Ruches des villes, ruches des champs

<p> J’ai 58 ans et j’ai exercé différents métiers. Paysagiste pendant 15 ans, j’en ai gardé un goût prononcé pour les jardins, la nature et l’environnement. D’ailleurs, je ne suis pas tant à ma place que lorsque je suis dehors, en plein air. Puis, j’ai basculé dans un autre monde, celui de la formation pour adultes, cela depuis plus de 20 années maintenant. Une activité où les interactions me font souvent penser à une ruche, sans le miel. Mon parcours professionnel devrait prendre fin d’ici 2 à 4 ans et déboucher, je l’espère, vers une retraite active et fructueuse. Ayant butiné tout l’hiver, je ne compte pas m’arrêter de sitôt, quand vient le printemps tant attendu. Fasciné depuis tout petit par les insectes eusociaux (fourmis, abeilles), j’ai eu l’occasion de croiser en 2012 un apiculteur professionnel à Montreuil sous-bois (93) où je réside et de suivre avec lui la formation d’apiculteur proposée dans le cadre du Rucher-Ecole de la commune (voir attestation ci-dessous).</p> <p>  </p> <p> <img alt="2014-03-19_16.11.16" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/77221/2014-03-19_16.11.16.jpg"></p> <p>  </p> <p> J’ai franchi le cap et ai installé une ruche dans mon jardin de ville en mai/juin 2013 (ci-dessous). J’espère faire ma première récolte de miel à la fin de ce printemps…</p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_0423" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/74641/IMG_0423.jpg"></p> <p>  </p> <p> Quelques lectures plus loin et quelques piqûres aussi (mon œil, vous n’y croyez pas), le « métier » qui rentre, la pratique de cette activité devient une passion...</p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_0460" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/74642/IMG_0460.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Mon Objectif : Contribuer à la préservation de la biodiversité à mon micro niveau (le bruissement des ailes… du papillon… ou des abeilles !!!) dans des environnements très différents.</strong></p> <p>  </p> <p> Pour cela, je souhaite développer ce cheptel.  A la ville en complétant le rucher actuel avec une seconde ruche.</p> <p> Et disposant d’une petite maison en Bourgogne et d’un jardin, je souhaite aussi y installer une ruche pour en faire un petit laboratoire et comparer la vie des colonies dans des environnements écologiques totalement opposés. L’un, en ville, avec une grande diversité de fleurs à butiner, l’autre, à la campagne, avec des zones boisées, des haies vives et les monocultures locales.</p>