Court-métrage "Clara et le clown, tristes"

Clara, endeuillée par la mort de son père, rencontre un Clown dans un hôpital. Elle pleure, il rit. Les choses sont-elles aussi simples?

Visuel du projet Court-métrage "Clara et le clown, tristes"
Réussi
44
Contributions
03/04/2013
Date de fin
1 420 €
Sur 1 000 €
142 %

Court-métrage "Clara et le clown, tristes"

<p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><em>Le synopsis</em></strong></p> <p>  </p> <p> Le soleil rayonne quand Clara arrive devant l’hôpital. Ce chemin, elle l’a déjà emprunté des dizaines, voire des centaines de fois. Alors, elle avance mécaniquement jusqu’aux portes coulissantes du bâtiment. Elle ne remarque pas qu’un homme, des plus banals, entre au même moment qu’elle. Lui non plus ne l’a pas remarquée. Leurs chemins se séparent comme ils se sont rencontrés. Brutalement. Mais pour combien de temps ? Tandis que Clara se prépare à pénétrer dans la chambre occupée par son père depuis trop longtemps, l’homme fait de même. Mais c’est à un tout autre public qu’il va devoir faire face. Cet homme est un clown, de la catégorie des clowns d’hôpitaux. Sans le savoir, Clara et le Clown anonyme effectuent chacun de leur côté les mêmes gestes précis, maîtrisés, faits et refaits inlassablement.</p> <p>  </p> <p> Mais ce qui, ce jour‐là, devait être une visite comme les autres va revêtir pour chacun un caractère bien différent.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Affiche_clara_clown" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/10208/affiche_clara_clown.jpg"></p> <p> <em>(affiche réalisée par Corentin Bureau)</em></p> <p>  </p> <p>    </p> <p> <strong><em>Les intentions</em></strong></p> <p>  </p> <p> L’hôpital est un lieu familier mais un peu effrayant. On s’y fait soigner quand on est malade, on y meurt aussi, parfois.</p> <p>  </p> <p> Comme Clara, nous avons tous à un moment où à un autre mis les pieds dans ces bâtiments. Comme elle, nous avons fait l’expérience de ces murs blancs entre lesquels vagabondent infirmiers, médecins, porteurs de bonnes ou de mauvaises nouvelles.</p> <p>  </p> <p> Pourtant, l’hôpital est aussi un lieu de joie qui, le temps d’un après-­midi peut revêtir des allures de cirque. L’hôpital est aussi un lieu de vie.</p> <p> A travers cette histoire j’ai voulu évoquer une rencontre, aussi banale soit-­‐elle, qui dans ce contexte devient l’histoire d’un passage entre la vie et la mort, l’enfance et l’âge adulte. Et, l’hôpital, où l’on nait autant que l’on meurt, se prêtait bien à la synthèse du rire et des larmes.</p> <p>  </p> <p> Clara et le clown, tristes est donc une histoire de deuil, d’un parent, d’un enfant. Et celle des interrogations qu’il entraine : comment laisser partir l’autre ? Comment vivre avec le souvenir sans en faire un fantôme? Comment réapprendre à rire face à l’adversité ?</p> <p>  </p> <p> Ma réponse à ces questions, que l’on s’est posé ou que l’on se posera, c’est ce film.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>Le projet</strong></em></p> <p>  </p> <p> Depuis longtemps, la caméra me démange, comme un besoin fiévreux d’images, une soif de plans, de champs, de contre-­champs, je m’appelle Emmanuelle, j’ai 21 ans et je suis atteinte de réalisatopharyngite aïgue.</p> <p> Plus sérieusement, Clara et le clown, tristes est mon premier court-­‐métrage. Après un parcours universitaire plutôt conventionnel, pas mal de scénarios écrits, et quelques réalisations perso, voici venu le temps de passer à une autre étape.</p> <p>  </p> <p> Pour cela, je suis accompagnée d’une équipe de choc composés de névrosés du montage, de porteurs du syndrome de l’opérateur, de fiévreux de la production et j’en passe. Chacun apportera au projet ses compétences mais aussi son univers, son envie.</p> <p>  </p> <p> Certains ont déjà roulé leur bosse dans le milieu, et d’autres, comme moi, débutent. Mais ce qui nous rassemble, c’est cette volonté de créer, de participer à une aventure collective où tout le monde apporte sa pierre. En un mot, mettre en place une thérapie de groupe : le tournage !</p> <p>  </p> <p> Pour y parvenir, nous avons besoin de vous.</p> <p> Alors, s’il vous plait, aidez nous !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><em>L’équipe </em></strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Manue" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/9835/manue.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>EMMANUELLE MOREAU - Réalisatrice </strong></p> <p>  </p> <p> A 21 ans, j’ai intégré depuis la rentrée 2012 le Master 1 pro de cinéma de Paris 1.</p> <p> Si Clara et le clown, tristes est mon premier court-­‐métrage (avec un vrai budget), j’ai dans mon baluchon un certain nombre de scénario écrits ces dernières années et quelques réalisations telle que Travailler moins, pour vivre mieux, documentaire coréalisé en hypokhâgne avec ma comparse Louise. Nous avons récemment réitéré notre collaboration en réalisant un petit film promotionnel pour l’E.M Normandie Bref, j’ai une mission.