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<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/561590/Pitch.Web-1545828081.jpg" width="100%" /></p>
<p>Ce documentaire dévoile l’incroyable enquête d’une journaliste qui, en voulant aider un homme abandonné à retrouver sa mère, découvre l’existence d’un gigantesque trafic d’enfants Français savamment camouflé par les autorités depuis près d’un siècle.<br />
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<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/561594/Le-projet.Web-1545828456.jpg" width="100%" /></p>
<p>En 2003, la journaliste Patricia Fagué est contactée par Bernard, un sexagénaire abandonné à sa naissance et adopté par une famille de puissants industriels français, qui lui demande de l’aider à retrouver sa mère, et à connaître son histoire.</p>
<p>Une mission ordinaire pour cette enquêtrice, connue en France pour être l’une des plus grandes spécialistes de la recherche des personnes disparues.</p>
<p>Bernard a été adopté par l’intermédiaire d’une Fondation reconnue d’utilité publique, la « Fondation d’Heucqueville », installée dans l’un des quartiers les plus chics de Paris. Une œuvre caritative prestigieuse, à la pointe du progrès médical, dirigée par des médecins, des magistrats et un futur Président de la République, Georges Pompidou. Une œuvre qui organisera l’adoption, entre 1935 et 1979, de <strong>plus de 10 000 enfants, tous déclarés nés « sous X »</strong>, c’est-à-dire de parents inconnus.</p>
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Mais la journaliste va se heurter à <strong>une énigme : </strong>il n’existe <strong>plus aucune trace </strong>de cet établissement ni de ses archives, dont une petite partie aurait été confiée à une autre œuvre reconnue d’utilité publique, « L’œuvre de l’Adoption en Faveur des Orphelins ».</p>
<p>Et ce n’est pas tout : d’autres pupilles, adoptés par ces deux œuvres ou d’autres toujours en activité, font les mêmes constatations que Bernard : <strong>les conditions de leur venue sur Terre restent un mystère</strong>. Ils sont tous déclarés nés « sous X » dans des appartements ou des cliniques privés, la plupart catholiques ; ils ont tous été placés chez leurs parents adoptifs à l’âge de quelques jours, bien avant l'expiration du délai légal de 3 mois accordé à leur mère pour les reprendre ; ils ont tous été <strong>vendus à leurs parents adoptifs</strong> pour des sommes vertigineuses.</p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/561680/personnel-fondation-1545910967.png" width="100%" /><br />
En parvenant à ressusciter le cadavre de la « Fondation d’Heucqueville » à force de recherches, Patricia Fagué va découvrir que <strong>ses archives ont sciemment été brûlées</strong>, comme celles de nombreuses œuvres d’adoptions de l’hexagone. Non pas pour « protéger » ni « sauver l’honneur » des mères biologiques de ces pupilles - souvent filles-mères - mais pour <strong>ne laisser aucune trace des abandons forcés et des trafics d’enfants</strong> auxquels elle se livrait.</p>
<p>Pourquoi alors ces femmes restaient-elles <strong>silencieuses et introuvables</strong> ? Les avait-on fait disparaître définitivement, elles aussi ? Qu’étaient-elles devenues ? Comment s’étaient-elles retrouvées <strong>prises au piège</strong> par ces maternités et œuvres catholiques ? Pourquoi ne s’étaient-elles jamais manifestées ?<br />
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<strong>Patricia Fagué va partir à leur recherche</strong> pour comprendre ce qu’il s’est passé, mais surtout pour l<strong>eur rendre leur dignité, leur honneur, et leur enfant.</strong><br />
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Au-delà de la dénonciation de ces faits jamais révélés, c’est aussi et surtout un <strong>message d’espoir </strong>que ce documentaire veut transmettre en démontrant que <strong>tout est possible, y compris de se retrouver et, qui sait, de changer la loi</strong>.<br />
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<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/561597/L_equipe.Web-1545829166.jpg" width="100%" /></p>
<p>Elle est composée de deux professionnels passionnés, puisqu’il s’agit du binôme de l’émission <strong>« Dans l’espoir de se retrouver »</strong> diffusée sur Chérie 25 (8x90’).</p>
<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/563728/Pat_JojO_Web-1547135198.jpeg" width="100%" /></p>
<p>De l’émission <em>Perdu de Vue</em> diffusée sur TF1 (1992-1996) à la création du site web à succès <em>personnedisparue.com</em>, la journaliste <strong>Patricia Fagué</strong> réussit depuis plus de 20 ans à réunir des familles séparées par les aléas de la vie. Elle est aujourd’hui demandée en France et plus largement en Europe pour apporter son expertise dans ce domaine.</p>
