A l'Aube de la Création

"A l'Aube de la Création" est le premier spectacle de la Compagnie du Poisson qui Pique qui va se créer au Théâtre du Guichet Montparnasse du 5 septembre 2012 au 11 janvier 2013. Mise en scène de Pauline Pécou assistée de Marion Soffiotti. Ecrit par Zack Naranjo. Avec Hugo Le Guen, Alice Mesnil, Brice Landwerlin, Zack Naranjo, Camille Fievez, Christopher Bayemi, Fanny Lucet et Ronny Mottura.

Visuel du projet A l'Aube de la Création
Réussi
33
Contributions
07/09/2012
Date de fin
2 030 €
Sur 2 000 €
102 %

A l'Aube de la Création

<p> <strong>" A l'Aube de la Création" est une comédie en trois actes qui met en scène huit personnages plongés au coeur de l'irrationnel.</strong></p> <p>  </p> <p> <img src="http://img11.hostingpics.net/pics/691987IMAGEKIKBBK.jpg"></p> <p>  </p> <p> <u><strong>L'HISTOIRE</strong></u></p> <p>  </p> <p> <strong>Martin Gasso est un écrivain raté confronté à l'échec permanent de tout ce qu'il entreprend, tant d'un point de vue professionnel que social. Humilié une nouvelle fois par son rival, quitté par sa compagne et menacé par son éditeur, Martin se met en tête d'écrire LE chef-d’œuvre ultime pour se racheter un honneur auprès de tout son petit monde. Mais sa création va vite le dépasser, de la manière la plus étrange qui soit...</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/556534KIKOU2.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>NOTE D'INTENTION DE L'AUTEUR</strong></u></p> <p>  </p> <p> L'ambition première dans l'écriture de cette pièce est née de l'envie d'un théâtre pluriel, empruntant autant à l'efficacité et la rythmique des grandes comédies populaires qu'à l'univers plus sensuel du Théâtre de l'absurde, assorti d'un goût immodéré pour les mots et les histoires.</p> <p>  </p> <p> Il y a donc huit comédiens sur le plateau, ce qui ne semblait pas chose facile mais qui était inhérente à l'histoire que je voulais raconter. C'est avant tout une pièce sur la dualité de l'artiste et ses contradictions perpétuelles, constamment tiraillé entre l'expression brute de son Art et la nécessité de plaire au plus grand nombre.</p> <p>  </p> <p> J'ai tout simplement essayé d'imaginer la pièce que j'aurais eu envie d'aller voir, en gardant pour ligne de conduite de m'éloigner au mieux des thèmes trop souvent brassés dans le milieu du café-théâtre contemporain ; que le jeu des acteurs soit sur un fil tendu entre leur folie douce - puisque chaque rôle est écrit pour eux - et la troublante humanité de leur personnage.</p> <p>  </p> <p> Pour conclure, il m'apparaît nécessaire de raconter cette histoire d'auteurs aujourd'hui, au moment même où l'industrie du livre est au plus bas. Dans ce contexte, les bureaux de cette maison d'éditions apparaissent comme de petits bunkers où doit s'organiser la survie, le changement.</p> <p>  </p> <p> <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/265510KULUKUKU.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>QUI SOMMES-NOUS ?</strong></u></p> <p>  </p> <p> <strong>ZACK NARANJO, auteur (à gauche sur la photo ci-dessous)</strong></p> <p> Zack tombe amoureux du Théâtre en 1997 et ne cesse de le draguer depuis. Il passe dix ans au Studio de Monaco puis trois ans à l’Académie des Arts de la Colle sur Loup où il rencontre son mentor, Sir Raphaël Boyes. Parallèlement à cet apprentissage intensif, il monte plusieurs pièces de théâtre avec ses amis, comme <em><strong>L’entourloupe</strong></em> de Alain Reynaud-Furton et <em><strong>Classe terminale</strong></em> de René de Obaldia (toutes deux dirigées par Sébastien Wagner), et interprète en parallèle des textes de Brel, Barbara, Brassens, Bécaud et Ferré dans les salles et dans la rue. Rapidement, Zack passe néanmoins dans ce qu’on appelle dans le milieu du Théâtre « le côté obscur » : le one-man show, qui fait naître trois spectacles. Mais las de la nouvelle industrie du rire, il revient au théâtre avec<strong> <em>Le Cabaret sans nom</em></strong>, une comédie-musicale qu’il écrit et met en scène. Il quitte ensuite son Sud natal pour la Ville-Lumière où il est à l’affiche de La comédie du <em><strong>Roi se meurt</strong></em>, d’après Ionesco, dans une mise en scène de Jean-Marc Molinès et de <em><strong>J’aimais tant… J’aime les contradictions</strong></em>, inspiré par la vie et l’œuvre d’Egon Schiele, dans une mise en scène de Stéphanie Fumex. Fort d’un entourage solide, il devient Président de la Compagnie du Poisson qui Pique et entame avec eux la production d’ « œuvres-maison » pour le théâtre (<em><strong>A l’aube de la création</strong></em> et prochainement <em><strong>Ne pas jeter sur la voie publique</strong></em>, en collaboration avec Hugo Le Guen), la télévision et le cinéma.