</p> <p> Je vais prochainement réaliser un documentaire sur la Cité des Sciences, Sciences et Fictions.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Louise" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/9836/louise.png"></p> <p>  </p> <p> <strong>LOUISE PINTON - Assistante-réalisatrice</strong></p> <p>  </p> <p> Louise Pinton est actuellement étudiante en Master 1 de Cinéma et audiovisuel à l'Université Paris 1 Panthéon ‐ Sorbonne. Elle est passionnée par beaucoup de formes d'arts tels que le théâtre, la danse contemporaine, le cirque, la photographie. Elle a déjà écrit et réalisé plusieurs courts métrages de fiction amateurs et un documentaire pendant son année d'Hypokhâgne. Durant l'été 2012, elle a encadré la réalisation d'un docu-­‐fiction "Et qui ne revient pas" au sein du département "Passeurs d'images" au Pôle Image de Haute-­‐Normandie. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Jp" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/9838/jp.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>JEAN-PAUL FIGASSO - 2e assistant-réalisateur </strong></p> <p>  </p> <p> Jean-­Paul Figasso a fait ses marques en tant qu’assistant réalisateur depuis plus de 15 ans et compte parmi ses crédits « No Man’s Land » de Danis Tanovic et « La Vérité si je Mens 2 » de Thomas Gilot. Il co-­écrit une pièce de théâtre avec l’auteur Philippe Nicolitch, écrit et réalise plusieurs courts-­métrages et une performance d’art contemporain. En ce moment, Jean-­Paul met en scène « Comme des Étoiles », une pièce de Cindy Lou Johnson, écrit la pré-­bible de séries pour la télévision ainsi qu’un long métrage. Son dernier challenge, un master en cinéma à la Sorbonne qu’il commence cette année. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2013-02-14___13.21.23" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/10467/Capture_d__cran_2013-02-14___13.21.23.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>AMELIE BLONDEL - Chef opératrice </strong></p> <p>  </p> <p> Passionnée d'images depuis son plus jeune âge , Amélie Blondel commence très tôt a prendre des photos et a les partager sur les blogs qu'elle tient pendant son adolescence . Elle obtient en 2010 son BTS en photographie a l'école supérieur des métiers artistiques (ESMA) de Montpellier. </p> <p>  </p> <p> Aujourd'hui, salarié en CDI chez <a href="http://showroomprive.com/">Showroomprive.com</a>, elle est spécialisée en photo de mode et de produits. Elle agrandi son réseau et réalise des missions en Freelance ou en indépendante pour des photos de portraits, produits, architecture, événements etc... </p> <p> "Clara et le clown, tristes" est sa première expérience dans le cinéma mais aucun doute qu'elle y fera entrer la lumière ... </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Hugo" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/9839/hugo.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>HUGO COLONVAL - Preneur de son / monteur son</strong></p> <p>  </p> <p> Diplômé de l'ISTS de Paris ainsi que de la licence de cinéma &amp; audiovisuel de Paris 1, Hugo est  maintenant ingénieur du son en freelance. Il travaille principalement dans l'audiovisuel (voice over sur docu) ainsi qu'en sonorisation live. Plus occasionnellement il travaille en tant que preneur et monteur son ainsi que compositeur sur des courts métrages et documentaires ("dans ces eaux là"; "paris place"; " la théorie des cordes"). Et le reste du temps, il le passe à créer, composer son projet musicale disponible à l'écoute ici : https://soundcloud.com/anantasound </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Capture_d__cran_2013-02-14___23.48.06" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/10536/Capture_d__cran_2013-02-14___23.48.06.png"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LUCAS REVERDY - Producteur </strong></p> <p>  </p> <p> Lucas Reverdy est né en Alsace, près de Strasbourg, où il a grandi. Vers l’âge de 12 ans, il se découvre une passion peu commune, celle de l’éclairage scénique. Il commence à jouer avec les lumières chez lui, les colorent… Dès lors, il se voit éclairagiste, mais quelques années plus tard, ses perspectives d’avenir changent en découvrant le métier de directeur de la photographie qui allie image et lumière. Pour cela, il quitte son Alsace natale et vient étudier le cinéma à l’Université Paris 8.</p> <p> La première fonction de Lucas dans PROD8 était celle de responsable technique et directeur de la photo pour EMI.Lie. Au cours des différents projets de l’association, Lucas a préféré se diriger vers la fonction de producteur, tout en étant cadreur occasionnellement sur certains projets.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Et aussi...</strong></p> <p>  </p> <p> Rachel PRETERRE (scripte) ; Benjamin PRUVOST (montage) ; Alice BUNCE (Costumes) ; Thibaut YOUNG (régie) ; Gabriel YOUNG (musique) ; Amélie DIAS FERNANDES...</p>

