Soi'In pour prendre soin de soi

Notre projet a été créé par l'humain, pour l’humain et fait appel aujourd’hui à la solidarité pour permettre l’aboutissement du projet. Vos dons nous permettront de financer : La partie juridique : Mise en place des CGU / CGV / RGPD / Label / Frais de création La réalisation d'une campagne de communication Le recrutement de stagiaires du web et du marketing LE MARCHE DU BIEN-ÊTRE QU'EST-CE QUE LE BIEN-ÊTRE ? Le bien-être est un mot moderne aux racines anciennes. Les principes clés du bien-être à la fois préventif et holistique remontent aux civilisations anciennes de l'Orient (Inde, Chine) à l'Occident (Grèce, Rome). En Europe et aux États-Unis au XIXe siècle, une variété de mouvements intellectuels, religieux et médicaux se sont développés parallèlement à la médecine conventionnelle. En mettant l'accent sur les approches holistiques et naturelles, l'auto-guérison et les soins préventifs, ces mouvements ont fourni une base solide pour le bien-être aujourd'hui. Les modalités axées sur le bien-être et holistiques ont gagné en visibilité depuis les années 1960/1970 sous les écrits et le leadership éclairé d'un réseau informel de médecins et de penseurs américains (tels que Halbert Dunn, Jack Travis, Don Ardell, Bill Hettler et d'autres). Source Global Wellness Institute. Le Global Wellness Institute définit le bien-être comme la poursuite active d'activités, de choix et de modes de vie qui mènent à un état de santé holistique. L’économie du bien-être TOP 10 mondial de 2020 UN VRAI BESOIN SOCIETAL Résultats de la vague 35 de l’enquête CoviPrev (12-19 septembre 2022) (source santé publique France) 78 % des Français déclarent avoir une perception positive de leur vie en général [Niveau bas, - 6,5 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance en baisse, - 3 points par rapport à la vague précédente] 18 % des Français montrent des signes d’un état dépressif [Niveau élevé, + 8 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance en hausse,+ 3 points par rapport à la vague précédente] 26 % des Français montrent des signes d’un état anxieux [Niveau très élevé, + 13 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance stable par rapport à la vague précédente] 71 % des Français déclarent des problèmes de sommeil au cours des 8 derniers jours [Niveau très élevé, + 21,5 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance en hausse, + 4 points par rapport à la vague précédente] 12 % des Français ont eu des pensées suicidaires au cours de l’année [Niveau élevé, + 8 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance stable par rapport à la vague précédente] QU'EST-CE QUE L'ÉCONOMIE DU BIEN-ÊTRE ? L'économie du bien-être est une industrie mondiale colossale, estimée par le Global Wellness Institute (GWI) à 4,5 billions de dollars et représentant environ 5,6 % de la production économique mondiale en 2017 (sur la base des données du FMI). En comparaison, les dépenses mondiales de santé étaient estimées à 8 000 milliards de dollars en 2017 (sur la base des données de l'OMS). « L'économie du bien-être atteindra 7 000 milliards de dollars en 2025, car les forces qui l'ont conduite restent aussi puissantes que jamais : une classe moyenne mondiale en expansion, une population vieillissante et une augmentation des maladies chroniques », a déclaré Katherine Johnston, chercheuse senior GWI. . "Mais la pandémie a entraîné de nouveaux changements et une" réinitialisation des valeurs "mondiales : le" bien-être "signifie désormais bien plus qu'un cours de soin du visage ou de rotation, avec un accent croissant sur le bien-être mental et l'importance de l'équilibre travail-vie personnelle, de la justice sociale, de l'environnement la durabilité, l'environnement bâti et la santé publique. Ces moteurs soutiendront la reprise de l'économie du bien-être ; ils déplaceront également les dépenses de consommation, politiques et de santé dans de nouvelles directions. GWI définit l'économie du bien-être comme des industries qui permettent aux consommateurs d'intégrer des activités et des modes de vie de bien-être dans leur vie quotidienne. Il englobe 11 secteurs variés