</p> <p>  </p> <p> <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/881339KIKOU.jpg"></p> <p>  </p> <p>  <strong>ALICE MESNIL </strong><strong>(à droite sur la photo ci-dessus)</strong></p> <p> Armée d’une paire d’yeux verts qui pétillent et d’une gouaille désarmante, Alice rencontre les voies du Théâtre en 1993 au Cours d’Art Dramatique André Malraux. En 2006, elle rejoint les rangs du Cours Florent, jusqu’en 2009 où elle décroche le Prix du Meilleur Rôle Féminin dans un Second Rôle. En véritable passionnée de théâtre, elle à joué de son petit minois dans nombre de pièces comme <em><strong>La grande école</strong></em> de Jean-Marie Besset, dans une mise en scène de Patrice Martre, <em><strong>Un fil à la patte</strong></em> de Georges Feydeau – présenté en Avignon Off l’année dernière – et mise en scène par Marine Assaiante ou encore <strong><em>Se mordre</em></strong> de Pierre Notte, mise en scène par Svetlana de Cayron. Jamais rassasiée d’expériences, Alice à également tourné quelques courts-métrages dont <strong><em>Somnia </em></strong>de Kévin Laurent et <strong><em>L’envol</em></strong> de Patrice Martre. En 2008, elle décroche le rôle de Marie dans <strong><em>Des poupées et des anges </em></strong>de Nora Hamdi, aux côtés de Samuel Le Bihan, Leïla Bekhti et Sami Nacéri.</p> <p>  </p> <p> <strong>HUGO LE GUEN </strong><strong>(au milieu sur la photo ci-dessous)</strong></p> <p> Tout petit, Hugo se projette déjà sur les planches des plus grands théâtres de France et de Navarre. Ce pourquoi il intègre le Cours Florent en 2005, qu’il quitte en 2008 pour prendre son envol sur l’objet de son désir : les planches. Pyromane malgré lui, il les incendient notamment dans<strong><em> Contre Guitry, tout contre</em></strong> au Théâtre des Deux-Rêves, <strong><em>MacBeth</em></strong> de Shakespeare, Kvetch de Berkoff – où il transcende le rôle de la Grand-Mère – présenté en Avignon Off, et <strong><em>Y’a comme un X</em></strong>, de David Sauvage, qu’il joue encore actuellement au Théâtre Clavel. Côté caméra, Hugo apparaît dans <em><strong>Taboulé-Magazine</strong></em> de Pierre Parlato,<strong><em> La réplique</em></strong> et <em><strong>Chante ou crève</strong></em> de Raphaël Saïer. Ce dernier le met en scène dans le one-man show <em><strong>M.D.R. et fier de l’être</strong></em> dont il est l’auteur. Il écrit également plusieurs pièces de théâtre, comme <strong><em>Les crimes de</em></strong> <strong><em>Camden Town</em></strong>, <em><strong>Ces femmes</strong></em>, <em><strong>Ne pas jeter sur la voie publique</strong></em> (en collaboration avec Zack Naranjo) et prochainement d’une série destinée au web <em><strong>Depuis que je vis seul</strong></em>, librement inspirée de ses propres mésaventures de grand enfant.</p> <p>  </p> <p> <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/464461KAKIKO.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>BRICE LANDWERLIN</strong> <strong>(à droite sur la photo ci-dessus)</strong></p> <p> La silhouette longiligne de Brice démarre le Théâtre en 2004 et il devient comédien titulaire de l’Amphitryon Théâtre, qu’il quitte en 2010 pour les verts pâturages du Cours Florent. Tout droit venu des côtes Toulonnaises, il affronte les spectateurs dans plusieurs pièces, comme <strong><em>Rhum Cannelle </em></strong>de Patrice Giacchi, <em><strong>Croque-Monsieur</strong></em> de Marcel Mithois, <strong><em>La bonne adresse</em></strong> de Marc Camoletti, il interprète Christian dans <strong><em>Cyrano de Bergerac</em></strong> d’Edmond Rostand et <strong><em>Vu du pont </em></strong>d’Arthur Miller où il interprète Rodolpho, un doux sobriquet qui lui va si bien. S’ensuivent quelques courts-métrages dont <em><strong>Cher(e) voisin(e)</strong></em> de Zhéva Bloud et <strong><em>Le gaffeur</em></strong> de Patrice Giacchi. De nature discrète, on apprend pourtant que Brice est également titulaire d’une licence de finance et qu’il est un ancien membre de la Société Française de Prestidigitation. La magie, il en faut pour créer le personnage mythique de <em><strong>John Parker</strong></em>, shortcom où il tient le rôle-titre.</p> <p>  </p> <p> <strong>CAMILLE FIEVEZ</strong> <strong>(à droite sur la photo ci-dessous)</strong></p> <p> Lorsque le regard perçant de Camille se porte sur le Théâtre en 2008, il est déjà trop tard pour le Théâtre. Elle intègre alors le Conservatoire d’Art Dramatique de Créteil qu’elle quitte en 2010 pour le Conservatoire d’Art Dramatique du 10ème Arrondissement,  où elle est dirigée dans <em><strong>Papa doit manger</strong></em> de Marie N’Diaye et <em><strong>Face de cuillère</strong></em> de Lee Hall. Camille apparaît également dans le court-métrage <strong><em>Mel aux allumettes </em></strong>avec l'équipe du Cent-Quatre. Egalement titulaire d’une licence de physique, Camille a par ailleurs passé six ans au Conservatoire de Maisons-Alfort, occupée à hanter les touches d’un piano.