MERCI, MERCI, et encore mille fois merci ! ! !

Le pallier des 7000€ a été atteint à J-3 et cela semble pour nous INCROYABLE !

Pour celles et ceux qui veulent encore soutenir le projet, il est évidement encore possible de rejoindre cette aventure en participant à la campagne.

Cela ne pourra que nous aider d’avantage afin que vous puissiez, d’ici quelque temps, découvrir ce film qui sera le fruit de notre travail et de votre soutien.

De nouveau MERCI pour TOUT et pour vos retours si POSITIFS et TOUCHANTS !

PRESENTATION DU PROJET

La forme de ce film documentaire relèvera d’un regroupement de différents dispositifs :

Tournages en prise de vue réelles, Images Photographiques, Vidéos d'archives et Entretiens. Comme étant le point de départ de ce projet personnel, une vidéo d'archive réalisée le 5 aout 1998 (présente dans le Trailer) parcourra le film et sera à la fois sa source et la clé de sa résolution.

En voix off, Liana sera la narratrice de sa propre histoire où tout au long du film, elle dévoilera des informations afin de mieux cerner le pays dans lequel elle est née et ce qu'elle est retournée y chercher.

vidéo archive du 05/08/1998 / arrivée à l'aéroport Charles de Gaule

A l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle, été 1998.

Le film sera structuré en deux parties :

Dans la première, nous serons focalisés sur le récit de la vie de Liana et nous y développerons le large sujet de l’adoption et de son évolution au fil du temps. Nous irons en France nous entretenir avec ses parents adoptifs ainsi qu’avec les employés et les fondateurs d’un orphelinat à Addis Abeba, en Ethiopie.

En parallèle, nous irons explorer le pays de naissance de Liana en filmant divers lieux que nous allons mettre en lien avec la recherche de ses origines.

Ce documentaire sera également un voyage permettant d’explorer les villes, leurs cultures et d’être au cœur des traditions, aujourd’hui.
Proposer un état des lieux et s’imprégner des vibrations de ce grand pays.

Dans la seconde partie, nous aborderons l'histoire de Leïa qui est intimement liée à celle de Liana.

Nous passerons un moment avec ses parents adoptifs pour qu'ils puissent nous parler de ce qu'ils ont ressenti lorsque Liana les a retrouvés et lorsque qu'elle leur a raconté la véritable histoire de leur fille, avant qu’ils ne l'aient adopté.
Dans un second temps et pour boucler la boucle, nous irons nous entretenir avec les parents biologiques de Leïa pour qu'ils puissent nous expliquer le point de vue du départ en adoption de leur fille. Nous essaierons de figer au mieux leurs impressions et émotions lorsqu'ils la reverront après vingt années de séparation.
Nous tenterons de capturer ce grand moment de retrouvailles avec toute la distance et la délicatesse nécessaire.

Première rencontre avec la famille de Liana, en 2009 à Asosa.

Dans ce documentaire, nous utiliserons également des images d'archives qui ont été produites lors des deux voyages précédents de Liana en Éthiopie. Ces images permettront, toujours par le biais de son histoire personnelle, d’illustrer les changements survenus dans ce pays et d’y observer le poids du temps.

Elles viendront, en complément de la voix off, enrichir certains témoignages et permettront de retracer toutes les recherches qui lui ont permis de retrouver Leïa.

Elles seront également commentées par les parents adoptifs de Liana.

Chez Aster, la soeur de Liana, en 2009 à Asosa

PRESENTATION DE L'EQUIPE

Liana GODET

Réalisatrice / Cadreuse

Passionnée de photographie depuis mon plus jeune âge, J’ai choisi de me former à cet art en France. Mon diplôme obtenu, je me suis installée à Nantes en free-lance. J’ai travaillé pour des particuliers et des entreprises et j'ai réalisé des photos pour des mariages, des sites internet, de l’événementiel et des cartes de visites. En 2015, je suis partie m’installer à Bruxelles. Tout en poursuivant mon activité de photographe sur des projets personnels plus artistiques, J’ai trouvé un emploi dans un restaurant éthiopien à Bruxelles qui me permet, aujourd’hui encore, de subvenir à mes besoins.

