EDIT 14/01/21 - La campagne du double-numéro Gremlins est une réussite. Merci du fond du coeur pour la confiance que vous accordez à notre modèle 100% indépendant, sans kiosque et sans pub. Si vous avez manqué la campagne, sachez que quelques exemplaires sont maintenant dispos sur notre shop.

//

Le nouveau S!CK magazine arrive juste à temps pour tomber sous votre sapin. Au menu, un double-numéro de 164 pages sans aucune publicité, bourré d’analyses pop culture, entre sorties récentes et oeuvres cultes. Avec cette fois-ci non pas une, mais deux couvertures différentes, dédiées aux mythiques GREMLINS !

À peine remise de la réussite de notre campagne AKIRA, la rédaction du magazine a mis les bouchées doubles pour donner vie à un nouveau numéro chargé à bloc, disponible juste à temps pour les fêtes de fin d’année. Pour l’occasion, la couverture se pare d’un duo de visuels recto-verso créés par l’artiste canadien Samuel Ho, en exclusivité pour ce numéro. Notre volonté reste inchangée : parler de culture sans frontière de genre ou de médium, et créer des ponts entre les oeuvres.

Du cinéma blockbuster aux jeux vidéo indépendants, des séries cultes à la musique engagée, en passant par la pertinence des comics et des mangas, nous explorons la culture sous un angle transversal. Le but ? Apporter un regard alternatif, passionné et parfois décalé. Nous ne pouvions pas être plus fier de vous présenter ce numéro aujourd’hui : ces dernières semaines furent longues, et les nuits furent courtes. EDIT : Les mags viennent d'arriver à la rédaction ! Nous sommes tellement heureux du résultat final ! Il nous tarde de partager ça avec vous.

Cette campagne, c’est aussi l’occasion d’affirmer plus que jamais l’indépendance de notre média, qui n’appartient à aucun grand groupe, et s’est complètement affranchi du diktat de la publicité. Notre vision de la presse culturelle prend vie loin de la surproduction étouffante du système des kiosques, et de la grande distribution. Il n’y a pas de publicitaire non plus, pas d’investisseur à qui rendre des comptes. Juste vous, et nous. Une rédaction et ses lecteurs.

Depuis 16 numéros, l’indépendance est un combat de tous les instants, et c’est aussi pour ça que nous souhaitons par le prisme de cette campagne, afficher notre soutien le plus inconditionnel aux librairies indépendantes, qui ont traversé une période très compliquée. La mise en valeur de ces lieux est primordiale à nos yeux, parce que la transmission de la culture mérite mieux que des entrepôts sans âme et une armée d’algorithmes. Depuis plusieurs semaines, nous mettons en avant nos partenaires libraires sur les réseaux de S!CK à l’aide du hashtag #SickPourLesLibrairies. Pour cette campagne, nous avons décidé d’aller encore plus loin en proposant les frais de ports offerts à toutes les commandes qui seront retirées dans une librairie indépendante. Le fonctionnement précis est détaillé dans notre rubrique F.A.Q.

Pourquoi Gremlins est-il devenu un tel classique ? Ce dossier, on l’a d’abord abordé par le prisme des influences, parfois contradictoires, qui ont fini par assembler le classique que l'on adore. La plume de Chris Columbus, la patte de Joe Dante, l’influence de Spielberg et de sa machine à rêves, les musiques de Jerry Goldsmith, les effets-spéciaux sensationnels de Chris Walas… Tous ces talents se conjuguent au service d’un film marqué par les opposés. D’un côté, la candeur, la douceur d’une comédie familiale. De l’autre, l’anarchie, les monstres balancés au micro-ondes, l’horreur et le gore ! La fourrure soyeuse de Gizmo, ou le sadisme chaotique du méchant Stripe ? Il fallait bien deux covers différentes pour rendre justice au plus bipolaire des films de Noël !

>

Au sommaire de ce dossier de 50 pages, on retrouve (entre autres) :

- « A Christmas Chaos », un long format de 10 pages sur la dualité presque contradictoire des films Gremlins, qui se situent quelque-part sur l’étrange frontière entre candeur et anarchie. Entre comédie familiale et film d’horreur décérébré.

