La vague montante

Plus que 10 jours pour aider à la publication d’une extraordinaire et visionnaire nouvelle de Marion Zimmer Bradley, La vague montante

Project visual La vague montante
Successful
78
Contributions
14/06/2013
End date
€2.831
Out of €2.500
113 %

La vague montante

<p> <img alt="Vague" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/27419/vague.jpg"></p> <p>  </p> <p> <em>La vague montante </em></p> <p>  </p> <p> <strong>Financez le retour sur terre d'une expédition spatiale partie en 1955 !</strong></p> <p>  </p> <p> Nous travaillons sur la publication en septembre d’une extraordinaire nouvelle de Marion Zimmer Bradley, proche du roman par sa longueur, publiée pour la première fois en 1955, et intitulée en français <em>La vague montante</em> (traduction d’Élisabeth Vonarburg). Les droits d’auteur et les droits de la traduction sont en cours de négociation, mais nous n’avons pas assez d’argent pour lancer seuls ce projet.</p> <p>  </p> <p> Le passager clandestin est une maison d’édition de critique sociale entièrement indépendante, créée il y a six ans. Dans une perspective critique, notre propos est de mener collectivement un travail d’analyse, de réflexion et d’interpellation des consciences et des intelligences sur les impasses et les possibles de nos sociétés contemporaines.</p> <p>  </p> <p> En janvier 2013, nous avons décidé d’initier une collection d’anticipation et de science-fiction, genres particulièrement propices à la mise en question de la réalité sociale passée, présente et à venir.</p> <p>  </p> <p> La collection Dyschroniques exhume des nouvelles empruntées aux grands noms comme aux petits maîtres du genre, tous unis par une même attention à leur propre temps, un même génie visionnaire et un imaginaire sans limites.</p> <p> Ces textes nous intéressent parce qu’il y a 40, 50 ou 60 ans, ils ont interrogé la marche du monde, l’état des sociétés et l’avenir de l’homme, et qu’ils semblent, aujourd’hui, de façon troublante, nous parler de notre présent…</p> <p>  </p> <p> Dans chaque recueil de Dyschroniques, se trouve en bonus une « synchronique du texte », sélection de livres, films, événements historiques… contemporains de la rédaction de la nouvelle, et permettant de mieux situer le contexte dans lequel elle a été écrite.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Actusf" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23487/actuSF.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Quatre titres sont sortis début 2013 : </strong></p> <p> <em>Le testament d’un enfant mort</em> de Philippe Curval (le regard d’un nouveau-né sur un monde sans avenir) ;</p> <p> <em>La tour des damnés</em> de Brian Aldiss (une expérience sur la surpopulation aux proportions babyloniennes) ;</p> <p> <em>Un logique nommé Joe</em> de Murray Leinster (les dérives d’un réseau informatique mondial) ;</p> <p> <em>Le mercenaire</em> de Mack Reynolds (un monde où la guerre est conduite par les multinationales).</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dyschronik" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23491/dyschronik.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Et deux titres sortiront en juin :</strong></p> <p> <em>Où cours-tu mon adversaire</em> de Ben Bova (une expédition pionnière où la quête de soi se mue en choc des civilisations) ;</p> <p> <em>37° centigrades</em> de Lino Aldani (un ordre social ayant la soif de consommation et la peur de la maladie pour principaux piliers).</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> La presse SF nous a réservé un formidable accueil et a salué unanimement notre initiative et nos choix. Des journaux plus généralistes ont également remarqué certains titres ; Libération a salué <em>La tour des damnés</em>, et le Canard enchaîné a écrit au sujet d’<em>Un logique nommé Joe </em>: « Enfoncés, le grand Philip K. Dick et les autres ! »</p> <p> Les libraires ont également bien suivi ce projet, les ventes ont un peu démarré… et les réactions des professionnels comme des lecteurs nous confirment que cette entreprise de réédition était souhaitable et même nécessaire.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Planetesf" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23492/planetesf.jpg"></p> <p>  </p> <p> Néanmoins, il est difficile pour la petite maison d’édition que nous sommes de réunir les fonds qui permettront d’étoffer rapidement cette nouvelle collection. Chaque titre publié implique l’acquisition de droits sur les textes originaux et, dans la plupart des cas, sur leur traduction en langue française. Il s’agit de sommes qui alourdissent considérablement le budget de publication de ces livres. Nous souhaitons  publier au moins six ou huit titres par an, ce qui constitue un véritable pari pour notre entreprise éditoriale qui ne publie jusqu’ici, toutes collections confondues, que 15 à 20 titres par an.</p> <p>  </p> <p> C’est pourquoi nous recherchons aujourd’hui des personnes qui accorderont le même intérêt que nous à cette démarche.</p> <p> Nous mettons donc en œuvre une opération de co-production du nouvel ouvrage qui doit sortir en septembre.</p> <p> Si le financement réussit grâce à vous, le passager clandestin débutera fin juin le travail éditorial proprement dit (relectures, révision de la traduction et corrections, rédaction de la partie « synchronique du texte », création de la couverture, mise en page intérieure etc.).</p> <p> Si vous êtes contributeurs, vous pourrez recevoir le livre début septembre dans votre boîte aux lettres, quelques jours avant sa sortie en librairies.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><em>La vague montante</em></strong></p> <p>  </p> <p> Marion Zimmer Bradley est née en 1930, et le grand public connait surtout deux de ses grands cycles : <em>Les Brumes d'Avalon/Les Dames du lac</em> et <em>La Romance de Ténébreuse</em>. Peu de gens connaissent son parcours incroyable et sa production de nouvelliste et surtout d'anthologiste. <em>La vague montante</em> est une de ses premières nouvelles.