Notre projet

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Jaja la Fouine est une friperie. Mais pas sous n'importe quelle forme : nous voudrions créer une boutique ambulante. L'idée est donc d'acheter des vêtements, des accessoires de mode ainsi que des objets de décoration ayant déjà servi mais pouvant être utilisé à nouveau et de sillonner les routes du sud de la France pour pouvoir les vendre...

Nous avons toujours aimé nous habiller en friperie ou dans les vides greniers : on y trouve souvent des pièces uniques, originales et authentiques. Se mettre à genoux, fouiller dans des tas de vêtements et y dénicher des trésors, c'est notre truc... Mais il nous est souvent arrivé de trouver de belles choses que je ne pouvais pas acheter pour nous parce que la taille n'était pas la bonne par exemple. Alors nous nous sommes mises à acheter pour les autres... Il y a eu cette chemise qui nous a fait penser à Geoffrey et cette petite veste sur laquelle Justine a craquée. On se souvient aussi de ce Bombers que j'ai envoyé à Raphaël et de cette jupe que Margaux a finalement gardée. Alors en août 2015, nous avons créé une page sur les réseaux sociaux ou nous avons posté des photos de nos trouvailles. Nos amis ont été très réceptifs. Peu de temps après, nous avons vendu une paire de Creepers vernies à cette fille qu'on ne connaissais pas. C'est à ce moment là qu'on a su que ça pouvait marcher et que Jaja la Fouine est né !

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Jaja la Fouine aujourd'hui

Nous avons décidé de développer notre business via Facebook en août 2015. Nous avons créée une page Friperie - Jaja la Fouine Nous avons imaginé notre logo que Margaux a réalisé, avec l'aide d'amis graphistes. Elle s'occupe également de la communication.

Aujourd'hui, la « Friperie – Jaja la Fouine » c'est

- plus de 1 700 mentions « J'aime »

- en moyenne 3000 personnes atteintes toutes les semaines

- des publications vues par près de 17 500 personnes tous les mois

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Nos « fans » sont de véritables clients : nous réalisons des ventes très régulièrement que nous envoyons aux quatre coins de la France (et même, dernièrement, en Belgique)

Nous sommes également demandés sur des événements locaux : foires, rassemblements vintages et vide dressing...

Nous ne sommes pas seules dans cette aventure puisque très soutenues par notre famille : un papa directeur de travaux dans l'ouverture de magasins, une maman styliste modéliste, et un frère webmaster qui pourront tous les trois nous apporter leur savoir-faire.

Le produit et son marché

Nous nous spécialisons dans le retro/vintage : les objets et vêtements que nous vendons datent au plus tard des années 1990 et reflètent une authenticité, que ce soit par la marque, les techniques de couture ou les tissus/matériaux employés.

En plus de la nécessité de s'habiller, certaines personnes sont aussi des collectionneur d'articles vintages.

Les vêtements vintages sont également recherchés dans le domaine des arts et de la culture : certains comédiens ont besoin de s'habiller en fonction du rôle qu'ils doivent incarner.

Le marché des dépôts-ventes et des achats-ventes est en plein essor. Plusieurs facteurs contribuent à la bonne tenue de l’activité :

- la conjoncture économique : dans un climat économique difficile, les consommateurs doivent réaliser des arbitrages budgétaires. L’acquisition de biens d’occasion constitue une réponse à la nécessité de maîtriser son budget en réalisant des économies ou en accédant à des produits de luxe.

- les évolutions technologiques : les objets de consommation tendent à devenir dépassés très rapidement (effet de mode, nouvelles technologies). Ce phénomène incite les consommateurs à se tourner vers des circuits de distribution proposant des prix moins onéreux (magasins de hard discount, brocantes, dépôts-ventes, achats-ventes…).

- les évolutions sociologiques : depuis plusieurs années, le recyclage est à la mode. Ainsi, le troc répond à un changement des mentalités, et le consommateur, au lieu de jeter, n’hésite plus à vendre

Nous visons une clientèle dite « diffuse » : tout le monde pourrait être amené à entrer dans notre "fripes truck" sans critère d'age, de sexe, ni de classe sociale. Nos clients sont branchés, ils aiment la mode et sont sensibles à la culture rétro/vintage.

La friperie représente une alternative pour les consommateurs qui ont un faible pouvoir d’achat ou qui souhaitent consommer de façon plus responsable.

La clientèle dite « bobo » s'oriente de plus en plus vers les friperies : les produits qui y sont proposés sont dans l'air du temps.

Jaja la Fouine, premier "Fripes Truck" montpelliérain