et diversifiés. Tourisme de bien-être (perdant de la pandémie, futur gagnant) : a augmenté de 8 % par an de 2017 à 2019. Le taux de croissance annuel de 6,5 % du marché des voyages de bien-être de 639 milliards de dollars entre 2015 et 2017 est plus du double du taux de croissance de 3,2 % du tourisme dans son ensemble. Les voyageurs du monde entier ont effectué 830 millions de voyages de bien-être en 2017, soit 139 millions de plus qu'en 2015 - et ces voyages représentent 17 % des dépenses touristiques totales. Thermal/Mineral Springs (perdant de la pandémie, futur gagnant) : l'un des marchés du bien-être à la croissance la plus rapide de 2017 à 2019, avec des revenus passant de 56 milliards de dollars à 64 milliards de dollars (croissance annuelle de 6,8 %). Spas (perdants de la pandémie, futurs gagnants) : de 2017 à 2019, l'industrie du spa a connu une croissance annuelle rapide de 8,7 % et a atteint 111 milliards de dollars de revenus dans 165 714 spas. Le marché des sources thermales/minérales continue d'enregistrer une forte croissance alors que de plus en plus de personnes se tournent vers l'eau pour soulager le stress, se ressourcer et vivre en communauté. Immobilier de bien-être (pandémie et futur vainqueur) : Avec COVID-19 accélérant considérablement la compréhension du rôle que l'environnement bâti et nos maisons jouent dans notre santé physique et mentale. L'immobilier qui intègre des éléments de bien-être intentionnels dans sa conception, ses matériaux et sa construction - ainsi que ses équipements et sa programmation - connaît une croissance rapide, car de plus en plus de personnes souhaitent apporter plus de santé dans les endroits où elles passent la majorité de leur temps. À titre de comparaison, ce marché de 134 milliards de dollars représente désormais environ 1,5 % du marché mondial annuel total de la construction et environ la moitié de la taille de l'industrie mondiale de la construction écologique. Activité physique (perdante de la pandémie, future gagnante) : ce marché composé de six secteurs a augmenté de 5 % par rapport à 2018-2019. Bien-être mental (pandémie et futur gagnant) : a affiché une forte croissance de 7 % de 2019 à 2020. Soins personnels et beauté (perdant de la pandémie, futur gagnant) : les dépenses de consommation sont passées de 1 000 milliards de dollars en 2017 à 1 100 milliards de dollars en 2019, puis ont diminué de 13 % pour atteindre 955 milliards de dollars en 2020. Médecine traditionnelle et complémentaire (perdante de la pandémie, future gagnante) : ce marché couvre différentes thérapies et produits holistiques, indigènes et anciens (acupuncture, ayurvéda, médecine traditionnelle chinoise, chiropratique, etc.). Alimentation saine, nutrition et perte de poids (pandémie et futur gagnant) : l'un des rares secteurs du bien-être à avoir maintenu une croissance positive (3,6 %) pendant la pandémie, qui a lancé une vague d'intérêt pour la cuisine maison, les aliments sains et les aliments axés sur l'immunité et suppléments. Santé publique, prévention et médecine personnalisée (pandémie et futur vainqueur) : Un autre secteur qui a connu une croissance positive de la pandémie (4,5 %), en grande partie parce que de nombreux gouvernements et systèmes de santé ont augmenté leurs dépenses de santé publique et de prévention pendant la crise du COVID-19. Bien-être au travail (perdant de la pandémie, futur gagnant, avec une différence) : ce segment a augmenté de 4,6 % par an de 2017 à 2019. « L'économie du bien-être atteindra 7 000 milliards de dollars en 2025, car les forces qui l'ont conduite restent aussi puissantes que jamais, a déclaré Katherine Johnston, chercheuse senior GWI. Évalué à 47,5 milliards de dollars, le marché du bien-être au travail reste très petit par rapport au fardeau économique massif et aux pertes de productivité (10 à 15 % de la production économique mondiale) associés à une main-d'œuvre malade et désengagée. Seuls 9,8 % des employés dans le monde sont couverts par un programme de bien-être au travail (321 millions de personnes), mais fortement concentrés dans les pays à revenu élevé d'Amérique du Nord, d'Europe occidentale et d'Asie.