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Marion-zimmer-bradley" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23494/marion-zimmer-bradley.jpg"></p> <p> © Modern Arts Studio</p> <p>  </p> <p> Un vaisseau parti coloniser le Centaure revient sur Terre après plusieurs centaines d'années ; l'équipage s'attend à trouver là une civilisation technologique extrêmement avancée, mais il découvre un monde où le concept de nations n'existe apparemment plus et où la science semble avoir disparu, au profit d'une économie primitive fondée sur la commune et l'agriculture.</p> <p> <em>« Si vous pouviez nous dire comment nous mettre en rapport avec le gouvernement ?</em></p> <p> <em>– Eh bien, dit le vieil homme d’un ton égal, il y a trois gouverneurs dans notre village, mais ils ne sont là que pour régler les heures de cours des écoles et celles du couvre-feu. Je ne voudrais pas les déranger pour une chose aussi ridicule. Je ne pense pas qu’ils auraient grand-chose à dire sur votre… ah oui, vaisseau spatial. »</em></p> <p>  </p> <p> A l'époque de sa publication (1954), cette nouvelle était originale non seulement parce qu’elle avait été rédigée par une femme (âgée de 24 ans à l'époque) mais aussi parce qu'elle abordait les thèmes de la conquête spatiale, du rapport à la Terre, au « progrès » et à la science d’une façon totalement inattendue. L’auteure fait dire à l’un de ses personnages : « Ce n’est pas la science que nous n’aimons pas, c’est l’usage qu’on en fait en la considérant comme une fin en soi, et non comme un moyen. » Ce n’est que dans les années 1970 que l'on a commencé à mesurer la portée philosophique de ce récit !... Celui-ci se lit aujourd’hui comme un texte visionnaire, dépeignant une société pacifiée et joyeuse, affranchie du dogme de la croissance et de l’emprise aliénante de la technologie. Une anticipation de plus de cinquante ans sur les analyses extrêmement actuelles des penseurs de la décroissance, dont le catalogue du passager clandestin se fait par ailleurs l’écho....</p> <p> Cette nouvelle n’a pas été éditée depuis vingt ans, et la dernière édition est épuisée chez l’éditeur.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Rebelles" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23502/rebelles.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Les particularités du passager clandestin</strong></p> <p>  </p> <p> Le passager clandestin est une maison d’édition indépendante composée de trois personnes, mais inscrite dans un tissu d’amitiés, de bonnes volontés et de solidarités beaucoup plus vaste.</p> <p> Le passager clandestin a commencé sa route en 2007 et entend bien la poursuivre. Notre catalogue compte aujourd’hui 75 titres. Le souffle de révolte qui agite l’air confirme que nous tenons le bon cap, et l’amitié d’un nombre croissant de lecteurs, que nous ne brassons pas des idées mortes…</p> <p> Le choix de l’édition indépendante, dont on sait qu’elle doit constamment lutter pour survivre, constitue, en soi, une prise de position. Cette indépendance est à la fois une condition et l’un des buts de notre activité. Elle repose sur un ensemble de pratiques et d’échanges peu formalisés, en prise directe avec les lieux et les gens.</p> <p> Chacun de nos livres a son histoire. Nous en suscitons beaucoup, nous en devons certains au hasard des rencontres, nous recevons parfois des manuscrits de qualité… La fabrication n’est qu’un aspect d’un processus initié bien avant la parution et qui se poursuit longtemps après.</p> <p> Nous nous imposons une ligne de conduite qui déroge aux pratiques de plus en plus courantes dans le milieu. À titre d’exemples : nous ne sommes pas à le recherche du « coup » éditorial ; nous imprimons en France ; nous pratiquons les prix les plus bas possibles.</p> <p> Nous ne croyons pas à un quelconque ordre immuable de la société. Nous dénonçons chaque fois qu’il est possible les fondements idéologiques d’un système qui se donne pour « naturel » et auquel il n’y aurait d’autre issue que de « s’adapter ».</p> <p>  </p> <p> Le passager clandestin aborde souvent des sujets réputés graves, mais nous n’avons aucun goût pour le dogmatisme et les « passions tristes ». Nos livres se veulent honnêtes, rigoureux ; ils exigent parfois un effort pour déplacer le regard. Mais notre activité se nourrit aussi de l’imagination, de la joie et de l’humour, sans lesquels ce monde ne serait décidément pas habitable.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Chronic" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23496/chronic.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Qui sommes-nous ?</strong></p> <p>  </p> <p> Le passager clandestin est composé de trois personnes : Nicolas Bayart, Dominique Bellec et Frédérique Giacomoni. Et pour l’occasion, Philippe Lécuyer a rejoint l’équipe en tant que directeur de collection.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Equipeb" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23499/equipeb.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Les livres déjà parus au passager clandestin, en dehors de la collection Dyschroniques :</strong></p> <p>  </p> <p> Des titres aussi divers que <em>La fabrique du féminisme, L’impératif de désobéissance, Do it yourself !, Désobéir à la voiture, Le droit à la paresse, Quinze jours au désert, Désobéir par le rire</em>…</p> <p> Pour tout voir, rendez-vous sur notre site : <a href="http://www.lepassagerclandestin.fr" target="_blank">www.lepassagerclandestin.fr</a></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Galaxies" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23500/galaxies.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Obskure" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23501/obskure.jpg"></p>