À quoi servira la collecte

<p>  </p> <p> Pour ce film, notre budget tourne autour de 5000 euros comprenant essentiellement la location du <strong>matériel vidéo (1600 euros)</strong>, du <strong>matériel son (1000 euros)</strong>.</p> <p> Autre pôle de dépense non‐négligeable : les décors. Compte tenu des difficultés d’obtenir des autorisations pour tourner dans un hôpital, nous avons opté pour un lycée, ce qui implique pas mal de boulot niveau <strong>déco (1000 euros).</strong></p> <p>  </p> <p> Ces frais-­là, seront couverts par les subventions demandées au CROUS et au FSDIE de Paris 1.</p> <p>  </p> <p> Alors, si nous faisons appel à vous c’est pour les frais de régie (transport, hébergement et nourriture pour l’équipe). Très terre à terre certes, mais essentiel ! Car si on ne fait pas de film sans caméra, on ne fait pas un caméraman sans le nourrir, et sans caméraman bien nourri pas de film, vous me suivez ?</p> <p>  </p> <p> Si la somme atteinte dépassait nos espérances, nous investirions l’argent supplémentaire dans la location d’une salle de projection et l’inscription du film en festivals. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

Contreparties

5 €

  • 3 contributions
Merci beaucoup !

10 €

  • 10 contributions
Votre nom au générique dans les remerciements

25 €

  • 11 contributions
DVD du film (+ les contre-parties précédentes)

50 €

  • 7 contributions
L'affiche du film dédicacée par l'équipe (+ les contre-parties précédentes)

75 €

Le scénario du film relié et dédicacé par l'auteur (+ les contre-parties précédentes)

100 €

  • 5 contributions
Votre nom crédité au générique (+ les contre-parties précédentes)

200 €

    Assister au tournage ET un énorme merci ! (voire deux) (+ évidemment toutes les contre-parties précédentes)

    Faire un don

    Je donne ce que je veux