Precious Ridiculous

<p> <em><strong>Precious Ridiculous</strong></em> a été créé en janvier 2014 à Marseille au Théâtre du Gymnase - direction Dominique Bluzet.</p> <p> Après <em>Poucet, le Temps des Mensonges</em>, et <em>Rouge</em>, d'après Charles Perrault, la toute jeune <strong>macompagnie</strong> garde les pieds au XVIIe siècle et s'approprie <em>Les Précieuses Ridicules</em> de Molière.</p> <p>  </p> <p> <img alt="1618700_3911809410394_316531388_n" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/87028/1618700_3911809410394_316531388_n.jpg"></p> <p>  </p> <p> Un piano mobile, quatre acteurs à roulettes, des crinolines en corde de piano, des livrées en plastique de récupération…</p> <p> Nos Précieuses veulent s’émanciper, elles chantent, apprennent l’anglais, fabriquent leurs propres cosmétiques. Fashion-victims avant l’heure, elles clament leur indépendance avec maladresse.</p> <p> La pièce ne se prive pas d’extrapoler, elle dérive vers le rock-pop contemporain. Et si la joyeuse équipe de <strong>macompagnie</strong> bouleverse parfois la lettre, elle reste fidèle à l’esprit pétillant et volubile du premier succès de Molière.</p> <p> A love story of freedom and theater, a light and whimsical and scarce and precious performance!</p> <p>  </p> <p> <strong>Mise en scène</strong> : Jeanne Béziers assistée de Pierre-Yves Bernard</p> <p> <strong>Musique </strong>: Martin Béziers</p> <p> <strong>Chorégraphies </strong>: Marine Cheravola</p> <p> <strong>Décors </strong>: Stéphanie Mathieu</p> <p> <strong>Costumes </strong>: Christian Burle</p> <p> <strong>Lumières </strong>: Jean-Bastien Nehr</p> <p> <strong>Son </strong>: Cédric Cartaut</p> <p> <strong>Régie </strong>: Sebastien Ortéga-duchêne</p> <p> <strong>Photographies </strong>: Lau Hebrard</p> <p> <strong>Les précieuses</strong> : Jeanne Béziers, Nadine Béchade</p> <p> <strong>Les pianistes</strong> : Martin Béziers, Gilles Favreau</p> <p>  </p> <p> <img alt="1607121_3911813450495_969326762_n" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/87029/1607121_3911813450495_969326762_n.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>La Presse en parle...</strong></p> <p>  </p> <p> « Un décor loufoque et transformiste à l’image de la création de Jeanne Béziers qui, avec Precious Ridiculous revisite Molière à sa façon : baroque, chantante, bigarrée.</p> <p> Dans ce bazar assez charmant, changeant comme une boule à facettes, l’énergie des comédiens y explose avec beaucoup de grâce juvénile. Juché sur des roulettes, le quatuor zigzague à toute allure sur le plateau.</p> <p> Grâce à un piano mobile, la musique est partout, comme les parties en anglais, les chansons viennent ajouter un côté adolescent à l’aventure rythmée de ces donzelles en rébellion. Precious Ridiculous regarde avec liberté et ironie vers son époque.</p> <p> Ce classique passe comme un clin d’œil malicieux. » (La Provence - Janvier 2014)</p> <p>  </p> <p> « Jeanne Béziers adapte et met en scène le texte de Molière, sur une musique de son frère Martin Béziers, avec fraîcheur et subversion, comme à son habitude. (…) Glissant de la musique de chambre au rock, Jeanne Béziers rend un hommage burlesque et tragique à la féminité. » (Zibeline - Janvier 2014)</p> <p>  </p> <p> « Jeanne Béziers emboîte vaillamment le pas à Molière et transforme le titre de la pièce en se moquant de la manie actuelle des anglicismes. Elle a utilisé d’ailleurs pour les chansons une traduction anglaise du XIXe siècle, et c’est succulent !</p> <p> Cela se fait en musique, sur un escalier de bois, clin d’oeil à celui du Music Hall. Jeanne Béziers et Nadine Béchade s’en donnent à coeur joie en Magdelon et Cathos. (…) La séduction se passe en musique dont la composition et les arrangements sont dûs à Martin Béziers. Une musique qui va de la musique de chambre au rock, la musique du diable ! Il faut le voir arriver en Vicomte de Jodelet, chantant la tyrolienne ! Il partage le piano avec Gilles Favreau qui joue Mascarille avec panache. Car c’est à quatre que se joue cette pièce pour 9 personnages ! Et l’on admire au passage les astuces qui permettent de passer rapidement d’un personnage à l’autre comme l’on est séduit par les trouvailles de Christian Burle, créateur des costumes, qui connaît l’art de transformer instantanément un abat-jour en crinoline… »</p> <p> (Zibeline - Février 2014)</p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="1014082_3913801660199_80103204_n" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/87031/1014082_3913801660199_80103204_n.jpg"></strong></p> <p>  </p> <p>  </p>