À L'ORIENT DÉSORIENTÉ, mon premier recueil de poésie aux éditions L'Harmattan

Pourquoi l'Orient désorienté ? C'est toute sa quête identitaire, à jamais contre toute différence et toute indifférence, que la poétesse reflète ici. Sa poésie la suit à Jérusalem, puis à Tel-Aviv et atterrit comme on décolle vers un Idéal, le kibboutz (communauté égalitaire et collective). L’Orient désorienté réunit en une langue apaisante et passionnée, toute en force et délicatesse, quelques-unes des multiples facettes d’Israël. Pays aussi souvent pris dans les phares que sous les feux des projecteurs. Souvent incompris et finalement mal connu. L’auteure lève un peu le voile et la voile au-dessus des sables émouvants de ce petit bout de terre si loin si proche, aimé à l’extrême. Ce recueil paraît à un moment encore extrêmement sensible, où les espoirs de paix ont reçu un grand coup dans l'aile. Il n'y a pas de hasard. C'est peut-être le moment pour l'auteure d'offrir sa vision, de prendre larmes et joies, lancer une poésie colombe. L'auteure Laure Hoffmann, de son nom d'artiste A. Laure, est née à Montpellier et vit actuellement à Alès, dans les Cévennes. À 21 ans, elle part explorer ses racines, apprendre l’hébreu puis l’arabe, et poursuivre ses études en Poétique. En fervente partisane de la paix, elle a habité 6 ans en Israël, dont 4 ans en kibboutz, quand elle compose les poèmes de ce recueil. Infinis remerciements à Lorenzo di Combello ami de la belle communauté des instapoètes, auteur de toutes les illustrations de roses noires, blanches et bleues de cette page. Ces images suggèrent celle de la couverture... qu'il a aussi spécialement réalisée pour le recueil ! Un peu plus sur moi Revenue en France, j’ai été instit’ dans une école alternative, puis rédactrice web pour vivre de ma plume, et enfin prof de français dans un collège/lycée de pédagogie alternative Steiner-Waldorf, près d’Alès, dans le Gard, en Cévennes, où je réside actuellement avec mon compagnon et mes deux filles de 16 et 18 ans. J'ai eu 50 ans au mois de mai 2023. Je suis depuis presque 3 ans en arrêt maladie car je suis atteinte de covid long, avec des symptômes respiratoires assez invalidants. Cet arrêt brutal m’a permis de réaliser ce vieux rêve que je caresse depuis toujours : me consacrer totalement à l’écriture, qui a été ma bouée, ma lueur, mon étoile ; la lueur au bout du tunnel depuis que je suis malade… Écrivant depuis toujours, je délivre aujourd’hui les mots enfermés dans mes petits carnets. Un projet d’autofiction sur ma vie en kibboutz est en cours. Vous pouvez suivre ma poésie quotidienne sur Instagram : @a._laure