<p><strong>Tumulte</strong> revient cette année pour sa 3ième édition. Elle se tiendra à Metz, au sein de <strong>l'Espace Bernard-Marie Koltès</strong> (Théâtre du Saulcy). Il durera sur trois jours, du <strong>24 au 26 mai 2018 .</strong> Une nouveauté cependant, le festival a un thème et une démarche. Les projets présentés ne seront pas forcément en rapport avec ce thème, mais un projet transversal à l'événement mettra en avant cette thématique :<strong> les violences.
</strong>Concernant la démarche, l'équipe du Théâtre Universitaire de Metz a décidé de produire une forme théâtrale qui clôturerait le festival. Nous allons durant la semaine recueillir vos témoignages afin d'en faire une performance finale dont vous serez les auteurs. L'idée est de nous rendre tous acteurs de notre festival et de notre parcours. On abordera autant les violences physiques que mentales, celles que l'on ressent au quotidien et les plus passagères, celles faites sur les femmes, celles concernant les minorités, celles qui nous concernent de près ou de loin, celles qui nous touche, et bien d'autres encore. Soyez acteur du festival qui est et restera le nôtre, celui du partage.</p><p> </p><p><img alt="" width="100%" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/508987/29852673_2078578282182950_525629230_n-1524486947.jpg" /></p><p> </p><p>En donnant 10€ à ce financement participatif, vous aurez un bracelet vous donnant accès aux 3 soirs du festival (au lieu de 15€ normalement...) --> <strong>Attention, il faudra impérativement faire une réservation pour chaque pièce à
[email protected]</strong></p><p><u><strong>Programmation de Tumulte.</strong></u></p><p><strong>Titre : Blancheur</strong></p><p><em>Auteur : Nathan Tritz ; Mise en scène : Nathan Tritz & Marie Barbat</em></p><p>S'élever spirituellement est la conséquence d'un choix. Etre imperméable à l'enseignement en est un aussi. L'acceptation d'apprendre est la cause d'une montée sur l'échelle de conscience. Néanmoins lorsque les enseignements sont multiples et divergents, il nous faut à nouveau choisir. Comment peut-on alors évoluer ? Sommes-nous obliger de choisir UN enseignement, ou peut-on les croiser ? La pièce tend à y répondre par un quatuor aux esprits, aux ambitions et aux perceptions différents. Et dans leurs différends, le personnage principal doit choisir la teinte de blanc qu'il souhaite atteindre. De l'obscurantisme à la lumière de la raison, il y a le chemin de la Blancheur.</p><p> </p><p><strong>Titre : Elena, seuls ensembles</strong></p><p><em>Mise en scène : Daniel Brettschneider</em></p><p>Nous sommes tous liés à cet individu qui partage notre vie sans qu'on s'en aperçoive, mais il est bien là et il ne nous lâchera jamais. Qu'il s'agisse d'un parent, d'un ami, d'un amour, dans l'adversité, nous ne sommes jamais seul. Elena et Lui ne savent pas qui ils sont. Pourtant, comme le veut le hasard de la vie, ils se connaissent tous les deux depuis leur plus tendre enfance. Introverti et conformiste, extravertie et rebelle, rien ne les rapproche. Malgré tout, et à force de péripéties, ils vont finir par apprendre à ce connaître et par grandir ensemble</p><p> </p><p><strong>Titre : Pearl</strong></p><p><em>Auteur : Fabrice Melquiot ; Mise en scène : Marion Even</em></p><p>Dans Pearl, un groupe de rock se retrouve pour enregistrer des morceaux, avec au centre la figure féminine inspirée de Janis Joplin. Il faut imaginer cette jeune fille qui naît à Port Arthur en 1943, dans une famille chrétienne et meurt en 1970 à San Francisco en héroïne du mouvement hippie.</p><p>Avec Pearl, Fabrice Melquiot nous invite à redécouvrir Janis Joplin et son époque, à la frontière entre les années 60 et 70, dans un studio de musique où le rock éveille les passions et les révoltes. Pearl vient directement invoquer une jeunesse qui aura un profond impact, notamment avec les communautés hippies.