Un trimestre au front en 1918 Correspondance de Paul Fischer.
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<strong>Le projet en 2 mots :</strong></p>
<p>Les derniers poilus de la Première Guerre mondiale sont tous morts. Mais leurs écrits ne doivent pas disparaître. Ce projet de livre est un témoignage supplémentaire qui s'inscrit dans une démarche de sauvegarde du patrimoine.<br />
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<p><strong>Créateur•s/créatrice•s et les origines du projet</strong><br />
Professeur de mathématiques, originaire de Verdun par ma mère, j'ai été très tôt sensibilisé au drame humain de la Première Guerre mondiale. Ce ne sont pas les batailles -même si il est nécessaire d'en connaître un peu la chronologie! - qui m'attirent mais tous les témoignages écrits des soldats où s'expriment le ressenti profond et le vécu quotidien. Voyant, malheureusement, que beaucoup de correspondances disparaissaient, notamment éparpillées par les revendeurs de vieux papiers ou de cartes postales, j'ai commencé à recueillir certaines correspondances oubliées et à les publier avec des commentaires et une documentation iconographique. Pour les soldats qui n'ont pas leur nom gravé sur un monument aux morts, c'est une façon de maintenir vivante leur mémoire.</p>
<p>5 correspondances ont déjà été publiées depuis 2011. Je tente de proposer des parcours originaux (Celui d'un maître-coq à bord du cuirassier Suffren coulé au large de Lisbonne par exemple) et de les faire connaître dans la région d'origine du Soldat. Cela donne parfois des suites surprenantes. Ainsi, la publication de la correspondance de Jean Jegou, officier breton de la mission française aux Etats-Unis, a permis de rajouter son nom sur le monument aux morts de sa commune de naissance. Il avait été oublié!</p>
<p>Autre exemple : celui d'un territorial meusien.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/670229/Couv.livre.Lef_vre-1592210408.jpg" width="100%" /></p>
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<p><strong>Le projet en détails</strong></p>
<p>Cette fois, je souhaite recueillir des fonds pour publier en auto-édition quelques exemplaires de la correspondance d'un soldat parisien de la classe 1918 (Donc né en 1898...). Les lettres de cet étudiant en médecine sont illustrées de nombreux croquis et apportent un véritable plus à son témoignage. Le livre, de format A5, aura 130 pages.</p>
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<strong>Les contreparties et le rôle des contributeurs</strong></p>
<p>Les contributeurs vont donc m'aider pour lancer la publication d'une cinquantaine d'exemplaires.de ce nouvel ouvrage de mémoire.</p>
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