Spectacle Un mari à la porte
<p style="text-align:center"><em><strong>Un mari à la porte</strong></em></p>
<p style="text-align:center"><em><strong>opérette en un acte </strong></em></p>
<p style="text-align:center"><em><strong>de Jacques Offenbach </strong></em></p>
<p style="text-align:center"><em><strong>précédée d'un prologue "20 ans après" </strong></em></p>
<p style="text-align:center"><em><strong>Molière/Gounod</strong></em></p>
<p><strong>Constituée autour du metteur en scène Jacques Gomez, la Cie Golo est attachée à l'exploration d'un théâtre musical populaire et vivant, par la relecture d'oeuvres du patrimoine ou la création d'auteurs et de compositeurs contemporains. La Cie cultive le goût de la troupe, les artistes Elisabeth Colombani, Bardassar Ohanian et Philippe Noncle en sont des piliers, tant ils appartiennent à une génération de comédiens-chanteurs parfaitement polyvalents, familiers des scènes institutionnelles ou alternatives et aguerris à l'exercice du passage du texte parlé à l'art lyrique ou la chanson.</strong></p>
<p><strong>Désireuse de présenter un vaudeville après <em>Misérables</em> et<em> Une vie de bohème</em>, la Cie Golo célébrant le bicentenaire de la naissance de Jacques Offenbach, a choisi une oeuvre méconnue. C’est l’opérette en un acte <em>Un mari à la porte</em>. Comédie virevoltante du mariage, elle est précédée d'un prologue en "flashforward", 20 ans après, qui convoque Molière et Gounod.</strong></p>
<p><strong><em>distribution : </em></strong></p>
<p><strong><em>Bardassar Ohanian et Jacques Gomez (barytons) en alternance : Martel </em></strong></p>
<p><strong><em>Elsa Vacquin (soprano) : Suzanne </em></strong></p>
<p><strong><em>Elisabeth Colombani (soprano): Rosita </em></strong></p>
<p><strong><em>Philippe Noncle (ténor): Florestan Ducroquet </em></strong></p>
<p><strong><em>Sylvaine Carlier et Pascal Hild (en alternance) : piano</em></strong></p>
<p><strong><em>Jacques Gomez : conception et mise en scène </em></strong></p>
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<p>Le spectacle</p>
<p>Le spectacle dans une fantaisie temporelle, s’ouvre par un prologue ajouté, «20 ans après», avec l’air de Sganarelle, «Qu’ils sont doux !...», extrait du <em>Médecin malgré lui</em> opéra comique de C.Gounod et se poursuit par la scène une de l’acte un du <em>Médecin malgré lui</em> de Molière, quand le couple Sganarelle (Martel) et Martine (Suzanne) s’entre-déchirent jusqu’aux coups portés sur cette dernière . Ce flashforward qui dit l’état d’un mariage désastreux, se prolonge par la nuit de noces de Martel et Suzanne 20 ans plus tôt, quand rien ne s’annonçait très bien non plus... </p>
<p>Il n’existe pas de vaudeville sans porte qui claque ou sans fenêtre. Ce sont dans le spectacle des éléments mobiles que les comédiens chanteurs déplacent eux-même dans le courant de l’action et qui jouent parfois comme un véritable ballet. Les costumes représentent plus un milieu social petit bourgeois dans son goût aléatoire, qu’une période définie. Comme précédemment dans le travail de la Compagnie Golo, le jeu d’acteur qui pourrait se passer de décor, est au centre de la recherche théâtrale. Le comique naît des situations et des corps des acteurs, le débit de la parole parlée est délibérément nerveux, vif, emporté... le beau chant fait le reste.</p>
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<p><strong>L'argent collecté sera prioritairement réparti en cachets (2000€) pour les 6 artistes du plateau 4 comédiens chanteurs et un(e) pianiste (8 représentations). Il couvrira les frais de création de décor (Scèneobjet) et costumes (estimés à 1050€), les accordages du piano (260€), Les frais de communication (410€) dont une captation vidéo prévue pour la promotion du spectacle au delà des dates présentes.</strong></p>