</p><p><img alt="" width="100%" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/508995/Capture-1524487838.JPG" /></p><p> </p><p><strong>Titre : Brouillon_piste2-V4</strong></p><p><em>Auteurs/Autrices : Eva Reitzer, Marie Barbat, Benjamin Alvarez, Flavie Charvet, Matias Isch, Margaux Bertin</em></p><p><em>Mise en scène : Loisy Ludivine</em></p><p>Quelle est la frontière entre réalité et fiction ? En suivant cette thématique, les ateliers d’écriture du Théâtre Universitaire de Metz ont créé des personnages qui ont différentes relations à la fiction. Brouillon_piste2-V4 est un ensemble de scénettes qui met en scène les différents personnages créé et habités par les participants de l’atelier jeu du TUM. Une première création totale des ateliers TUM de son écriture jusqu’au spectacle !</p><p> </p><p><strong>Titre : Nous voir Nous - Cinq visages pour Camille brunelle</strong></p><p><em>Auteur : Guillaume Corbeil ; Mise en scène : Julien de Ciancio</em></p><p>« Nous voir nous » retrace l’histoire de cinq prétendus amis lors d’une même soirée à travers les réseaux sociaux. Sous une avalanche de photographies, de flashs et de vidéos, les cinq personnages sur un rythme effréné nous dévoilent chacun leurs vies, mais est-ce réellement les leurs ?<br />Au fil de la pièce, le temps se dilate et l’on découvre de nouvelles versions de la même histoire. C’est un véritable univers froid et<br />superficiel de rivalités qui se dévoile peu à peu. Où s’arrête la réalité et où commence la fiction ? Comment manipulons-nous la réalité à travers les écrans, les images ? Jusqu’où iront les personnages pour théâtraliser leurs vies ?</p><p>‘’Nous sommes tous avalés par la bête, les uns après les autres. Nous avons beau tout faire pour y échapper, ses tentacules s’enroulent à notre jambe et nous tirent vers sa gueule grande ouverte ; Chaque instant et chaque chose sont dévorés et digérés. Dans le ventre du monstre, nous sommes des acteurs qui tentons tant bien que mal de définir notre rôle, de nous mettre en scène du mieux possible pour être saisis tel que nous croyons ou voulons être – ou voulons croire que nous sommes.’’</p><p><img alt="" width="100%" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/508998/Capture2-1524488598.JPG" /></p><p> </p><p><strong>Titre : Titre</strong></p><p><em>Auteur/autrice : Matthias Baron & Apolline Resch ; Mise en scène : Matthias Baron, Julia Hyunen & Apolline Resch.</em></p><p>Titre n.m. : nom donné à une oeuvre, un livre (ou pas) et qui évoque souvent son contenu (ou pas). Finalement, selon nous, cela peut vous aidez à comprendre le sujet abordé, ou cela vous déstabilisera. Cela pourrait vous apprendre des choses, sur vous même, sur les autres, révéler des passions. Peut être vous touchez, peut être même vous faire chier, mais toujours avec le sourire. Bon an mal an vous serez sans doute un peu perdu, m’enfin rassurez-vous, nous aussi !</p><p> </p><p><strong>Titre : Absence( )</strong></p><p><em>Auteur : Samuel BECKETT ; Mise en scène : Maxime Henry</em></p><p>Mise en scène de quatre courtes pièces de Beckett se ralliant sur un thème de présence/absence des choses, une mise en scènes sensorielles pour faire ressortir des émotions complexes inscrites dans ces pièces comme le mystère, le temps qui passe, la surprise.</p><p> </p><p><strong>Titre : L'Heureuse Désillusion</strong></p><p><em>Auteur : Matias Isch ; Mise en scène : Matias Isch et Clémentine Kullman</em></p><p>Dans la continuité des piècés <em>La voie de Will </em>et <em>Cueillir le Sens,</em> L'Heureuse Désillusion est le troisième et dernier volet de cette trilogie. Quatre personnages font face à la vie et à sa dure désillusion sous toutes ses formes. chacun, à sa manière, fait ce qu'ilp eut pour passer outre et réussir à être heureux malgré tout.</p>