</p> <p>  </p> <p> <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/258151KOKOK.jpg"></p> <p>  </p> <p> <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/840816KOKU.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>FANNY LUCET</strong> <strong>(à droite sur la photo ci-dessus)</strong></p> <p> Sans doute consciente de son imparable pouvoir comique, Fanny le met à profit en 2008 en rejoignant l’Atelier de Fanny Vallon puis le Cours Florent où elle reste et excelle jusqu’en 2011. Elle se consacre par la suite à l’apprentissage de son métier sur les planches, comme par exemple dans <em><strong>Sens unique</strong></em> de Joël Dragutin, <strong><em>L’école des veuves</em></strong> de Jean Cocteau ou encore récemment dans <em><strong>Un crime dans une maison de fous</strong></em> d’André de Lordre où elle interprète La Bossue. Fanny accepte aussi d’irradier l’écran dans quelques courts-métrages dont Chrysalide de Nicolas Vasseur, <em><strong>Le jour où tout a basculé</strong></em> de Yannick Adam de Villier et <strong><em>Les marches du paradis</em></strong> de Gérard Grégory. Prochainement, elle jouera Angélique dans <strong><em>Nationale 666 </em></strong>de Lilian Lloyd, mise en scène par l'auteur.</p> <p>  </p> <p> <strong>RONNY MOTTURA</strong> <strong>(à gauche sur la photo ci-dessus)</strong></p> <p> Sûrement dû à une nature profondément contemplative et un besoin viscéral de raconter des histoires, Ronny atteint la Révélation Suprême : celle de devoir réaliser des films. Pour cela, cet héritier de la culture amérindienne intègre l’ESRA de Nice en 2007 et passe trois ans à apprendre les rouages du métier, qu’il combine avec des cours de théâtre au Studio de Monaco. Il travaille notamment sur le court-métrage <strong><em>Nous ne serons plus amis </em></strong>de Ludovic Ropars puis sur une publicité Mekken réalisée par Julien Loeffler. Il continue donc de scruter depuis les coulisses les différents corps de métier en devenant régisseur, puis documentaliste pour la télévision puis assistant-metteur en scène. Il écrit et réalise également de nombreux courts-métrages (dont beaucoup en stop-motion) et prochainement la série <em><strong>Objection !</strong></em> co-produite par la Compagnie du Poisson qui Pique, dont il est aussi Vice-Président.</p> <p>   <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/760160KAKAKAKI.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>PAULINE PECOU, metteure en scène (à droite)</strong></p> <p> Après un parcours scolaire classique, Pauline entre en hypokhâgne A/L en 2008 où elle passe un an avant d'entamer une licence Arts du Spectacle (théâtre et cinéma) à Paris X. Malgré son jeune âge, Pauline est une jeune femme qui - par nature ou par choix - ne joue pas le jeu du temps. En 2010, elle se fait la main en participant à l'organisation du <em><strong>Festival Off Nanterre sur Scène</strong></em>, du spectacle <em><strong>Côte à côte</strong></em> de Cécile Girard et Céline Caussimon et de l'exposition <strong><em>Storyboard, Storyboardeurs</em></strong>. A partir de 2011, elle collabore sur le court-métrage <strong><em>La vie d'Antoine </em></strong>de Samuel-Antoine Chouchan où elle cumule les postes de photographe de plateau et de scripte ; tout en consacrant son temps libre à la rédaction d'articles et de critiques (théâtre, cinéma) réunis sur son blog <em><strong>Le quart d'heure du quatre-heures cinématographique et autres douceurs</strong></em>. Elle réalise ensuite ses propres courts-métrages comme le volet sur le <em><strong>17 octobre</strong></em>. Pauline n'a pas froid aux yeux: elle accepte de relever le défi que représente la mise en scène de la pièce <strong><em>A l'aube de la Création</em></strong> et ses huit comédiens survoltés. C'est tout naturellement qu'elle devient Secrétaire de la Compagnie du Poisson qui Pique.</p> <p>  </p> <p> <strong>MARION SOFFIOTTI, assistante-metteure en scène (à gauche sur la photo ci-dessus)</strong></p> <p> En 2008, Marion entame une formation ESICAD à Nice et obtient le BTS Communication des entreprises. Maintenant lancé, l’aura positif de Marion l’aide à organiser défilé de mode et concert au Square Gastaud de Monaco lors de l’événement <em><strong>Les robes de Karen se dévoilent à Monaco</strong></em>. Par la suite, elle aide à l’organisation du Salon du Livre et participe à diverses animations  dans les écoles. Ayant roulé sa bosse dans la production, le graphisme et la gestion, c’est donc tout naturellement qu’elle se voit confiée différents postes importants au sein de la Compagnie du Poisson qui Pique : celle de trésorière, d’assistante mise en scène, d’éminence grise et de distributrice de bonnes ondes.</p> <p> <img src="http://img15.hostingpics.net/pics/646786KOKO.jpg"></p>