Paradoxalement, cet emploi alimentaire éloigné de ma passion pour la photo va me rapprocher de mes origines Ethiopiennes. Côtoyant des professionnels du cinéma, je bâtis peu à peu le projet d’un film retraçant mon histoire.

Soutenue par eux, j’entreprends l’écriture de mon projet et constitue une équipe pour m'accompagner en Ethiopie afin démarrer le tournage de mon film documentaire.

Thomas ROSSI

Cadreur - Caméraman / Aide à l'écriture

J'ai toujours été très sensible aux images.

Plus sensible encore aux images en mouvement.

Je me souviens de mes premiers rapports à elles, de cette flamme qui vacillait dans la cheminée, de cet oiseau qui se posait dans le jardin, mais je me souviens surtout de ces grandes salles noires, de cet écran et de ces films projetés.
Même si le cinéma n'est que l'illusion d'un instant (25 images/secondes), je suis persuadé que l'on peut y trouver plus de subtilité et de vérité que dans le réel.

J'ai d'abord commencé mes études par le dessin. Une école académique à Nantes a précédé mon départ pour les Beaux-Arts de Bruxelles. J'y ai ensuite intégré une école de cinéma.

Liana m'a contactée au début de cette année pour me parler de son projet et nous avons pu, ensemble, rédiger le scénario et mettre en place le tournage.

Il est temps, à présent, d'offrir au film sa plus belle forme.

EMRE KU

Assistant Tournage / Aide à la Production / Monteur

Après avoir terminé mes études de Montage à l'INRACI de Bruxelles en 2013, je me suis très vite tourné vers la production et la réalisation de documentaires et de reportages. J'ai commencé en co-produisant un pilote d'émission culturelle pour les 15-25 ans : "Focales" comme projet de fin d'études. Pour ensuite réaliser et produire mon tout premier documentaire nommé "Laisse moi te dire..."

J'ai également travaillé comme Producteur mais aussi Monteur/Cadreur sur plusieurs projets au sujet de l'immigration en Belgique en collaboration avec ARDA et UMAY Productions. Après avoir rencontré Liana, et après avoir pris connaissance de ce fantastique projet nous avons très vite travaillé en collaboration avec Umay Productions dans la constitution d'un dossier de production pour "Banchirga".

Il a également été convenu qu'en plus d'apporter une aide à l'image et au son lors des différents tournages, je réaliserai le montage final du film.

IMAGE

Au niveau de l’image et de l’aspect visuel du film, nous filmerons toujours à l’aide de deux caméras sur le terrain afin de pouvoir proposer au sein même de l’action une belle variété de point de vues et créer une remarquable continuité au montage. Une caméra se voudra plus proche des sujets et des émotions lorsque l’autre filmera les scènes avec plus de recul en replaçant les protagonistes du film au centre de leur environnement.

Des plans en mouvements dynamiseront le film et offriront au projet les allures d’une fuite en avant, d’un voyage initiatique.
Lors des entretiens, nous utiliserons une autre façon de mettre en scène le sujet. Les plans seront principalement réalisés en intérieur et seront fixes afin de rester focalisés sur l’interrogé et la nature de ses propos.

Concernant les autres rencontres, des plans plus en mouvement seront utilisés lors du voyage au sein du pays lorsque nous accompagnerons et questionnerons les différents protagonistes.

Le film se structurera principalement à partir des parallèles que nous établiront entre les scènes du présent et celles du passé, entre l’image numérique moderne et l’image d’archive datée, entre la France et l’Afrique, entre Leïa et Liana.

MUSIQUE

L'utilisation de la musique traditionnelle éthiopienne s'imposera à nous afin de donner un rythme singulier et une ambiance sonore cohérente à l’ensemble.
Nous avons également l’ambition, avec l’aide d’un artiste compositeur, de réaliser une bande originale qui accompagnera au mieux les scènes, l'énergie et les émotions qu’elles contiendront.

POUR CONCLURE ...

Comme à chaque désir de cinéma, notre objectif résidera simplement dans le fait de transmettre aux spectateurs des émotions véritables et de les rapprocher sensiblement de ce sujet si important aujourd'hui, de l'histoire de ces jeunes filles et de ce pays qui paraît pourtant si loin d'ici...

"Agegnehush" était le nom donné à Leïa dans les documents du dossier d'adoption.

Liana y était nommée "Banchirga".

" BANCHIRGA " - Film Documentaire

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