<div class="k-ResponsiveIframeContainer"><iframe allow="autoplay; fullscreen" allowfullscreen="true" frameborder="0" height="269" scrolling="no" src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.dailymotion.com%2Fembed%2Fvideo%2Fx5mcif4&url=https%3A%2F%2Fwww.dailymotion.com%2Fvideo%2Fx5mcif4&image=https%3A%2F%2Fs1-ssl.dmcdn.net%2FjcReK%2Fx240-bx0.jpg&key=8b7d8dd6504d41af9a77662672aabc2a&type=text%2Fhtml&schema=dailymotion" width="480"></iframe></div>
<p>Les trois « 13h15 » que France 2 consacre à Patricia Fagué entre 2012 et 2014 rassemblent chacun <strong>plus de 3 millions de téléspectateurs</strong>.</p>
<p>En 2013, Patricia Fagué présente sa propre émission sur Chérie 25. A cette occasion, elle rencontre le réalisateur <strong>Jérôme Jaffredo</strong>. Pendant un an, ils parcourent les routes du monde entier pour retrouver des disparus et réaliser des retrouvailles bouleversantes. « Dans l’espoir de se retrouver<strong> » </strong>bat chaque mercredi soir des records d’audience.</p>
<p>« J’ai découvert, sous son mètre 83, son amour sincère des gens, son tact pour les aborder, sa pudeur dans l’œilleton de sa caméra. Ces retrouvailles, entre des enfants et leurs parents pour la plupart, l’ont bouleversé et ont changé sa vie, comme elles avaient changé la mienne ce jour de 1992 où j’ai franchi la porte des bureaux de « Perdu de Vue ». Je lui avais transmis le virus ! »</p>
<p><em>Patricia</em></p>
<p>« Dans notre métier qui est parfois un peu superficiel, c’est une manière de continuer à faire mon travail tout en me sentant utile, en apportant une solution à des gens en détresse, en donnant du bonheur tout simplement. C’est ma priorité dans la vie, ma manière de participer à rendre le monde meilleur. Aujourd’hui, nous pensons que rendre ce monde meilleur passe par la dénonciation de cette injustice française : l’accouchement sous X. »</p>
<p><em>Jérôme</em></p>
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<img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/561598/Realisation.Web-1545829205.jpg" width="100%" /></p>
<p>Nous prenons le parti d’un <strong>documentaire incarné</strong>, raconté à la façon d’un <strong>polar</strong>, dans lequel Patricia « joue » son propre rôle.</p>
<p>Elle s’effacera pour laisser place aux témoins de l’histoire : les enfants volés, les mères biologiques, les parents adoptifs, les Institutions.</p>
<p>Nous optons pour une réalisation simple, allant à l’essentiel. L’accent sera mis sur les visages des protagonistes : nous voulons y lire leur histoire, leurs blessures et n’être captivés que par leur témoignage.<br />
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<p><img alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/561600/cineWeb-1545829899.jpg" width="100%" /></p>
<p>Ce documentaire n'est pas un film de commande.</p>
<p>C'est une réalisation <strong>100% indépendante</strong> et nous tenons à ce qu’elle le reste.</p>
<p>Le cinéma, tout en densifiant la dimension humaine des témoignages, reste à nos yeux le <strong>dernier espace de Liberté.</strong></p>
<p>La Liberté, c’est refuser de se laisser parasiter par des chartes, par des formatages, par des « enjeux ». C’est raconter cette histoire, cette réalité, avec notre regard, notre sensibilité, nos émotions.</p>
<p>Depuis 15 ans, Patricia n’a eu de cesse d’enquêter, à ses frais, pour retrouver les victimes – mères et enfants – et les responsables de ce trafic et recueillir leurs témoignages.</p>
<p>Réaliser ce film représente un gros investissement pour elle comme pour Jérôme.</p>
<p>La somme que nous allons récolter nous est <strong>vitale pour qu’il sorte de l’ombre</strong>. Elle nous permettra de commencer à le mettre en images. Pour cela, nous avons besoin en priorité de matériel technique (caméras, micros, etc.), et de régie (déplacements, nourriture et hébergements).</p>
<p>Si votre générosité dépasse le montant à atteindre, nous pourrons également commencer la première phase du montage : le dérushage (visionnage et retranscription de l’intégralité de ce qui a été tourné).</p>
<p>Nous espérons atteindre cet objectif en août 2019.</p>
<p>Après, il nous restera à compléter et finaliser les interviews, à lancer la recherche d'archives et à nous acquitter des droits nécessaires à leur utilisation. Nous pourrons alors envisager la rémunération des auteurs et techniciens, le montage et la post-production (mixage, étalonnage, sous-titrage), avant de pouvoir diffuser le film en salles de cinéma et en télévision, en DVD et dans les festivals.</p>
<p>Mais ça, ce sera après et nous vous en reparlerons.</p>
<p>Sur les sommes récoltées, 8% seront prélevés (5% pour les frais administratifs et 3% de frais bancaires).</p>
<p>L'intégralité des fonds sera perçue par Patricia Fagué, qui les redistribuera sur les différents postes.</p>