Allocation of funds

<p> <strong>Comment se décompose le financement du livre ?</strong></p> <p>  </p> <p> Sur cet ouvrage, nous devons payer les postes suivants :</p> <p>  </p> <p> Impression 2 850 €</p> <p> Maquette de couverture 600 €</p> <p> Maquette intérieure 300 €</p> <p> Relecture et corrections 300 €</p> <p> Droits pour le texte 1 400 €</p> <p> Droits de traduction            200 €</p> <p> Frais de structure Kiss Kiss Bank Bank 200 €</p> <p> Total 6 1 50 €</p> <p>  </p> <p> Nous recherchons encore 2 500 € pour mener à bien notre projet, sur les 6 150 € nécessaires en tout.</p> <p> La publication de cette nouvelle dépend donc de votre participation.</p>

Rewards

€8

  • 16 contributions
Recevez le livre La vague montante de Marion Zimmer Bradley chez vous, quelques jours avant sa sortie en librairie, dédicacé par le directeur de la collection Dyschroniques.

€19

  • 3 contributions
La même chose que pour 8 euros + le livre La Troisième Lame d’Ayerdhal (éditions ActuSF).

€20

  • 22 contributions
La même chose que pour 8 euros + 2 livres au choix parmi les 6 titres déjà parus dans la collection Dyschroniques.

€30

  • 18 contributions
La même chose que pour 8 euros + 3 livres au choix parmi les 6 titres déjà parus dans la collection Dyschroniques + votre nom en page de remerciements dans l’ouvrage.

€50

  • 8 contributions
La même chose que pour 8 euros + 4 livres au choix parmi les 6 titres déjà parus dans la collection Dyschroniques + votre nom en page de remerciements dans l’ouvrage + nous vous envoyons les projets de couvertures de l’ouvrage et vous participez avec nous au choix final.

€100

  • 5 contributions
La même chose que pour 8 euros + les 6 titres déjà parus dans la collection Dyschroniques + votre nom en page de remerciements dans l’ouvrage + le BAT (bon à tirer) de la couverture + si vous habitez Paris ou que vous pouvez vous y rendre à vos frais, une visite chez l’éditeur.

€500

  • 1 contribution
La même chose que pour 8 euros + votre nom en page de remerciements dans l’ouvrage + si vous habitez Paris ou que vous pouvez vous y rendre à vos frais, une visite chez l’éditeur + l’ensemble du catalogue du passager clandestin, à l’exception des titres épuisés, soit 75 ouvrages à ce jour.

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