compagnie Grappa. Elle joue ensuite dans J’Etais dans ma maison… de Jean-Luc Lagarce, mis en scène par Nicolas Grosrichard au Théâtre de Vanves. Au cours d’un stage au Théâtre de La Loge avec Thibaud Croisy, Laura rencontre Daniel Martin-Borret, auteur réalisateur de pièces radiophoniques. Ils collaborent immédiatement, naissent alors quatre pièces, « Name Dropping », « Impératifs » puis « Total Vrac » (Prix de la Fiction Francophone au Phonurgia Nova Awards 2016) et enfin « Autotelie ». Laura se forme également au chant lyrique depuis quatre ans avec Eric Demarteau. Elle chante dans La Bohème de Puccini, le Stabat Mater de Pergolèse, Athalie de Mendelssohn… sous la direction de Daniel Galvez Vallejo. Sa compagnie, La Grappa, signe sa première création collective, Si nous ne pouvons changer le monde… au Théâtre de la Loge. Laura écrit, met en scène et joue. Avec cette pièce elle revient à l’un de ses premiers amours, le jeu masqué. En parallèle elle intègre le collectif NASH en jouant dans la Communauté imaginée ou le syndrome Douze Hommes en colère, mis en scène par Camille Durand-Tovar. Fin 2016 elle interprète le rôle d’Anne dans Derniers remords avant l’oubli de J-L Lagarce au Brady et début 2017 celui de la fiancée dans les Noces de Sang avec la troupe de l’Epée de Bois à la Cartoucherie (mise en scène Antonio Diaz-Florian).</p>
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<img alt="Coraline-1488213985" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/397377/coraline-1488213985.jpg"></p>
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<strong>CORALINE MAGES</strong></p>
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Après une formation universitaire à l’IECA (Nancy), en cinéma et production de films documentaires, elle intègre en 2009 l’équipe du GRAND JOURNAL de CANAL+ comme assistante de production. Elle se forme ensuite au Laboratoire de formation au théâtre physique (LFTP) sous la direction de Maxime Franzetti. Durant ces deux années, elle travaille aux côtés de Alexandre Étheve, Thomas Bouvet, Sylvain Dieuaide, Frédéric Jessua, Thomas Condemine… Elle participe à la création STABAT MATER FURIOSA de J.P Siméon, mis en scène par Charles d’Oiron lors du Festival Mise en Bouche au Théâtre du Baléti, à Montreuil. En 2012, toujours, elle prête sa voix au projet BODYCOMBAT, premier long métrage de la réalisatrice croate Yelena Remetin. La même année, elle participe à la lecture-spectacle FAUT-IL LAISSER LES VIEUX PÈRES MANGER SEULS AUX COMPTOIRS DES BARS de Carole Thibaut, mise en scène par Didier Perrier (Cie l’Echappée). Elle suit également les ATELIERS DU LUNDI, mis en place par le Théâtre de la Colline sous la direction de Sharif Andoura. En 2013, elle intègre la Compagnie Grappa pour son premier projet : BRITANNICUS d’après Racine, mis en scène par Nicolas Grosrichard. En 2014, elle collabore à sa deuxième création J’ÉTAIS DANS MA MAISON ET J’ATTENDAIS QUE LA PLUIE VIENNE de J.L Lagarce, créé et joué Théâtre de Vanves. En 2015, et parallèlement à son travail artistique, elle se forme au Reiki Usui, technique japonaise de relaxation énergétique. En janvier 2016, elle co-créée avec Nicolas Grosrichard, Emel Hollocou et Laura Lascourrèges l’écriture et la mise en scène de SI NOUS NE POUVONS CHANGER LE MONDE… (première écriture plateau de la compagnie) initié et joué au Théâtre de La Loge. En février dernier, intègre un stage de LA ROYAL CLOWN COMPANY, dirigé par Hervé Langlois. Depuis 2015, elle co-dirige des ateliers de théâtre pour enfants avec Emel Hollocou à Créteil. En juin dernier elles co-mettent en scène, avec un groupe de 13 jeunes enfants, leur première pièce « La Petite Balle Jaune » libre adaptation de La villa Esseling Monde de Philippe Dorin, à la MJC Village de Créteil.</p>
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<strong>THIBAULT PETIT</strong></p>
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C’est très jeune que Thibault rencontre le milieu du spectacle vivant, au travers de la pratique du théâtre de la danse. Les feux de la rampe l’intéresse mais en dehors du plateau. C’est en effet vers la technique que son regard se porte, et plus particulièrement la lumière. C’est à partir de 2012, lors d’un festival de théâtre à Vierzon, qu’il rencontre la compagnie Grappa au travers du projet « j’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne », celle-ci lui propose alors de la suivre sur Paris et de travailler avec elle pour la création lumière. A son arrivée à Paris il suivra la formation de régisseur de spectacle option lumière en alternance au CFPTS de Bagnolet. En parallèle de son travail avec la cie Grappa, il entre en apprentissage pendant 2 ans au 104 à Paris. Il en sort diplômé en 2015.</p>
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