Les lettres de Mathilde

Comme autant de lettres à la mer

Project visual Les lettres de Mathilde
Successful
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Contributions
28/02/2021
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The publications

Marie-Luce MAUPETIT est née le 14 août 1962, à Fontenay-le-Comte, en Vendée. Les récits de sa grand-mère Juliette ont bercé son enfance. La légende de la fée Mélusine et des histoires de sorcellerie à faire dresser les cheveux sur la tête ont forgé son imaginaire. Enfant, Marie-Luce dessinait, modelait l’argile prise à la tuilerie de ses grands-parents et aimait s’inventer des histoires. En 1980, un bac littéraire en poche, elle s’inscrit aux Beaux-Arts de Nantes, mais n’y reste pas longtemps : trop académique. Touche à tout, elle s’initie alors à différentes techniques : huile, encre, pastel, collage… et suit des cours de bande dessinée à l’Université de Paris VIII. En 1985, Marie-Luce part pour le Québec. À Montréal, elle étudie le théâtre, mais retourne bien vite à ses premières amours : les arts plastiques. En 1987, elle obtient une Mineure en arts visuels de l’Université de Montréal (30 crédits - 10 cours) et en 1989, un Baccalauréat (Licence) en sculpture de l’Université du Québec À Montréal. Les artistes à l’école.En 1986, très active dans le milieu des arts, elle monte une ligue d’improvisation picturale. De 1989 à 1992, elle crée avec le marionnettiste, André Meunier, et le compositeur, Bernard Épaud, plusieurs spectacles multimédias. Elle expose au Québec, au Canada et à New York et travaille aussi dans différents musées. Pour le Musée McCord, elle monte le programme d’activités culturelles qui s’adresse au grand public et aux familles. Marie-Luce donne également des ateliers d’art aux enfants et aux adolescents et participe au programme du Ministère de la Culture : La lune est à moi, une pièce pour les 4 à 8 ans, qui sera jouée à maintes reprises dans différents festivals et durant toute la période des fêtes à la Maison Théâtre de Montréal, en 2013.En côtoyant les enfants et les adolescents, l’envie d’écrire pour eux s’impose avec force. Dans les années 2000, Marie-Luce trouve dans la télévision jeunesse, un terrain de jeu à la mesure de ce qui l’habite. Autodidacte dans l’âme, elle apprend le métier de scénariste en remettant cent fois ses scénarios sur le clavier. Animation, marionnettes ou live action, là encore, elle touche à tout et travaille pour de nombreuses séries pour enfants. Pour le Théâtre de l’Avant-Pays, elle écrit Les lettres de Mathilde.En 2014, pour des raisons familiales, Marie-Luce revient en France, aux Sables d’Olonne où, pour Ouest France, elle rédige régulièrement des chroniques depuis 2015. Tout en continuant à travailler pour la télévision jeunesse, Marie-Luce écrit : Iliakouma, les années d’enfance (tome I d’une saga fantasy) et un roman épistolaire :
" On prend le passeur pour y aller... " ...
« Quelle belle idée, tellement charmante. J’ai passé de bien beaux moments avec tes personnages. J’ai beaucoup aimé ton idée de correspondance entre tes deux personnages principaux, mais avec un échange épistolaire plus classique d’un côté, celui de Mathilde et, de l’autre, pour les réponses de Lucile,  le contenu que l’on raconte et le quotidien qui s’y mélange. J’ai trouvé cette construction très ingénieuse et originale, tout comme l’ajout d’illustrations que tu as parsemées au travers du texte. Tes personnages sont très attachants et tu sais bien ménager un certain suspens tout au long du récit, que tu distilles au compte-gouttes et sans rien révéler trop rapidement... Et puis, tant à Paris qu’aux Sables-d’Olonne, tu as le don de nous donner l’impression qu’on y est. Ton écriture est très imagée, très fluide, on se laisse littéralement emporter. J’ai retrouvé tellement d’éléments de toi, de ton histoire dans chacun de tes personnages, c’est fou. Merci, Marie-Luce, pour cette belle lecture tellement agréable. Je suis passée à travers d’une traite avec énormément de plaisir. Un rayon de lumière dans toute cette tristesse ambiante!!! » Natalia Stefanescu-Hluza