À quoi servira la collecte

<p> En répétition depuis quelques mois pour préparer notre programmation au théâtre du Guichet Montparnasse, nous avons d'ores et déjà investi dans la création et la production du spectacle.</p> <p>  </p> <p> Etant une jeune compagnie de bénévoles et passionnés, nous avons maintenant besoin de fonds pour rentrer dans nos frais et faire exister ce spectacle comme nous le souhaiterions.</p> <p>  </p> <p> Pour cela, nous avons besoin de :</p> <p> Création des costumes :<em> </em><strong><em>500€</em></strong></p> <p> Communication (création graphique et impression) : <strong><em>600€</em></strong></p> <p> Décors, accessoires, régie : <strong><em>500€</em></strong></p> <p> Location de matériel vidéo pour captation et création du DVD <strong>: <em>400€</em></strong></p> <p> <strong>TOTAL : <em>2000€</em></strong></p> <p>  </p> <p> Si, par chance, nous arrivions à dépasser ce budget, nous pourrons le consacrer à une communication plus dense (notamment grâce aux encarts publicitaires) ainsi qu'à l'évolution du spectacle et à l'autonomie de notre compagnie.</p> <p> <img src="http://img11.hostingpics.net/pics/440341KIKA.jpg"></p>

Contreparties

5 €

  • 3 contributions
Notre reconnaissance éternelle

15 €

  • 3 contributions
Une affiche de la pièce dédicacée par tous les comédiens

20 €

  • 8 contributions
Une invitation + contreparties précédentes

35 €

  • 4 contributions
Une copie du texte dédicacé par l'auteur + Une affiche dédicacée par tous les comédiens

50 €

  • 8 contributions
Une invitation pour deux personnes + contreparties précédentes

100 €

  • 3 contributions
Une lettre manuscrite de remerciements écrite par chacun des membres de la troupe + contreparties précédentes

150 €

  • 1 contribution
Un portfolio de photos de la troupe réalisé en studio + contreparties précédentes

200 €

  • 2 contributions
Un DVD de la pièce + contreparties précédentes

350 €

Une invitation pour quatre personnes + Remerciements nominatifs à la fin du spectacle + contreparties précédentes

500 €

Un apéro dînatoire avec les membres de la troupe + contreparties précédentes

1 000 €

Participation au tournage d'un ou plusieurs épisodes de la web-série "OBJECTION!" produite par la Compagnie du Poisson qui Pique + contreparties précédentes

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