- Une longue exploration sur la divine comédie de Joe Dante, et plus particulièrement sur sa fascination des images, sa manière de saccager le quatrième mur, et son goût prononcé pour la satire à ciel ouvert, qui tire à boulets rouges sur l’industrie hollywoodienne.

- Vous découvrirez les origines du script de Chris Columbus (qui promettait à l’origine un récit autrement plus cynique), avant de basculer dans la bande-son de Jerry Goldsmith, qui a su embrasser l’univers Gremlins dans tous ses paradoxes.

- On revient également sur l’influence colossale de Steven Spielberg et de la maison Amblin dans « L’infernale machine à rêves », qui traite autant de la genèse de Gizmo que de tout l’aspect merchandising du film.

- Enfin, vous en apprendrez plus sur ce qui reste à nos yeux l’un des aspects les plus passionnant des films : la conception des Gremlins en eux-même, qui restent des prouesses en termes d’effets spéciaux et de poupées animatroniques.

Le timing de ce numéro est un peu spécial, puisque nous avons prévu de faire une première salve d’envois des magazines en milieu de campagne, pour celles et ceux qui souhaitaient découvrir ce double-numéro Gremlins au moment des fêtes. Ce qui veut dire que cette fois-ci, nous ne pourrons pas prévoir des pages supplémentaires dans les paliers du magazine. Nous avons donc décidé de prendre un risque, en partant directement sur 164 pages à la place des 150 prévues dans la maquette d’origine ! On retrouve aussi une nouvelle rubrique qui nous tenait à coeur : « Arcade Fever », qui se plonge dans un grand classique de l’ère arcade. Vous retrouverez également nos classiques comme « Lyrics au Scalpel », « Histoire d’une fin », la « Jaquette d’album » et une « Ordonnance » pop chargée comme jamais, pour ne rien manquer des sorties.

>

Dans la suite du sommaire de ce numéro, on retrouve aussi :

- « Joker Joker Joker », triple dose du bouffon de l’apocalypse dans la première triple review de l’histoire de S!CK. Le némésis de Batman fait son grand retour dans trois comics différents, qui étoffent toujours plus loin la mythologie du plus grand méchant de la pop culture.

- Pourquoi le Homelander de The Boys est-il le Superman que la décennie 2020 mérite ?

- On a également revisité l’incroyable Transmetropolitan à la lumière de 2020. Plusieurs décennies après sa genèse, le classique post-cyberpunk de Warren Ellis est effroyable de véracité.

- Journal de runs sur Hadès, la nouvelle divinité des Rogue-Lite

- Le « Plan Culte » décortique le plan séquence qui règne sur tous les plans séquences. Un homme, un couloir, un marteau : pourquoi Old Boy reste une leçon de maîtrise absolue ?

- Aux racines de la torture, on s’est replongé dans le péché originel de Demon’s Souls.

- Enfin, vous découvrirez également des dizaines de critiques / analyses sur le cataclysme du dernier Deftones, la pertinence de Marilyn Manson, Peninsula, Watch Dogs Legion, Gorillaz, les musiques de Manhunt, le générique de Dark, Lovecraft Country, Euphoria, la fin traumatisante des Soprano, une nouvelle recette déjantée, des comics inédits et bien d’autres surprises…

Depuis sa création, S!CK c’est aussi 15 numéros de 150 pages. 15 couvertures exclusives, pour 15 sujets qui brassent le spectre de la culture pop de long en large. Dans l’ordre décroissant, on retrouve les numéros Akira, Tony Hawk, Friday the 13th, Keanu Reeves, Mortal Kombat, Hannibal Lecter, Jackie Chan, Crash Bandicoot, Futurama, X-Files, Silent Hill, Jim Carrey, Joker, Malcolm in the Middle et Evil Dead. Ce sont nos enfants, nous en sommes très fiers, et ils sont encore disponibles dans certaines contre-parties. Attention : le numéro #001 est en rupture de stock pour les ventes à l'unité (il en reste tout juste assez pour les intégrales).

S!CK soutient l'indépendance avec le double-numéro Gremlins

Our commitments