Coup sur Coups

Femmes migrantes victimes de violences conjugales : entre la loi et la réalité, un fossé. Aidez-nous à leur donner une voix!

Visuel du projet Coup sur Coups
Réussi
28
Contributions
13/04/2015
Date de fin
1 305 €
Sur 1 000 €
130 %

Soutenu par

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Coup sur Coups

<p> <em>« En Belgique, un couple sur huit vit l’enfer de la violence conjugale. Pour certaines victimes, se protéger, c’est risquer l’illégalité. ». </em></p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=http%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F79792565&amp;wmode=opaque&amp;src_secure=1&amp;url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F79792565&amp;image=http%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F455557128_1280.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=vimeo" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p> <u>LE SUJET</u></p> <p>  </p> <p> Une double discrimination, une double violence : conjugale et institutionnelle. C’est après la lecture du <a href="http://www.hrw.org/sites/default/files/reports/belgium1112frForUpload.pdf" target="_blank">rapport édifiant de Human Rights Watch</a> intitulé <em>« La loi était contre moi »</em> que nous avons décidé de nous pencher sur ce sujet. Au croisement <strong>entre le droit des femmes et celui des sans-papiers</strong>, la problématique nous a semblé mériter un éclairage, une médiatisation, une voix, pour celles qui ont indirectement perdu leur droit à la parole.</p> <p>  </p> <p> 5 années, c’est la période qu’a fixé la loi belge pour qu’une personne en procédure de regroupement familial se voit recevoir un titre de séjour indépendant de son mari. <strong>Si il y a violence conjugale, c’est 5 années de vie commune avec son bourreau.</strong> Nous n’espérons pas changer la loi, nous ne voulons pas militer, nous aspirons juste à mettre sur la place publique un sujet de société grave mais silencieux. Nous désirons faire entendre la voix de ces femmes qui sont témoins et victimes des incohérences de la loi belge et les obligations irrationnelles en lien avec leur situation.</p> <p>  </p> <p> <img alt="4681407157_a59a64a45e_o_copie-1424948291" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/167110/4681407157_a59a64a45e_o_copie-1424948291.jpg"></p> <p> © Physicians for Human Rights - Israel</p> <p>  </p> <p> <u>LE PROJET </u></p> <p>  </p> <p> Nous réaliserons un documentaire vidéo de 20 minutes, diffusé en janvier 2016.</p> <p>  </p> <p> Nous ambitionnons de mener une enquête sur <strong>les réalités que vivent les femmes migrantes</strong>, de pays tiers, en procédure de regroupement familial qui subissent des violences conjugales.</p> <p> Nous nous pencherons sur les choix qui s’offrent à elles pour sortir de leur univers violent. Nous irons à la rencontre de tous les acteurs impliqués. A savoir le monde judiciaire et juridique, des femmes concernées et des ONG et associations qui tentent de les aider.</p> <p>  </p> <p> Nous sommes conscientes et attentives au fait que le genre féminin n’est pas seul sujet aux violences. Nous décidons pourtant d’orienter le débat sur les femmes. Nous cherchons également à <strong>éviter toute stigmatisation et misérabilisme</strong>. Les témoignages que nous avons lus et reçus vont d’ailleurs dans le sens opposé à toute caricature et pitié.</p> <p>  </p> <p> <u>DERRIÈRE LE PROJET</u></p> <p>  </p> <p> 3 étudiantes en journalisme à l'IHECS avec comme point commun la conviction de l'intérêt de ce projet.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Kkbb2-1424967520" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/167315/KKBB2-1424967520.jpg"></p>

À quoi servira la collecte

<p> Pour pouvoir réaliser un reportage de qualité, il nous faut des fonds. C’est pourquoi nous faisons appel à votre générosité.</p> <p>  </p> <p> <strong>LOGISTIQUE : </strong></p> <p>  </p> <p> - 350€ de matériel complémentaire. Le matériel vidéo essentiel est emprunté à l'IHECS mais les besoins en infographie exige un budget. </p> <p> - 150€ pour amortir les frais de transport</p> <p>  </p> <p> <strong>PEDAGOGIE : </strong></p> <p>  </p> <p> - 200€ pour une diffusion suivie d’un débat à Liège et Bruxelles (lieu à définir)</p> <p>  </p> <p> <strong>TERRAIN : </strong></p> <p>  </p> <p> - 300€ pour aller à la rencontre d'une victime expulsée ou se rendre chez nos voisins afin de pouvoir comparer la législation belge avec une législation qui se veut plus « sensible » à la problématique.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>⇒ Si nous arrivons à recueillir plus de fond que prévu, nous avons pour ambition d’organiser plusieurs conférences à travers la Belgique afin de diffuser notre reportage.</em></strong></p>

Contreparties

5 €

  • 3 contributions
Un grand MERCI et notre reconnaissance éternelle!

10 €

  • 1 contribution
Un grand MERCI et retrouvez votre nom dans le générique du reportage.

15 €

  • 5 contributions
Un grand MERCI, retrouvez votre nom dans le générique du reportage, deux entrées pour la diffusion du reportage.

30 €

  • 9 contributions
Un grand MERCI, retrouvez votre nom dans le générique du reportage, deux entrées pour la diffusion du reportage et deux verres de bulles .

50 €

  • 1 contribution
Un grand MERCI, retrouvez votre nom dans le générique du reportage, deux entrées pour la diffusion du reportage et deux verres de bulles, une photo prise lors du tournage en format 30x20.

75 €

  • 3 contributions
Un grand MERCI, retrouvez votre nom dans le générique du reportage, deux entrées pour la diffusion du reportage et deux verres de bulles, la possibilité de discuter avec nous de la problématique autour d’un verre.

100 €

  • 2 contributions
Un grand MERCI, retrouvez votre nom dans le générique du reportage,deux entrées pour la diffusion du reportage et deux verres de bulles, la possibilité de discuter avec nous de la problématique autour d’un verre, un livre de l'Université des Femmes en lien avec le sujet.

200 €

  • 1 contribution
Un grand MERCI, retrouvez votre nom dans le générique du reportage, deux entrées pour la diffusion du reportage et deux verres de bulles, la possibilité de discuter avec nous de la problématique autour d’un verre, un livre de l'Université des Femmes en lien avec le sujet, un repas aux saveurs du monde pour discuter de notre projet ainsi qu'échanger.

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